9- Quand je m’élève à Dieu mon Père
Du fond de mon iniquité,
C’est sur les ailes de ma Mère,
C’est sur l’appui de sa bonté.
10- Pour calmer Jésus en colère,
Avec Marie il est aisé ;
Je lui dis : « Voilà votre Mère ! »
Aussitôt il est apaisé.
25 AVRIL
Adorant Jésus au saint Sépulcre et aux Limbes, honorons Marie en retraite et en oraison, et révérons son Cœur, son esprit et son application intérieure,
qui se partageaient dans l’unité de la très-sainte Trinité et qui
n’abandonnaient point l’âme ni le corps de son adorable Fils, quoique
l’un fût au tombeau et dans le suaire, sans action, et l’autre dans les
Limbes, triomphant en faveur de ses élus ! Ô Vierge Sainte ! notre douce
Mère ! nous pouvons dire aujourd’hui que là où est votre Cœur, votre trésor y est.
Votre Fils Jésus, votre unique trésor est dans une séparation, sans
division, au sépulcre et aux enfers ; et, puisque notre cœur est
toujours là où est notre trésor, nous pouvons sans crainte honorer votre
Cœur, ô Sainte Vierge, avec Jésus dans l’obscurité du sépulcre et dans
celle même des enfers, et apprendre de vous aujourd’hui à suivre notre doux Jésus partout où il lui plaira de nous mener.
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
le plus dévot et le plus aimable des Saints,priez pour nous.
Adorant Jésus au saint Sépulcre et aux Limbes, honorons Marie en retraite et en oraison, et révérons son Cœur, son esprit et son application intérieure, qui se partageaient dans l’unité de la très-sainte Trinité et qui n’abandonnaient point l’âme ni le corps de son adorable Fils, quoique l’un fût au tombeau et dans le suaire, sans action, et l’autre dans les Limbes, triomphant en faveur de ses élus ! Ô Vierge Sainte ! notre douce Mère ! nous pouvons dire aujourd’hui que là où est votre Cœur, votre trésor y est. Votre Fils Jésus, votre unique trésor est dans une séparation, sans division, au sépulcre et aux enfers ; et, puisque notre cœur est toujours là où est notre trésor, nous pouvons sans crainte honorer votre Cœur, ô Sainte Vierge, avec Jésus dans l’obscurité du sépulcre et dans celle même des enfers, et apprendre de vous aujourd’hui à suivre notre doux Jésus partout où il lui plaira de nous mener.
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/Quatre-hymnes-au-Coeur-de-Marie-(St-Jean-Eudes):4?lid=3e09b207e83cbb50f082b22007b23d76f2973209
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
le plus dévot et le plus aimable des Saints,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
L’année 1612, notre vénérable Fondatrice étant abandonnée des médecins et déjà réduite à une espèce d’agonie, notre bienheureux Père lui envoya des reliques de saint Charles Borromée, et elle fut guérie aussitôt qu’elle les eut reçues. Notre saint Fondateur, qui avait une dévotion particulière à ce grand Archevêque de Milan, s’engagea d’aller à son tombeau pour reconnaître cette grâce. Il partit d’Annecy le quinzième jour d’avril de l’année 1613, accompagné de plusieurs ecclésiastiques, qui le suivaient par un effet de leur piété envers saint Charles. On ne vit peut-être jamais de pèlerins plus saintement appliqués ; le silence et l’oraison étaient leurs occupations ordinaires. Ils faisaient leurs prières en commun, et notre bienheureux Père leur donnait chaque jour les points de méditation, en les invitant à demander, par l’intercession de saint Charles, le zèle qui lui était nécessaire pour la conduite de son diocèse. Ils arrivèrent à Milan le vingt-cinquième d’avril de l’année 1613. Ce Saint, qui allait honorer un autre Saint, fut lui-même reçu comme un Saint dans cette grande ville. Le Cardinal Frédéric Borromée, cousin de saint Charles et son successeur en l’Archevêché, accompagné de Dom Juan de Mendoza, gouverneur, alla à sa rencontre et voulut le loger dans son palais ; mais notre humble Prélat le remercia avec un grand respect et le supplia de le laisser vivre en pauvre pèlerin, pour faire plus à loisir ses dévotions au tombeau de saint Charles, puisque c’était l’unique affaire qui l’appelait en ce pays-là.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »