La plus glorieuse au Seigneur,
La plus conforme à l’Évangile,
Est de réparer son honneur.
24 JUIN
NOTRE-DAME de TOUTES-AIDES, priez pour nous.
(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")
NEUVAINE à NOTRE-DAME du PERPÉTUEL-SECOURS (7ème jour)
Unissez aujourd’hui votre cœur à toute la sainte Église pour faire avec joie commémoration de la joyeuse naissance de saint Jean. Congratulez la Sainte Vierge et toute sa parenté de la naissance de ce cher enfant envoyé au monde, non comme étant la lumière, mais pour rendre témoignage à la lumière, pour montrer au doigt l’Agneau de Dieu comme la Victime d’expiation des péchés des hommes.
Ce plus que prophète, ce plus grand entre les enfants des femmes, est
si petit auprès du Fils de la Vierge qu’il protesta lui-même n’être pas
digne de délier la courroie de ses souliers. Vous saviez toutes ces
choses, Vierge Sainte, mais vous vous taisiez et ne découvriez point le secret du ciel dans cette joie publique de tout le voisinage ; vous vous contentiez d’y prendre une part modeste et d’en glorifier Dieu. Je veux aujourd’hui donner quelque temps de mon recueillement à penser à ces paroles évangéliques : Un homme fut envoyé de Dieu ; il avait nom Jean ; il n’était pas la lumière, mais il rendait seulement témoignage à la lumière. Jésus et Marie étaient les uniques lumières, le soleil et la lune de l’Église. Jean en a rendu témoignage, même avant sa naissance, par la bouche de sa mère.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du CANTIQUE à Saint JEAN-BAPTISTE, en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/cantique-%C3%A0-saint-jean-baptiste-(cette:1?lid=00e03aed6263acb44604a52ebed8c9a29f6286c0 (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
protecteur de la catholique Savoie,priez pour nous.
NOTRE-DAME de TOUTES-AIDES, priez pour nous.
(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")
NEUVAINE à NOTRE-DAME du PERPÉTUEL-SECOURS (7ème jour)
Unissez aujourd’hui votre cœur à toute la sainte Église pour faire avec joie commémoration de la joyeuse naissance de saint Jean. Congratulez la Sainte Vierge et toute sa parenté de la naissance de ce cher enfant envoyé au monde, non comme étant la lumière, mais pour rendre témoignage à la lumière, pour montrer au doigt l’Agneau de Dieu comme la Victime d’expiation des péchés des hommes.
Ce plus que prophète, ce plus grand entre les enfants des femmes, est
si petit auprès du Fils de la Vierge qu’il protesta lui-même n’être pas
digne de délier la courroie de ses souliers. Vous saviez toutes ces
choses, Vierge Sainte, mais vous vous taisiez et ne découvriez point le secret du ciel dans cette joie publique de tout le voisinage ; vous vous contentiez d’y prendre une part modeste et d’en glorifier Dieu. Je veux aujourd’hui donner quelque temps de mon recueillement à penser à ces paroles évangéliques : Un homme fut envoyé de Dieu ; il avait nom Jean ; il n’était pas la lumière, mais il rendait seulement témoignage à la lumière. Jésus et Marie étaient les uniques lumières, le soleil et la lune de l’Église. Jean en a rendu témoignage, même avant sa naissance, par la bouche de sa mère.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du CANTIQUE à Saint JEAN-BAPTISTE, en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/cantique-%C3%A0-saint-jean-baptiste-(cette:1?lid=00e03aed6263acb44604a52ebed8c9a29f6286c0 (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
protecteur de la catholique Savoie,priez pour nous.
Unissez aujourd’hui votre cœur à toute la sainte Église pour faire avec joie commémoration de la joyeuse naissance de saint Jean. Congratulez la Sainte Vierge et toute sa parenté de la naissance de ce cher enfant envoyé au monde, non comme étant la lumière, mais pour rendre témoignage à la lumière, pour montrer au doigt l’Agneau de Dieu comme la Victime d’expiation des péchés des hommes. Ce plus que prophète, ce plus grand entre les enfants des femmes, est si petit auprès du Fils de la Vierge qu’il protesta lui-même n’être pas digne de délier la courroie de ses souliers. Vous saviez toutes ces choses, Vierge Sainte, mais vous vous taisiez et ne découvriez point le secret du ciel dans cette joie publique de tout le voisinage ; vous vous contentiez d’y prendre une part modeste et d’en glorifier Dieu. Je veux aujourd’hui donner quelque temps de mon recueillement à penser à ces paroles évangéliques : Un homme fut envoyé de Dieu ; il avait nom Jean ; il n’était pas la lumière, mais il rendait seulement témoignage à la lumière. Jésus et Marie étaient les uniques lumières, le soleil et la lune de l’Église. Jean en a rendu témoignage, même avant sa naissance, par la bouche de sa mère.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du CANTIQUE à Saint JEAN-BAPTISTE, en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/cantique-%C3%A0-saint-jean-baptiste-(cette:1?lid=00e03aed6263acb44604a52ebed8c9a29f6286c0 (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
protecteur de la catholique Savoie,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
On peut voir, dans le septième livre des épîtres de notre Père saint François de Sales, son incomparable dévotion pour le glorieux précurseur de Jésus, qu’il nommait le Père et le Fils tout ensemble de la Visitation Sainte-Marie. Ce ne fut pas sans Providence de Notre-Seigneur que notre Saint fit son premier sermon le jour de la fête du glorieux saint Jean-Baptiste, voix du Verbe et préparateur de cette unique Voix, destinée pour crier dans les déserts et pour être le prédicateur des pécheurs et des dévoyés. Ce fut donc le jour de la fête de ce premier prédicateur évangélique, saint Jean, que saint François de Sales monta pour la première fois en chaire pour prêcher publiquement. Il s’était modestement retiré, le jour de la Fête-Dieu, ayant cédé sa place à un autre prédicateur étranger, et avait renvoyé son sermon au jour de l’octave du très-saint Sacrement, qui se trouva le jour de Saint-Jean 1593. Dieu permit que ce saint jeune homme, humble et craintif, entrât dans une appréhension si grande de prêcher qu’il prit un violent accès de fièvre lorsqu’il ouït sonner son sermon. Il fut contraint de se jeter sur le lit, où, ayant un peu demeuré en repos, il eut crainte qu’il n’y eût de la tentation dans cette appréhension excessive. Il se jeta à genoux, s’abandonna à Dieu, réclama l’aide de la Sainte Vierge et s’en alla courageusement monter en chaire. Un peuple immense l’attendait et il ne fut point déçu de son attente. Ce nouveau prédicateur prit pour sujet de son discours la réalité du corps de Notre-Seigneur Jésus-Christ en la très-sainte Eucharistie. Il expliqua très-dévotement et très-éloquemment que le souverain Bien est souverainement communicatif de soi-même, qu’il y a trois principales communications : la première du Père, qui se communique au Fils et du Père et du Fils qui se communiquent au Saint-Esprit ; la seconde, en laquelle la très-sainte Trinité a communiqué la personne divine à la nature humaine ; la troisième, en laquelle Dieu communique le corps de son Fils non à la nature, mais à toutes les personnes humaines ; que ces trois communications sont tellement liées l’une à l’autre que la troisième ne peut être sans la seconde, ni la seconde sans la première, que la troisième est la mémoire de la seconde et la seconde de la première. De là, il toucha les erreurs des hérétiques touchant ces trois communications, surtout de Sabellius, d’Arius, d’Eutychès, de Paul de Samosate et de Calvin, faisant entrer dans ses discours plusieurs belles similitudes, passages de l’Écriture, sentences des Pères et arguments de théologie. Le bon Prélat, Claude de Granier, ainsi que le père et la mère du saint prédicateur, pleuraient de joie, et tout le peuple fit une si grande démonstration de son approbation, qu’aussitôt après que le sermon fut fini, ces bonnes gens avaient peine d’attendre que le Saint fût dehors de l’église pour témoigner leur admiration, et disaient tout haut que véritablement Dieu visitait la Savoie et faisait paraître un astre nouveau sur l’Église de Genève.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »