L’amour se paie par l’amour !
Mais aimons d’un amour extrême
Et purement et nuit et jour !
4 JUIN
« Je promets d’assister à l’heure de la mort
avec les grâces nécessaires au
salut,
tous ceux qui,
le premier samedi de cinq mois consécutifs
se confesseront,
recevront la sainte Communion,
réciteront le Chapelet,
et me tiendront compagnie
pendant un quart d’heure
en méditant sur les quinze mystères du Rosaire,
dans le but de me faire réparation. »
(Notre-Dame de Fatima)
« Je promets d’assister à l’heure de la mort
avec les grâces nécessaires au salut,
tous ceux qui,
le premier samedi de cinq mois consécutifs
se confesseront,
recevront la sainte Communion,
réciteront le Chapelet,
et me tiendront compagnie
pendant un quart d’heure
en méditant sur les quinze mystères du Rosaire,
dans le but de me faire réparation. »
(Notre-Dame de Fatima)
Honorez aujourd’hui la bouche sacrée de la Mère de Dieu, bouche que l’Époux des Cantiques veut que nous considérions comme des rubans d’écarlate, c’est-à-dire comme la parole sacrée de la Charité ; bouche sainte, qui a uniquement reçu dans l’Incarnation le baiser de la bouche du divin Époux ; bouche qui a mille et mille fois baisé l’Enfant-Jésus ; bouche qui n’a jamais proféré un mot que de sapience et de perfection. Ô bouche de Marie ! bouche miséricordieuse ! ouvrez-vous en ma faveur. Voyez de vos yeux pitoyables mes nécessités, et, de votre bouche charitable, parlez pour moi, ô sainte Mère de Dieu ! Que
ma bouche soit pour jamais fermée, si elle doit prononcer quelques
paroles qui ne soient pas à la gloire et au service de Jésus, Marie,
Joseph ! Faites-moi part de votre sacré silence, ô sainte Mère de Dieu ! et unissez mes paroles aux vôtres, toutes remplies de sapience et de gloire au divin Époux.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "ADIEUX à NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/11-adieux-%C3%A0-notre-dame-du-sacr%C3%A9-2:e?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
Honorez aujourd’hui la bouche sacrée de la Mère de Dieu, bouche que l’Époux des Cantiques veut que nous considérions comme des rubans d’écarlate, c’est-à-dire comme la parole sacrée de la Charité ; bouche sainte, qui a uniquement reçu dans l’Incarnation le baiser de la bouche du divin Époux ; bouche qui a mille et mille fois baisé l’Enfant-Jésus ; bouche qui n’a jamais proféré un mot que de sapience et de perfection. Ô bouche de Marie ! bouche miséricordieuse ! ouvrez-vous en ma faveur. Voyez de vos yeux pitoyables mes nécessités, et, de votre bouche charitable, parlez pour moi, ô sainte Mère de Dieu ! Que
ma bouche soit pour jamais fermée, si elle doit prononcer quelques
paroles qui ne soient pas à la gloire et au service de Jésus, Marie,
Joseph ! Faites-moi part de votre sacré silence, ô sainte Mère de Dieu ! et unissez mes paroles aux vôtres, toutes remplies de sapience et de gloire au divin Époux.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "ADIEUX à NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/11-adieux-%C3%A0-notre-dame-du-sacr%C3%A9-2:e?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
Honorez aujourd’hui la bouche sacrée de la Mère de Dieu, bouche que l’Époux des Cantiques veut que nous considérions comme des rubans d’écarlate, c’est-à-dire comme la parole sacrée de la Charité ; bouche sainte, qui a uniquement reçu dans l’Incarnation le baiser de la bouche du divin Époux ; bouche qui a mille et mille fois baisé l’Enfant-Jésus ; bouche qui n’a jamais proféré un mot que de sapience et de perfection. Ô bouche de Marie ! bouche miséricordieuse ! ouvrez-vous en ma faveur. Voyez de vos yeux pitoyables mes nécessités, et, de votre bouche charitable, parlez pour moi, ô sainte Mère de Dieu ! Que ma bouche soit pour jamais fermée, si elle doit prononcer quelques paroles qui ne soient pas à la gloire et au service de Jésus, Marie, Joseph ! Faites-moi part de votre sacré silence, ô sainte Mère de Dieu ! et unissez mes paroles aux vôtres, toutes remplies de sapience et de gloire au divin Époux.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fondateur d’une congrégation de viergesdestinées à répandre en tous lieux la bonne odeur de Jésus-Christ,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le quatrième de juin 1607, notre Père saint François de Sales, après avoir, dans la chapelle du château, reçu la confession et revue de l’âme de sa chère fille, notre digne Mère de Chantal, qui était venue pour la seconde fois de Bourgogne en Savoie trouver cet homme de Dieu, après lui avoir fait déclarer ses grands désirs de sortir du monde et avoir mille et mille fois éprouvé sa constance et sa soumission par la proposition de plusieurs conditions, lui dit enfin : « Ce n’est ni là, ni là, c’est ici où Dieu vous veut, et c’est sa Volonté que nous commencions un Institut à la gloire de Dieu pour les pauvres petites âmes qui ne peuvent pas avoir entrée dans les Ordres fort austères et qui n’ont pas la vocation pour les Ordres relâchés. » Il y a une sainte consolation de lire dans la vie de cette digne Fondatrice l’entretien que lui fit dans cette rencontre le bienheureux Fondateur, qui ne regardait uniquement que Dieu et qui ne consultait que son Saint-Esprit et sa divine Volonté pour une si grande entreprise que celle de l’institution d’un Ordre nouveau. Ce fut au même temps que la mère du bienheureux Prélat conçut le dessein de demander à la baronne de Chantal sa fille aînée, qui n’avait que neuf ans, pour être, au temps convenable, épousée de Bernard de Sales, son cadet. L’indicible amour de ces deux saintes dames leur donnait un désir réciproque de cette alliance, à laquelle la baronne de Chantal n’avait d’inclination que par la grande estime qu’elle faisait du bon Prélat, et par l’espérance que ce mariage pourrait l’approcher de ce saint Directeur de son âme. Celui-ci lui donna encore trois ans de terme pour consulter, prier et reconnaître la très-sainte Volonté de Dieu, « Afin, lui dit-il, que ni vous ni moi ne suivions point nos propres désirs, mais oui bien fidèlement le mouvement de la grâce. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »