À la gloire de mon Sauveur,
Les grandes bontés de Marie
Envers son pauvre serviteur.
Destinons ce mois à compatir à toutes les douleurs de Marie au pied de la Croix de son adorable Fils, et imitons la force, la magnanimité, le calme, la paix de son admirable résignation durant la sanglante Passion de son Dieu et du nôtre.
Destinons ce mois à compatir à toutes les douleurs de Marie au pied de la Croix de son adorable Fils, et imitons la force, la magnanimité, le calme, la paix de son admirable résignation durant la sanglante Passion de son Dieu et du nôtre.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du Père Jules Chevalier sur la COMPASSION de NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR, en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/46-elle-est-notre-esp%C3%A9rance:c?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a
1er AVRIL
(vendredi après le 4ème Dimanche de Carême)
« Ce jour du Premier Vendredi du mois
a été indiqué à sainte Marguerite-Marie par Notre-Seigneur lui-même,
pour faire amende honorable à son Cœur.
Il est donc bien :
1° de s'y préparer par une Neuvaine ;
2° de communier aux intentions réparatrices
demandées par le Sauveur à sa fidèle Amante ;
3° de renouveler sa Consécration au Sacré-Cœur. »
(d'après le fascicule de la Garde d'honneur du Sacré-Cœur)
+ CANTIQUES pour le TEMPS du CARÊME
NEUVAINE à NOTRE-DAME des 7 DOULEURS (2ème jour)
Honorez aujourd’hui la sacrée Vierge dans la constance qu’Elle fit paraître au pied de la Croix, y demeurant debout avec une fermeté et magnanimité non pareilles, car Elle était crucifiée intérieurement en son âme avec les mêmes clous dont Notre-Seigneur l’était en son corps. Faites résolution de lui tenir une fidèle compagnie,
puisque c’est une considération de si grande utilité et profit que
celle de la Croix, ainsi que nous en assure notre saint Fondateur, en
disant : « Serait-il bien possible, je vous prie, de regarder en la Croix l’humilité de Notre-Seigneur sans devenir humble et sans avoir de l’affection aux humiliations ? Peut-on voir son obéissance sans être obéissant ? Non, certes, personne
n’a jamais regardé comme il faut Notre-Seigneur crucifié, qu’il n’ait
été préservé de la mort du péché et guéri de ses maladies. Et tous ceux qui sont morts, ç’a été pour ne l’avoir pas voulu contempler. »
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/Cantique-en-l'honneur-du-Calvaire-(version-int%C3%A9grale):1?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414
a été indiqué à sainte Marguerite-Marie par Notre-Seigneur lui-même,
pour faire amende honorable à son Cœur.
Il est donc bien :
1° de s'y préparer par une Neuvaine ;
2° de communier aux intentions réparatrices
demandées par le Sauveur à sa fidèle Amante ;
3° de renouveler sa Consécration au Sacré-Cœur. »
(d'après le fascicule de la Garde d'honneur du Sacré-Cœur)
+ CANTIQUES pour le TEMPS du CARÊME
Honorez aujourd’hui la sacrée Vierge dans la constance qu’Elle fit paraître au pied de la Croix, y demeurant debout avec une fermeté et magnanimité non pareilles, car Elle était crucifiée intérieurement en son âme avec les mêmes clous dont Notre-Seigneur l’était en son corps. Faites résolution de lui tenir une fidèle compagnie, puisque c’est une considération de si grande utilité et profit que celle de la Croix, ainsi que nous en assure notre saint Fondateur, en disant : « Serait-il bien possible, je vous prie, de regarder en la Croix l’humilité de Notre-Seigneur sans devenir humble et sans avoir de l’affection aux humiliations ? Peut-on voir son obéissance sans être obéissant ? Non, certes, personne n’a jamais regardé comme il faut Notre-Seigneur crucifié, qu’il n’ait été préservé de la mort du péché et guéri de ses maladies. Et tous ceux qui sont morts, ç’a été pour ne l’avoir pas voulu contempler. »
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TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le premier jour d’avril de l’année 1618, notre Père saint François de Sales étant à Grenoble, fit l’éloge de saint Hugues, qui était un des Saints de sa dévotion particulière : « Je l’honore, disait-il, parce qu’il a beaucoup contribué à peupler les affreuses solitudes de la Chartreuse d’un grand nombre de Religieux, dont la vertu répand dans toute l’Église une merveilleuse odeur de sainteté. » Il ne se lassait jamais de repasser dans son esprit cette riche sentence de saint Hugues : « Les maux que je fais sont vraiment maux, et vraiment miens ; les biens que je fais ne sont ni purement biens, ni purement miens. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »