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« J’ai toujours vu les personnes
qui ont pour saint Joseph une vraie dévotion,
faire des progrès dans la vertu. »
(Sainte Thérèse d’Avila)
« J’ai toujours vu les personnes
qui ont pour saint Joseph une vraie dévotion,
faire des progrès dans la vertu. »
(Sainte Thérèse d’Avila)
TOUT sur SAINT JOSEPH, ici :
Saint LOUIS-MARIE GRIGNION de MONTFORT,
dévot esclave de JÉSUS et de MARIE,
priez pour nous.
https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/04/saint-louis-marie-grignion-de-montfort-28-avril.html (28 avril)
PRÉPARATION à la CONSÉCRATION
à la TRÈS SAINTE VIERGE
selon la méthode
selon la méthode
de St Louis-Marie Grignion de Montfort,
par le R.P. Texier
PDF à télécharger ici :
https://gloria.tv/album/UjKzPoRcoKE81GwKSRm2gHxsL/record/SkWmTuBrm8Y83k4ACRSR7toCg
https://gloria.tv/album/UjKzPoRcoKE81GwKSRm2gHxsL/record/SkWmTuBrm8Y83k4ACRSR7toCg
CONSÉCRATION
"À JÉSUS PAR MARIE"
ou la dévotion du Saint Esclavage
selon Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
"À JÉSUS PAR MARIE"
ou la dévotion du Saint Esclavage
selon Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :
https://youtu.be/rEltZd58Sp8
(exemple de site de téléchargement :
https://www.onlinevideoconverter.com/fr/video-converter )
Chant : Jean-Myriam Chevalier (recto-tono pour les 3 prières)
Mélodie & accompagnement : Gilbert Chevalier (aveugle)
(la mélodie des couplets est inspirée d'un concerto de Mozart pour clarinette)
Enregistrement : 26 avril 2017
Liens des 4 différentes parties :
1- Consécration du Saint Esclavage : https://youtu.be/rEltZd58Sp8?t=121
2- Cantique du dévot esclave de Jésus en Marie : https://youtu.be/rEltZd58Sp8?t=638
3- Oraison à Jésus : https://youtu.be/rEltZd58Sp8?t=1971
4- Oraison à Marie : https://youtu.be/rEltZd58Sp8?t=2276
Fichier PDF des Paroles de ces cantique & 3 prières ici :
http://www.montfortajpm.sitew.fr/fs/Root/dg2ws-Consecration_A_JESUS_par_MARIE_St_Louis_Marie_Grignion_de_Montfort_.pdf
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/dg2ws-Consecration_A_JESUS_par_MARIE_St_Louis_Marie_Grignion_de_Montfort_.pdf
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/dg2ws-Consecration_A_JESUS_par_MARIE_St_Louis_Marie_Grignion_de_Montfort_.pdf
- I -
CONSÉCRATION TOTALE et SANS RÉSERVE
de SOI-MÊME
à JÉSUS-CHRIST la SAGESSE INCARNÉE,
PAR les MAINS de MARIE,
dite
Consécration du Saint Esclavage
Formule abrégée de la Consécration montfortaine "À JÉSUS par MARIE" approuvée par le Saint-Siège |
Ô Sagesse éternelle et incarnée ! ô très aimable et adorable Jésus, vrai Dieu et vrai homme, Fils unique du Père Éternel et de Marie, toujours Vierge ! je vous adore profondément dans le sein et les splendeurs de votre Père, pendant l’éternité, et dans le sein virginal de Marie, votre très digne Mère, dans le temps de votre Incarnation.
Je vous rends grâces de ce que vous vous êtes anéanti vous-même, en prenant la forme d’un esclave, pour me tirer du cruel esclavage du démon. Je vous loue et glorifie de ce que vous avez bien voulu vous soumettre à Marie votre sainte Mère, en toutes choses, afin de me rendre, par Elle, votre fidèle esclave. Mais, hélas ! ingrat et infidèle que je suis, je ne vous ai pas gardé les promesses que je vous ai si solennellement faites à mon Baptême. Je n’ai point rempli mes obligations. Je ne mérite pas d’être appelé votre enfant ni votre esclave, et comme il n’y a rien en moi qui ne mérite vos rebuts et votre colère, je n’ose plus par moi-même approcher de votre très sainte et auguste Majesté.
C’est pourquoi j’ai recours à l’intercession de votre très sainte Mère, que vous m’avez donnée pour Médiatrice auprès de vous, et c’est par ce moyen que j’espère obtenir de vous la contrition et le pardon de mes péchés, l’acquisition et la conservation de la Sagesse.
Je vous salue donc, ô Marie Immaculée, tabernacle vivant de la Divinité, où la Sagesse éternelle cachée veut être adorée des Anges et des hommes. Je vous salue, ô Reine du Ciel et de la terre, à l’empire de qui est soumis tout ce qui est au-dessous de Dieu. Je vous salue, ô Refuge assuré des pécheurs, dont la miséricorde ne manque à personne. Exaucez les désirs que j’ai de la divine Sagesse, et recevez pour cela les vœux et les offres que ma bassesse vous présente.
Moi, N…, pécheur infidèle, je renouvelle et ratifie aujourd’hui, entre vos mains, les vœux de mon Baptême : je renonce pour jamais à Satan, à ses pompes et à ses œuvres, et je me donne tout entier à Jésus-Christ, la Sagesse incarnée, pour porter ma croix à sa suite tous les jours de ma vie. Et afin que je lui sois plus fidèle que je n’ai été jusqu’ici,
Je vous choisis aujourd’hui, [ô Marie], en présence de toute la cour céleste, pour ma Mère et Maîtresse. Je vous livre et consacre, en qualité d’esclave, mon corps et mon âme, mes biens intérieurs et extérieurs, et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures, vous laissant un entier et plein droit de disposer de moi et de tout ce qui m’appartient, sans exception, selon votre bon plaisir, à la plus grande gloire de Dieu, dans le temps et l’éternité.
Recevez, ô Vierge bénigne, cette petite offrande de mon esclavage, en l’honneur et union de la soumission que la Sagesse éternelle a bien voulu avoir à votre maternité ; en hommage de la puissance que vous avez tous deux sur ce petit vermisseau et ce misérable pécheur ; en action de grâces des privilèges dont la sainte Trinité vous a favorisée. Je proteste que je veux désormais, comme votre véritable esclave, chercher votre honneur et vous obéir en toutes choses.
Ô Mère admirable ! présentez-moi à votre cher Fils, en qualité d’esclave éternel, afin que, m’ayant racheté par vous, il me reçoive par vous.
Ô Mère de Miséricorde ! faites-moi la grâce d’obtenir la vraie Sagesse de Dieu et de me mettre, pour cela, au nombre de ceux que vous aimez, que vous enseignez, que vous conduisez, que vous nourrissez et protégez comme vos enfants et vos esclaves.
Ô Vierge fidèle ! rendez-moi en toutes choses un si parfait disciple, imitateur et esclave de la Sagesse incarnée, Jésus-Christ votre Fils, que j’arrive, par votre intercession, à votre exemple, à la plénitude de son âge sur la terre et de sa gloire dans les Cieux. Ainsi soit-il !
- II -
CANTIQUE
du DÉVOT ESCLAVE DE JÉSUS EN MARIE
1- Que mon âme chante et publie,
À la gloire de mon Sauveur,
Les grandes bontés de Marie
Envers son pauvre serviteur.
2- Que n’ai-je une voix de tonnerre
Afin de chanter en tous lieux
Que les plus heureux de la terre
Sont ceux qui la servent le mieux !
R./ Pour aller à Jésus,
Allons, chrétiens, allons par Marie !
Pour aller à Jésus,
C’est le divin secret des élus.
3- Chrétiens, apprêtez vos oreilles,
Écoutez-moi, prédestinés,
Car je raconte les merveilles
De celle dont vous êtes nés.
4- MARIE est ma grande richesse
Et mon tout auprès de Jésus :
C’est mon honneur, c’est ma tendresse,
C’est le trésor de mes vertus !
5- Elle est mon arche d’alliance
Où je trouve la sainteté ;
Elle est ma robe d’innocence
Dont je couvre ma pauvreté.
6- Elle est mon divin oratoire
Où je trouve toujours Jésus :
J’y prie avec beaucoup de gloire,
Je n’y crains jamais de refus.
7- Elle est ma ville de refuge
Où je ne suis point outragé ;
C’est mon arche dans le déluge
Où je ne suis point submergé.
8- Je suis tout dans sa dépendance
Pour mieux dépendre du Sauveur,
Laissant tout à sa Providence :
Mon corps, mon âme et mon bonheur.
9- Quand je m’élève à Dieu mon Père
Du fond de mon iniquité,
C’est sur les ailes de ma Mère,
C’est sur l’appui de sa bonté.
10- Pour calmer Jésus en colère,
Avec Marie il est aisé ;
Je lui dis : « Voilà votre Mère ! »
Aussitôt il est apaisé.
11- Cette bonne Mère et Maîtresse
Me secourt partout puissamment,
Et quand je tombe par faiblesse
Elle me relève à l’instant.
12- Quand mon âme se sent troublée
Par mes péchés de tous les jours,
Elle est toute pacifiée,
Disant : « Marie, à mon secours ! »
13- Elle me dit dans son langage,
Lorsque je suis dans mes combats :
« Courage, mon enfant, courage !
Je ne t’abandonnerai pas ! »
14- Comme un enfant à la mamelle
Je suis attaché sur son sein :
Cette Vierge pure et fidèle
M’y nourrit d’un lait tout divin.
15- Voici ce qu’on ne pourra croire :
Je la porte au milieu de moi,
Gravée avec des traits de gloire,
Quoique dans l’obscur de la foi.
16- Elle me rend pur et fertile
Par sa pure fécondité ;
Elle me rend fort et docile
Par sa profonde humilité.
17- Marie est ma claire fontaine
Où je découvre mes laideurs,
Où je me délecte sans gêne,
Où je tempère mes ardeurs.
18- Je vais par Jésus à son Père
Et je n’en suis point rebuté ;
Je vais à Jésus par sa Mère
Et je n’en suis point rejeté.
19- Je fais tout en elle et par elle :
C’est un secret de sainteté
Pour être à Dieu toujours fidèle,
Pour faire en tout sa Volonté.
20- Chrétiens, suppléez, je vous prie
À ma grande infidélité :
Aimez Jésus, aimez Marie,
Dans le temps et l’éternité !
Toutes les autres versions (avec les liens de téléchargement)
:
- III -
- IV -
« Je suis tout à vous et tout ce que j’ai je vous l’offre,
Allons, chrétiens, allons par Marie !
Pour aller à Jésus,
C’est le divin secret des élus.
3- Chrétiens, apprêtez vos oreilles,
Écoutez-moi, prédestinés,
Car je raconte les merveilles
De celle dont vous êtes nés.
4- MARIE est ma grande richesse
Et mon tout auprès de Jésus :
C’est mon honneur, c’est ma tendresse,
C’est le trésor de mes vertus !
5- Elle est mon arche d’alliance
Où je trouve la sainteté ;
Elle est ma robe d’innocence
Dont je couvre ma pauvreté.
6- Elle est mon divin oratoire
Où je trouve toujours Jésus :
J’y prie avec beaucoup de gloire,
Je n’y crains jamais de refus.
7- Elle est ma ville de refuge
Où je ne suis point outragé ;
C’est mon arche dans le déluge
Où je ne suis point submergé.
8- Je suis tout dans sa dépendance
Pour mieux dépendre du Sauveur,
Laissant tout à sa Providence :
Mon corps, mon âme et mon bonheur.
9- Quand je m’élève à Dieu mon Père
Du fond de mon iniquité,
C’est sur les ailes de ma Mère,
C’est sur l’appui de sa bonté.
10- Pour calmer Jésus en colère,
Avec Marie il est aisé ;
Je lui dis : « Voilà votre Mère ! »
Aussitôt il est apaisé.
11- Cette bonne Mère et Maîtresse
Me secourt partout puissamment,
Et quand je tombe par faiblesse
Elle me relève à l’instant.
12- Quand mon âme se sent troublée
Par mes péchés de tous les jours,
Elle est toute pacifiée,
Disant : « Marie, à mon secours ! »
13- Elle me dit dans son langage,
Lorsque je suis dans mes combats :
« Courage, mon enfant, courage !
Je ne t’abandonnerai pas ! »
14- Comme un enfant à la mamelle
Je suis attaché sur son sein :
Cette Vierge pure et fidèle
M’y nourrit d’un lait tout divin.
15- Voici ce qu’on ne pourra croire :
Je la porte au milieu de moi,
Gravée avec des traits de gloire,
Quoique dans l’obscur de la foi.
16- Elle me rend pur et fertile
Par sa pure fécondité ;
Elle me rend fort et docile
Par sa profonde humilité.
17- Marie est ma claire fontaine
Où je découvre mes laideurs,
Où je me délecte sans gêne,
Où je tempère mes ardeurs.
18- Je vais par Jésus à son Père
Et je n’en suis point rebuté ;
Je vais à Jésus par sa Mère
Et je n’en suis point rejeté.
19- Je fais tout en elle et par elle :
C’est un secret de sainteté
Pour être à Dieu toujours fidèle,
Pour faire en tout sa Volonté.
20- Chrétiens, suppléez, je vous prie
À ma grande infidélité :
Aimez Jésus, aimez Marie,
Dans le temps et l’éternité !
Toutes les autres versions (avec les liens de téléchargement)
:
- III -
ORAISON à JÉSUS,
en action de grâces
après la consécration du Saint Esclavage
Mon aimable Jésus, permettez-moi de m’adresser à vous pour vous témoigner la reconnaissance où je suis de la grâce que vous m’avez faite, en me donnant à votre sainte Mère par la dévotion de l’esclavage, pour être mon avocate auprès de votre Majesté, et mon supplément universel dans ma très grande misère. Hélas ! Seigneur, je suis si misérable que, sans cette bonne Mère, je serais infailliblement perdu. Oui, Marie m’est nécessaire auprès de vous et partout : nécessaire pour vous calmer dans votre juste colère, puisque je vous ai tant offensé tous les jours ; nécessaire pour arrêter les châtiments éternels de votre justice que je mérite ; nécessaire pour vous regarder, pour vous parler, vous prier, vous approcher et vous plaire ; nécessaire pour sauver mon âme et celle des autres ; nécessaire, en un mot, pour faire votre sainte volonté et procurer en tout votre plus grande gloire. Ah ! que ne puis-je publier par tout l’univers cette miséricorde que vous avez eue envers moi ! Que tout le monde ne connaît-il que, sans Marie, je serais damné ! Que ne puis-je rendre de dignes actions de grâces d’un si grand bienfait !
Marie est en moi, [haec facta est mihi]. Oh ! quel trésor ! Oh ! quelle consolation ! Et je ne serais pas, après cela, tout à Elle ! Oh ! quelle ingratitude, mon cher Sauveur ! Envoyez-moi plutôt la mort que ce malheur m’arrive : car j’aime mieux mourir que de vivre sans être tout à Marie. Je l’ai mille et mille fois prise pour tout mon bien, avec saint Jean l’Évangéliste, au pied de la Croix, et je me suis autant de fois donné à Elle ; mais, si je ne l’ai pas encore bien fait selon vos désirs, mon cher Jésus, je le fais maintenant comme vous le voulez que je fasse ; et si vous voyez en mon âme et mon corps quelque chose qui n’appartienne pas à cette auguste Princesse, je vous prie de me l’arracher et de le jeter loin de moi, puisque, n’étant pas à Marie, il est indigne de vous.
Ô Saint-Esprit ! accordez-moi toutes ces grâces, et plantez, arrosez et cultivez en mon âme l’aimable Marie, qui est l’Arbre de vie véritable, afin qu’il croisse, qu’il fleurisse et apporte du fruit de vie avec abondance. Ô Saint-Esprit ! donnez-moi une grande dévotion et un grand penchant vers Marie votre divine Épouse, un grand appui sur son sein maternel et un recours continuel à sa miséricorde, afin qu’en Elle vous formiez en moi Jésus-Christ au naturel, grand et puissant, jusqu’à la plénitude de son âge parfait. Ainsi soit-il.
Marie est en moi, [haec facta est mihi]. Oh ! quel trésor ! Oh ! quelle consolation ! Et je ne serais pas, après cela, tout à Elle ! Oh ! quelle ingratitude, mon cher Sauveur ! Envoyez-moi plutôt la mort que ce malheur m’arrive : car j’aime mieux mourir que de vivre sans être tout à Marie. Je l’ai mille et mille fois prise pour tout mon bien, avec saint Jean l’Évangéliste, au pied de la Croix, et je me suis autant de fois donné à Elle ; mais, si je ne l’ai pas encore bien fait selon vos désirs, mon cher Jésus, je le fais maintenant comme vous le voulez que je fasse ; et si vous voyez en mon âme et mon corps quelque chose qui n’appartienne pas à cette auguste Princesse, je vous prie de me l’arracher et de le jeter loin de moi, puisque, n’étant pas à Marie, il est indigne de vous.
Ô Saint-Esprit ! accordez-moi toutes ces grâces, et plantez, arrosez et cultivez en mon âme l’aimable Marie, qui est l’Arbre de vie véritable, afin qu’il croisse, qu’il fleurisse et apporte du fruit de vie avec abondance. Ô Saint-Esprit ! donnez-moi une grande dévotion et un grand penchant vers Marie votre divine Épouse, un grand appui sur son sein maternel et un recours continuel à sa miséricorde, afin qu’en Elle vous formiez en moi Jésus-Christ au naturel, grand et puissant, jusqu’à la plénitude de son âge parfait. Ainsi soit-il.
- IV -
ORAISON à MARIE
ou renouvellement
de la Consécration du Saint Esclavage
Je Vous salue, Marie, Fille bien-aimée du Père Éternel ; je vous salue, Marie, Mère admirable du Fils ; je vous salue, Marie, Épouse très fidèle du Saint-Esprit ; je vous salue, Marie, ma chère Mère, mon aimable Maîtresse et ma puissante Souveraine ; je vous salue, ma joie, ma gloire, mon cœur et mon âme ! Vous êtes toute à moi par miséricorde, et je suis tout à vous par justice. Et je ne le suis pas encore assez : je me donne à vous tout entier de nouveau, en qualité d’esclave éternel, sans rien réserver pour moi ni pour autre. Si vous voyez encore en moi quelque chose qui ne vous appartienne pas, je vous supplie de le prendre en ce moment, et de vous rendre la Maîtresse absolue de mon pouvoir ; de détruire et déraciner, et d’y anéantir tout ce qui déplaît à Dieu, et d’y planter, d’y élever, d’y opérer tout ce qu’il vous plaira.
Que la lumière de votre foi dissipe les ténèbres de mon esprit ; que votre humilité profonde prenne la place de mon orgueil ; que votre contemplation sublime arrête les distractions de mon imagination vagabonde ; que votre vue continuelle de Dieu remplisse ma mémoire de sa présence ; que l’incendie de la charité de votre Cœur dilate et embrase la tiédeur et la froideur du mien ; que vos vertus prennent la place de mes péchés ; que vos mérites soient mon ornement et mon supplément devant Dieu. Enfin, ma très chère et bien-aimée Mère, faites, s’il se peut, que je n’aie point d’autre esprit que le vôtre pour connaître Jésus-Christ et ses divines volontés ; que je n’aie point d’autre âme que la vôtre pour louer et glorifier le Seigneur ; que je n’aie point d’autre cœur que le vôtre pour aimer Dieu d’un amour pur et d’un amour ardent comme vous.
Je ne vous demande ni visions, ni révélations, ni goûts, ni plaisirs, même spirituels. C’est à vous de voir clairement sans ténèbres ; c’est à vous de triompher glorieusement à la droite de votre Fils dans le Ciel, sans aucune humiliation ; c’est à vous de commander absolument aux Anges et aux hommes et aux démons, sans résistance, et enfin de disposer, selon votre volonté, de tous les biens de Dieu, sans aucune réserve. Voilà, divine Marie, la très bonne part que le Seigneur vous a donnée et qui ne vous sera jamais ôtée : ce qui me donne une grande joie. Pour ma part ici-bas, je n’en veux point d’autre que celle que vous avez eue, savoir : de croire purement, sans rien goûter ni voir ; de souffrir joyeusement, sans consolation des créatures ; de mourir continuellement à moi-même, sans relâche ; et de travailler fortement jusqu’à la mort, pour vous, sans aucun intérêt, comme le plus vil des esclaves. La seule grâce que je vous demande, par pure miséricorde, c’est que, tous les jours et moments de ma vie, je dise trois fois Amen : Ainsi soit-il, à tout ce que vous avez fait sur la terre, lorsque vous y viviez ; Ainsi soit-il, à tout ce que vous faites à présent dans le Ciel ; Ainsi soit-il, à tout ce que vous faites en mon âme, afin qu’il n’y ait que vous à glorifier pleinement Jésus en moi pendant le temps et l’éternité. Ainsi soit-il.
Que la lumière de votre foi dissipe les ténèbres de mon esprit ; que votre humilité profonde prenne la place de mon orgueil ; que votre contemplation sublime arrête les distractions de mon imagination vagabonde ; que votre vue continuelle de Dieu remplisse ma mémoire de sa présence ; que l’incendie de la charité de votre Cœur dilate et embrase la tiédeur et la froideur du mien ; que vos vertus prennent la place de mes péchés ; que vos mérites soient mon ornement et mon supplément devant Dieu. Enfin, ma très chère et bien-aimée Mère, faites, s’il se peut, que je n’aie point d’autre esprit que le vôtre pour connaître Jésus-Christ et ses divines volontés ; que je n’aie point d’autre âme que la vôtre pour louer et glorifier le Seigneur ; que je n’aie point d’autre cœur que le vôtre pour aimer Dieu d’un amour pur et d’un amour ardent comme vous.
Je ne vous demande ni visions, ni révélations, ni goûts, ni plaisirs, même spirituels. C’est à vous de voir clairement sans ténèbres ; c’est à vous de triompher glorieusement à la droite de votre Fils dans le Ciel, sans aucune humiliation ; c’est à vous de commander absolument aux Anges et aux hommes et aux démons, sans résistance, et enfin de disposer, selon votre volonté, de tous les biens de Dieu, sans aucune réserve. Voilà, divine Marie, la très bonne part que le Seigneur vous a donnée et qui ne vous sera jamais ôtée : ce qui me donne une grande joie. Pour ma part ici-bas, je n’en veux point d’autre que celle que vous avez eue, savoir : de croire purement, sans rien goûter ni voir ; de souffrir joyeusement, sans consolation des créatures ; de mourir continuellement à moi-même, sans relâche ; et de travailler fortement jusqu’à la mort, pour vous, sans aucun intérêt, comme le plus vil des esclaves. La seule grâce que je vous demande, par pure miséricorde, c’est que, tous les jours et moments de ma vie, je dise trois fois Amen : Ainsi soit-il, à tout ce que vous avez fait sur la terre, lorsque vous y viviez ; Ainsi soit-il, à tout ce que vous faites à présent dans le Ciel ; Ainsi soit-il, à tout ce que vous faites en mon âme, afin qu’il n’y ait que vous à glorifier pleinement Jésus en moi pendant le temps et l’éternité. Ainsi soit-il.
« Je suis tout à vous et tout ce que j’ai je vous l’offre,
ô mon aimable Jésus, par Marie, votre sainte Mère. »
http://montfortajpm.blogspot.fr/p/a-jesus-par-marie.html
(CONSÉCRATION montfortaine "À JÉSUS par MARIE",
(CONSÉCRATION montfortaine "À JÉSUS par MARIE",
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« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
Alors, rendez-vous ici :
"Le CHAPELET récité avec vous !
avec Méthode montfortaine"