Où je trouve toujours Jésus :
J’y prie avec beaucoup de gloire,
Je n’y crains jamais de refus.
6 AVRIL
Puisque ce jour est destiné à honorer la parole que Jésus prononça en confiant sa sainte Mère à saint Jean, il faut disposer nos cœurs à recevoir un legs si avantageux. C’est le présent précieux et l’héritage inestimable que Jésus donne à ceux qui habitent le Calvaire et se tiennent proche de la Croix. Quiconque
veut avoir Marie pour Mère doit être disciple bien-aimé de Jésus : le
Sauveur ne donne sa Mère qu’aux disciples de sa dilection qui ne fuient
point sa Croix. Ô Jésus ! faites-nous cette amoureuse et infinie miséricorde de nous rendre les filles du Cœur de votre sainte Mère, et qu’Elle soit pour jamais la Mère de notre cœur ! Ô très-glorieux Évangéliste ! faites-nous part des sentiments de votre humilité intérieure et de votre amour, afin que nous recevions aujourd’hui la sacrée Vierge pour Mère, pendant toute notre vie, à l’heure de notre mort et pour toute l’éternité. Nous pouvons dire ici : le
Père Éternel a tant aimé le monde qu’Il lui a donné son propre Fils, et
ce Fils Éternel a tant aimé son Église et ses élus, qu’Il leur a donné
sa propre Mère.
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
qui voyiez en toutes choses le bon plaisir de Dieu, et qui mettiez votre bonheur à vous y conformer avec amour,priez pour nous.
Puisque ce jour est destiné à honorer la parole que Jésus prononça en confiant sa sainte Mère à saint Jean, il faut disposer nos cœurs à recevoir un legs si avantageux. C’est le présent précieux et l’héritage inestimable que Jésus donne à ceux qui habitent le Calvaire et se tiennent proche de la Croix. Quiconque veut avoir Marie pour Mère doit être disciple bien-aimé de Jésus : le Sauveur ne donne sa Mère qu’aux disciples de sa dilection qui ne fuient point sa Croix. Ô Jésus ! faites-nous cette amoureuse et infinie miséricorde de nous rendre les filles du Cœur de votre sainte Mère, et qu’Elle soit pour jamais la Mère de notre cœur ! Ô très-glorieux Évangéliste ! faites-nous part des sentiments de votre humilité intérieure et de votre amour, afin que nous recevions aujourd’hui la sacrée Vierge pour Mère, pendant toute notre vie, à l’heure de notre mort et pour toute l’éternité. Nous pouvons dire ici : le Père Éternel a tant aimé le monde qu’Il lui a donné son propre Fils, et ce Fils Éternel a tant aimé son Église et ses élus, qu’Il leur a donné sa propre Mère.
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/Deux-cantiques-%C3%A0-Marie-notre-M%C3%A8re:9?lid=3e09b207e83cbb50f082b22007b23d76f2973209
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
qui voyiez en toutes choses le bon plaisir de Dieu, et qui mettiez votre bonheur à vous y conformer avec amour,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le sixième d’avril 1601, notre Père saint François de Sales donna une preuve admirable de la force de son esprit. Un imprudent messager lui vint dire, comme il sortait de la sacristie de l’église de Saint-Dominique d’Annecy pour monter en chaire, que Monsieur son père était mort à Sales le soir précédent. Ce saint prédicateur adora Dieu avec soumission de cœur à ses saintes Volontés, et prêcha à son ordinaire, quoique son sujet fût fort touchant, puisque c’était la mort de Lazare. Sur la fin du sermon, il dit : « Messieurs, sachez que François de Sales, votre ami et mon père, est mort. Comme vous lui faisiez tous la grâce de l’aimer, je vous supplie de prier pour son âme et de me donner deux ou trois jours de congé pour aller rendre mes devoirs à son corps. » Disant cela, ses larmes et celles de tout son auditoire lui ôtèrent la parole ; on n’entendit plus que des sanglots et des soupirs dans toute l’église, et tous se mirent en prières pour le seigneur défunt. Le saint Prédicateur avait dit sa Messe avant le sermon, mais il en entendit deux de Requiem pour l’âme de son bon père, à genoux et immobile à un coin de l’autel, et avoua depuis à un de ses amis que Dieu lui avait donné de grands et doux mouvements d’espérance du salut de ce cher trépassé. L’après-midi, il partit et alla coucher à Sales.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »