Avec Marie il est aisé ;
Je lui dis : « Voilà votre Mère ! »
Aussitôt il est apaisé.
10 AVRIL
Honorons aujourd’hui la force avec laquelle la sacrée
Vierge se soutint sur le Calvaire, en lisant le titre que Pilate fit
mettre sur la Croix de son Fils : Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.
Admirons dans cette Mère d’Amour une nouvelle douceur dans une nouvelle
douleur. Elle savait que, du côté de la Providence, ce titre était
écrit par vérité et par mystère, et, de la part des hommes, par moquerie
et par mépris de la royauté de Jésus, devant lequel ses yeux avaient vu
les rois d’Orient se prosterner à genoux et abaisser leurs couronnes.
Hé ! consolez-vous, pouvait-elle dire aux disciples affligés : la
dérision et la moquerie que l’on fait aujourd’hui ne durera pas ; tenez pour assuré que le règne de ce Roi méprisé sera si durable qu’il n’aura point de fin. Consolons-nous donc dans nos tribulations ; si nous sommes en ce monde les fidèles disciples de Jésus affligé et mourant, nous devons espérer de nous réjouir dans son règne éternel. Ainsi le saint Apôtre veut que nous regardions nos tribulations comme des moments passagers qui produiront le poids d’une gloire éternelle.
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
intrépide défenseur de la vérité,priez pour nous.
Honorons aujourd’hui la force avec laquelle la sacrée Vierge se soutint sur le Calvaire, en lisant le titre que Pilate fit mettre sur la Croix de son Fils : Jésus de Nazareth, Roi des Juifs. Admirons dans cette Mère d’Amour une nouvelle douceur dans une nouvelle douleur. Elle savait que, du côté de la Providence, ce titre était écrit par vérité et par mystère, et, de la part des hommes, par moquerie et par mépris de la royauté de Jésus, devant lequel ses yeux avaient vu les rois d’Orient se prosterner à genoux et abaisser leurs couronnes. Hé ! consolez-vous, pouvait-elle dire aux disciples affligés : la dérision et la moquerie que l’on fait aujourd’hui ne durera pas ; tenez pour assuré que le règne de ce Roi méprisé sera si durable qu’il n’aura point de fin. Consolons-nous donc dans nos tribulations ; si nous sommes en ce monde les fidèles disciples de Jésus affligé et mourant, nous devons espérer de nous réjouir dans son règne éternel. Ainsi le saint Apôtre veut que nous regardions nos tribulations comme des moments passagers qui produiront le poids d’une gloire éternelle.
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
intrépide défenseur de la vérité,priez pour nous.
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TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Durant ce court séjour à Genève, l’an 1597, notre Père saint François de Sales était logé à l’Écu de France, et y fit rencontre de notre chère Sœur Anne-Jacqueline Coste. Elle servait en cette maison et conservait la pureté de sa foi au milieu de la corruption de cette Babylone. Il la communia, son Ange gardien servant de clerc, et, depuis ce moment, les deux Anges tutélaires de ces deux grandes âmes eurent des intelligences et des communications toutes particulières pour la direction de l’un et de l’autre. Saint François de Sales appelait même cette pieuse fille : « La favorite de mon bon Ange. » Le tout est exprimé et imprimé dans la vie de cette dévote Sœur.
Notre grand Saint ne quitta Genève que les larmes aux yeux et dit à M. Louis de Sales, son cousin et son cher coadjuteur dans ses travaux apostoliques : « Hé ! mon frère ! notre Jésus pleura sur sa chère et ingrate Jérusalem, pleurons et prions sur notre pauvre Genève. » Ce saint Missionnaire écrivit au Saint-Père Clément VIII, et à son Nonce apostolique, l’Archevêque de Bari, tout le succès de son voyage de Genève, ses tentatives, la disposition des affaires de la sainte Église, et reçut de Sa Sainteté un bref apostolique en réponse.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »