Lorsque je suis dans mes combats :
« Courage, mon enfant, courage !
Je ne t’abandonnerai pas ! »
13 AVRIL
Considérons aujourd’hui le silence de la sacrée Vierge, durant tout le temps que son adorable Fils demeura sur la Croix, mourant et mort.
Ô Mère de vie ! dit notre Père saint François de Sales, que
faisiez-vous en ce triste Calvaire, qui était un lieu d’agonie et de
mort ? L’amour sévère du Père éternel s’appliquait à votre âme, afin
que, par la douleur mortelle que votre Cœur endurait,
vous fussiez la première martyre de l’Église naissante et la Reine
souveraine de tous les martyrs.
La
Père éternel a tant aimé le monde qu’Il lui a donné son propre Fils ;
ce Fils s’est livré Lui-même à la mort, et nous pouvons dire que Marie, Mère de ce Dieu mourant, a tellement aimé le salut du monde qu’Elle a volontairement offert son Fils à la mort et Elle-même en son Fils. Le Fils, dit ce même Saint, est mort par la force de sa Passion amoureuse pour les âmes, et Marie par sa dilection compatissante !
Ah !
que nous devons aimer cette ancienne pratique de plusieurs provinces,
où l’on met à l’une des faces de la Croix l’image de Jésus-Christ, et à
l’autre celle de la Sainte Vierge, debout et les mains jointes, pour
donner avis aux chrétiens que Jésus nous a sauvés par sa Passion, et que Marie nous a appris à compatir à Jésus par sa Compassion.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/album-la-croix-(5-cantiques-de-st-louis:9?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
tout embrasé d’amour pour la Croix du Sauveur,priez pour nous.
Considérons aujourd’hui le silence de la sacrée Vierge, durant tout le temps que son adorable Fils demeura sur la Croix, mourant et mort.
Ô Mère de vie ! dit notre Père saint François de Sales, que faisiez-vous en ce triste Calvaire, qui était un lieu d’agonie et de mort ? L’amour sévère du Père éternel s’appliquait à votre âme, afin que, par la douleur mortelle que votre Cœur endurait, vous fussiez la première martyre de l’Église naissante et la Reine souveraine de tous les martyrs.
La Père éternel a tant aimé le monde qu’Il lui a donné son propre Fils ; ce Fils s’est livré Lui-même à la mort, et nous pouvons dire que Marie, Mère de ce Dieu mourant, a tellement aimé le salut du monde qu’Elle a volontairement offert son Fils à la mort et Elle-même en son Fils. Le Fils, dit ce même Saint, est mort par la force de sa Passion amoureuse pour les âmes, et Marie par sa dilection compatissante !
Ah ! que nous devons aimer cette ancienne pratique de plusieurs provinces, où l’on met à l’une des faces de la Croix l’image de Jésus-Christ, et à l’autre celle de la Sainte Vierge, debout et les mains jointes, pour donner avis aux chrétiens que Jésus nous a sauvés par sa Passion, et que Marie nous a appris à compatir à Jésus par sa Compassion.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/album-la-croix-(5-cantiques-de-st-louis:9?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
tout embrasé d’amour pour la Croix du Sauveur,priez pour nous.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/album-la-croix-(5-cantiques-de-st-louis:9?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
« Le treizième jour d’avril 1607, après le sermon de la ville, auquel j’assistai, dit notre Père saint François de Sales, je fis un sermon de la Passion devant nos Religieuses de Sainte-Claire, qui m’en avaient tant conjuré, et, quand ce vint au point auquel je contemplais comment on chargea la Croix sur les épaules de Notre-Seigneur et comment il l’embrassa, en disant qu’en sa Croix et avec icelle il avoua et prit en soi toutes nos petites croix, et qu’il les baisa toutes pour les sanctifier, venant à particulariser qu’il baisa nos sécheresses, nos contradictions, nos amertumes, je vous assure, ma chère fille, que je fus fort consolé, et eus peine de contenir les larmes.... J’eus bien de la consolation en ce petit sermon, ajoute le Saint, auquel assistèrent vingt-cinq ou trente dévotes âmes de la ville, outre celles du Monastère, si que j’eus toute commodité de lâcher la bride à mes pauvres et menues affections sur un si digne sujet. Le bon et débonnaire Jésus soit à jamais le Roi de nos cœurs ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »