Où je découvre mes laideurs,
Où je me délecte sans gêne,
Où je tempère mes ardeurs.
17 AVRIL
Jésus-Christ est ressuscité,
Alleluia !
Oui, Il est vraiment ressuscité !
MÉDITATION MUSICALE pour le TEMPS PASCAL :
(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")
RENOUVELLEMENT des PROMESSES du BAPTÊME :
Contemplez aujourd’hui le dénûment de la sacrée Vierge voyant expirer son adorable Fils,
exposé sur la Croix. Elle n’alla point demander son corps à Pilate,
laissant ce soin à la piété de Joseph d’Arimathie et de Nicodème. Elle
savait bien que ces bourreaux inhumains ne pouvaient rien sur la
toute-puissance de cette Victime sacrée, et, bien que sa douleur
fût très-grande, elle n’y voulut chercher aucun soulagement extérieur,
laissant cette sainte humanité à la merci des hommes et son Cœur entre
les mains de Dieu. Ah ! la sainte pratique pour les âmes
religieuses et pour les chrétiens affligés et sujets à quelque puissance
secrète et tyrannique !
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(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")
Contemplez aujourd’hui le dénûment de la sacrée Vierge voyant expirer son adorable Fils, exposé sur la Croix. Elle n’alla point demander son corps à Pilate, laissant ce soin à la piété de Joseph d’Arimathie et de Nicodème. Elle savait bien que ces bourreaux inhumains ne pouvaient rien sur la toute-puissance de cette Victime sacrée, et, bien que sa douleur fût très-grande, elle n’y voulut chercher aucun soulagement extérieur, laissant cette sainte humanité à la merci des hommes et son Cœur entre les mains de Dieu. Ah ! la sainte pratique pour les âmes religieuses et pour les chrétiens affligés et sujets à quelque puissance secrète et tyrannique !
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le dix-septième d’avril 1602, notre Père saint François de Sales étant à Paris, plusieurs de ses amis lui représentèrent la grande inclination que le Roi avait pour sa personne et lui dirent qu’il n’avait qu’à s’avancer pour en profiter ; que l’Abbaye de Sainte-Geneviève ne lui manquerait pas, et que ce grand Monarque parlait souvent de lui et serait ravi de l’arrêter. Mais notre Saint refusa tout avec une humilité et un dégagement admirés de tous ceux qui considéraient les choses d’un œil humain. Il n’alléguait à ses amis que l’appel et la vocation de Dieu pour travailler dans la vigne de Genève, disant qu’on ne se donnait pas à l’Église pour faire grande fortune, mais pour travailler dans le champ assigné par le Père de famille, et que celui qu’on lui destinait (l’évêché de Genève) était déjà beaucoup au-dessus de ses mérites. Il refusa de même les dons gratuits et la pension que le Roi lui voulait donner, témoignant qu’il n’était à la cour que pour les seuls intérêts de la foi catholique et de son rétablissement dans la terre de Gex, sans mélange d’aucune prétention temporelle.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »