Ce petit Cœur qui n’est que feu,
Qui, plein du Saint-Esprit, s’écrie :
« Amour, amour, amour de Dieu ! »
LUNDI de la PENTECÔTE :
+ Au SAINT-ESPRIT (paraphrase du VENI CREATOR)
Honorez aujourd’hui, avec le divin Époux, les mains de sa sainte Mère et
Épouse Marie. Il est dit qu’elles sont toutes pleines d’hyacinthes,
faites au tour et distillant la myrrhe précieuse. Ô sacrée Vierge ! après la main de Dieu, je baise la vôtre ! Jamais main n’a été employée si glorieusement ; jamais main si secourable, jamais main si charitable !
En cela consiste sa rondeur : elle roule partout par ses bienfaits. Ô
sainte Mère de Dieu ! faites-moi la grâce que je puisse dire avec David
que, comme bonne servante, j’ai toujours les yeux tournés vers les mains de ma Maîtresse, pour obéir toute ma vie au moindre signe de sa volonté, et qu’à l’heure de ma mort je dise de cœur et de bouche et avec toute la force de mon intention très-purifiée : « Ô Jésus, Marie, Joseph ! je remets mon esprit entre vos mains ! » J’en veux prendre l’habitude dès ce moment, car la mort est l’écho de la vie. Ô Vierge ! que vous avez été en ce jour la Mère bienfaisante, nous procurant en tel jour l’établissement de votre Visitation !
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fondateur d’une congrégation de viergesdestinées à répandre en tous lieux la bonne odeur de Jésus-Christ,priez pour nous.
Honorez aujourd’hui, avec le divin Époux, les mains de sa sainte Mère et
Épouse Marie. Il est dit qu’elles sont toutes pleines d’hyacinthes,
faites au tour et distillant la myrrhe précieuse. Ô sacrée Vierge ! après la main de Dieu, je baise la vôtre ! Jamais main n’a été employée si glorieusement ; jamais main si secourable, jamais main si charitable !
En cela consiste sa rondeur : elle roule partout par ses bienfaits. Ô
sainte Mère de Dieu ! faites-moi la grâce que je puisse dire avec David
que, comme bonne servante, j’ai toujours les yeux tournés vers les mains de ma Maîtresse, pour obéir toute ma vie au moindre signe de sa volonté, et qu’à l’heure de ma mort je dise de cœur et de bouche et avec toute la force de mon intention très-purifiée : « Ô Jésus, Marie, Joseph ! je remets mon esprit entre vos mains ! » J’en veux prendre l’habitude dès ce moment, car la mort est l’écho de la vie. Ô Vierge ! que vous avez été en ce jour la Mère bienfaisante, nous procurant en tel jour l’établissement de votre Visitation !
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fondateur d’une congrégation de viergesdestinées à répandre en tous lieux la bonne odeur de Jésus-Christ,priez pour nous.
Honorez aujourd’hui, avec le divin Époux, les mains de sa sainte Mère et Épouse Marie. Il est dit qu’elles sont toutes pleines d’hyacinthes, faites au tour et distillant la myrrhe précieuse. Ô sacrée Vierge ! après la main de Dieu, je baise la vôtre ! Jamais main n’a été employée si glorieusement ; jamais main si secourable, jamais main si charitable ! En cela consiste sa rondeur : elle roule partout par ses bienfaits. Ô sainte Mère de Dieu ! faites-moi la grâce que je puisse dire avec David que, comme bonne servante, j’ai toujours les yeux tournés vers les mains de ma Maîtresse, pour obéir toute ma vie au moindre signe de sa volonté, et qu’à l’heure de ma mort je dise de cœur et de bouche et avec toute la force de mon intention très-purifiée : « Ô Jésus, Marie, Joseph ! je remets mon esprit entre vos mains ! » J’en veux prendre l’habitude dès ce moment, car la mort est l’écho de la vie. Ô Vierge ! que vous avez été en ce jour la Mère bienfaisante, nous procurant en tel jour l’établissement de votre Visitation !
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
L’an 1610, le 6 juin, saint François de Sales commença notre Institut de la Visitation, enfermant dans une petite maison de louage, au faubourg d’Annecy, notre première Mère et Fondatrice, Jeanne-Françoise Frémyot, baronne de Chantal, et nos deux chères Sœurs Favre et de Bréchard. Il les enferma comme trois petites abeilles dans une ruche ou comme trois innocentes colombes dans une cage. Il les confessa, leur dit la Messe et les communia de sa main. Le soir, sur les sept ou huit heures, il leur donna un abrégé des Constitutions qu’il avait dressées, et, levant les yeux, les bénit au nom du Père Tout-Puissant, qui les attirait ; au nom du Fils, éternelle Sagesse, qui les dirigeait, et au nom du Saint-Esprit, qui les animait par ses flammes. Toute la ville, qui les avaient vues aller par les églises, accourut à cette cérémonie, et on n’entendait que des acclamations, surtout de petits enfants, qui donnaient mille bénédictions à l’auteur de cette agréable merveille. Avant que l’année de leur noviciat fût passée, elles se trouvèrent jusqu’à dix, presque toutes infirmes et délicates, et le monde, murmurant de ce que ce bon seigneur voulait faire un hôpital au lieu d’une assemblée de dévotes, ce saint homme répondit : « Que voulez-vous ? Je suis le partisan des infirmes. »
Ce même jour, en 1611, ce bon Prélat ayant reçu, le jour auparavant, la confession générale de ses premières filles, leur fit faire leur oblation, et l’on pourra voir avec consolation les particularités de toutes ces choses dans l’histoire de l’Ordre et dans la vie de notre bienheureuse Fondatrice.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »