samedi 25 juin 2022

Le 25 JUIN avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Nous vivons ici-bas dans une guerre continuelle. »
 
(Saint Alphonse de Liguori)


LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS

Ce n’est que vous seul que j’adore,
Cœur de mon Dieu, Cœur glorieux ;
Mais, en vous adorant, j’honore
Le Cœur de la Reine des Cieux.



 

25 JUIN
  
TRÈS PUR CŒUR de MARIE, priez pour nous.
 (lendemain de la fête du Sacré-Cœur)
 





 
              
              Considérez qu’au jour de la nativité de saint Jean-Baptiste, Marie, pleine de grâces, reçut dans son giron l’enfant de la grâce. Notre Père saint François de Sales veut que cette réception du petit saint Jean soit un des plus précieux privilèges de ce grand précurseur de Jésus-Christ, que ce soit pour lui comme une adoption à l’imitation de ces anciennes femmes israélites qui, recevant sur leurs genoux les enfants de leurs inférieures, les adoptaient et tenaient pour leurs enfants. Servons-nous aujourd’hui pour notre récollection de la pensée de ce grand Saint, qui veut que nous enfantions toutes nos bonnes œuvres sur les genoux, c’est-à-dire sous la protection de Marie, et que nous les déposions toutes entre ses mains, afin qu’elles soient des œuvres de grâce, de bénédiction et de salut.

 

 
 

dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

 Saint François de Sales,
qui, par votre zèle et votre douceur,
avez gagné à l’Église plus de soixante-dix mille hérétiques,
priez pour nous.
 

             Le 25 juin 1593, M. Antoine d’Avully de Saint-Michel, qui était un des plus doctes aussi bien qu’un des plus nobles et des plus opiniâtres hérétiques, alla visiter secrètement notre Père saint François de Sales, lui confessant que le discours qu’il avait fait en public le jour précédent avait tellement brouillé et agité son cœur sur toutes les matières de controverse, qu’il désirait avoir plusieurs conversations avec lui pour s’éclairer et mettre son salut en sûreté quand il aurait une entière connaissance de la vérité. François le reçut avec tant de civilité et d’humilité, tant de courage et de zèle que ce seigneur, qui était plus âgé que son prédicateur, en fut de nouveau prévenu d’une particulière estime de son savoir et d’un ardent désir de bien connaître la vérité, comme il fit, peu après, abjurant l’hérésie entre les mains de ce nouvel apôtre, qui reluisait comme un beau soleil et donnait de l’admiration aux esprits les plus bizarres. Étant dans sa chambre, il était toujours en prières ou appliqué sur ses livres ; en ville, il n’y avait personne qui surpassât sa modestie ; au chœur, on le voyait collé sur son siège, où il chantait les louanges de Dieu comme eût fait un Ange jouissant de la vue bienheureuse du souverain Bien. Il employait beaucoup de temps à visiter les malades, à réconcilier les ennemis et à faire toutes les œuvres de la dilection chrétienne, avec une telle sincérité et une si grande augmentation de la grâce divine, que la réputation de sa sainteté allait croissant de jour en jour.

 

 

ÉGALEMENT au 25 JUIN :
 
 
 



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