Sans cesser d’aimer un moment ;
Il nous aime autant que lui-même,
Avec excès, infiniment.
JEUDI de la PENTECÔTE :
+ Au SAINT-ESPRIT (paraphrase du VENI CREATOR)
Pour finir cette neuvaine, commencée le premier jour de juin, jetez-vous aux pieds de la sacrée Vierge,
honorez les traces et les démarches de cette sainte Épouse que le saint
Époux a tant louée et admirée. Ces bénis pieds n’ont jamais marché que dans les sentiers de la droiture, de la sainteté et de la paix ; ces pieds ont foulé et écrasé la tête du serpent infernal ; ces pieds nous tracent les voies de la vie cachée à Nazareth, de la vie pieuse et dévote au Temple de Dieu, de la vie humble et pauvre en Égypte, de la vie souffrante et crucifiée au Calvaire. C’est le devoir et l’obligation d’une bonne servante de suivre pas à pas sa Maîtresse. Le divin Époux loue les pas, les pieds et la chaussure de la sainte Épouse. « Ô véritable Judith, que votre chaussure est admirable ! Ô sainte Fille de Sion, que vos démarches sont belles ! Venez, fidèle Bergère du troupeau de Dieu, venez, hâtez le pas pour me délivrer de la gueule du loup infernal. »
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
parfait exemple de prudence et de charitédans la conduite des âmes,priez pour nous.
Pour finir cette neuvaine, commencée le premier jour de juin, jetez-vous aux pieds de la sacrée Vierge,
honorez les traces et les démarches de cette sainte Épouse que le saint
Époux a tant louée et admirée. Ces bénis pieds n’ont jamais marché que dans les sentiers de la droiture, de la sainteté et de la paix ; ces pieds ont foulé et écrasé la tête du serpent infernal ; ces pieds nous tracent les voies de la vie cachée à Nazareth, de la vie pieuse et dévote au Temple de Dieu, de la vie humble et pauvre en Égypte, de la vie souffrante et crucifiée au Calvaire. C’est le devoir et l’obligation d’une bonne servante de suivre pas à pas sa Maîtresse. Le divin Époux loue les pas, les pieds et la chaussure de la sainte Épouse. « Ô véritable Judith, que votre chaussure est admirable ! Ô sainte Fille de Sion, que vos démarches sont belles ! Venez, fidèle Bergère du troupeau de Dieu, venez, hâtez le pas pour me délivrer de la gueule du loup infernal. »
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
parfait exemple de prudence et de charitédans la conduite des âmes,priez pour nous.
Pour finir cette neuvaine, commencée le premier jour de juin, jetez-vous aux pieds de la sacrée Vierge, honorez les traces et les démarches de cette sainte Épouse que le saint Époux a tant louée et admirée. Ces bénis pieds n’ont jamais marché que dans les sentiers de la droiture, de la sainteté et de la paix ; ces pieds ont foulé et écrasé la tête du serpent infernal ; ces pieds nous tracent les voies de la vie cachée à Nazareth, de la vie pieuse et dévote au Temple de Dieu, de la vie humble et pauvre en Égypte, de la vie souffrante et crucifiée au Calvaire. C’est le devoir et l’obligation d’une bonne servante de suivre pas à pas sa Maîtresse. Le divin Époux loue les pas, les pieds et la chaussure de la sainte Épouse. « Ô véritable Judith, que votre chaussure est admirable ! Ô sainte Fille de Sion, que vos démarches sont belles ! Venez, fidèle Bergère du troupeau de Dieu, venez, hâtez le pas pour me délivrer de la gueule du loup infernal. »
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
parfait exemple de prudence et de charitédans la conduite des âmes,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le neuvième de juin 1606, décéda à La Roche Pernette Boutey, fille spirituelle de notre Père saint François de Sales, qui donna des preuves d’une incomparable débonnaireté par la tendresse pastorale qu’il témoigna sur cette nouvelle. On fit une grande raillerie de ce que cet homme de Dieu s’était essuyé les yeux deux ou trois fois, apprenant que cette dévote femme avait rendu l’esprit. Il répondit par ce peu de mots : « À telle âme appartient le royaume des cieux, et cette bonne femme, qui n’était que petite par condition en terre, sera bientôt, comme je l’espère, notre grande avocate au ciel. » Il ordonna à l’un de ses ecclésiastiques d’en écrire les principales actions et la sainte mort, et adressa à notre digne Mère de Chantal, encore séculière, les paroles suivantes : « Je vous enverrai bientôt le recueil de la vie d’une sainte villageoise de mon diocèse, mariée, et qui, en quarante-huit ans, a donné toutes les marques d’une vie parfaite dans l’intérieur et dans l’extérieur, car elle a été une Monique dans son ménage et une Madeleine dans l’oraison. Ah ! ma fille, à qui tient-il que nous ne soyons pas saints parmi tant d’exemples domestiques et étrangers ? En la ville, aux champs, tout nous prêche. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »