Ce Cœur qui doit être adoré,
Publie et chante les louanges
D’un Cœur que l’amour a navré.
5 JUIN 
+ Au SAINT-ESPRIT (paraphrase du VENI CREATOR)
Aujourd’hui, avec le divin Époux du Cantique, il faut honorer le col de la sacrée Vierge, tout entouré de carcans et de pierres précieuses. Il avait prisé les cheveux de cette Bien-Aimée ; il avait assuré que ses yeux étaient colombins, qu’elle blessait son Cœur par ses yeux et par ses cheveux, et, une autre fois, il loue son col. Vierge sacrée ! le plus beau carcan de votre col, ç’a été les bras de l’Enfant-Jésus ! Les enfants se jettent au col de leurs mères ; combien de fois, ô sainte Mère ! ce divin Enfant s’est-il jeté au vôtre ? Vous êtes, selon la pensée de saint Bernard, le col de l’Église ; c’est par vous que les grâces de Jésus, notre Chef, viennent sur les fidèles, qui sont ses membres. Ô ma Mère ! je n’oserai pas prendre la hardiesse de me jeter à votre col, entre vos bras. Hélas ! au moins, souffrez-moi à vos pieds et à vos genoux ; et, tandis que mon Sauveur sera attaché à votre col, parlez-lui de moi !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
Aujourd’hui, avec le divin Époux du Cantique, il faut honorer le col de la sacrée Vierge, tout entouré de carcans et de pierres précieuses. Il avait prisé les cheveux de cette Bien-Aimée ; il avait assuré que ses yeux étaient colombins, qu’elle blessait son Cœur par ses yeux et par ses cheveux, et, une autre fois, il loue son col. Vierge sacrée ! le plus beau carcan de votre col, ç’a été les bras de l’Enfant-Jésus ! Les enfants se jettent au col de leurs mères ; combien de fois, ô sainte Mère ! ce divin Enfant s’est-il jeté au vôtre ? Vous êtes, selon la pensée de saint Bernard, le col de l’Église ; c’est par vous que les grâces de Jésus, notre Chef, viennent sur les fidèles, qui sont ses membres. Ô ma Mère ! je n’oserai pas prendre la hardiesse de me jeter à votre col, entre vos bras. Hélas ! au moins, souffrez-moi à vos pieds et à vos genoux ; et, tandis que mon Sauveur sera attaché à votre col, parlez-lui de moi !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
Aujourd’hui, avec le divin Époux du Cantique, il faut honorer le col de la sacrée Vierge, tout entouré de carcans et de pierres précieuses. Il avait prisé les cheveux de cette Bien-Aimée ; il avait assuré que ses yeux étaient colombins, qu’elle blessait son Cœur par ses yeux et par ses cheveux, et, une autre fois, il loue son col. Vierge sacrée ! le plus beau carcan de votre col, ç’a été les bras de l’Enfant-Jésus ! Les enfants se jettent au col de leurs mères ; combien de fois, ô sainte Mère ! ce divin Enfant s’est-il jeté au vôtre ? Vous êtes, selon la pensée de saint Bernard, le col de l’Église ; c’est par vous que les grâces de Jésus, notre Chef, viennent sur les fidèles, qui sont ses membres. Ô ma Mère ! je n’oserai pas prendre la hardiesse de me jeter à votre col, entre vos bras. Hélas ! au moins, souffrez-moi à vos pieds et à vos genoux ; et, tandis que mon Sauveur sera attaché à votre col, parlez-lui de moi !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
On a trouvé, sur les tablettes de notre Père saint François de Sales, que, le cinquième de juin 1602, Mme Acarie, dite depuis la Bienheureuse Marie de l’Incarnation, s’était confessé à lui et lui avait communiqué son âme et ses finales résolutions pour avoir des Carmélites en France. Ce Saint estimait toutes les bonnes œuvres et se liait d’une sainte charité à toutes les âmes amoureuses de Dieu et de la vie parfaite. C’est ce qui le pressa d’écrire à ses amis de Rome, à plusieurs Cardinaux et même au Très-Saint Père, dont il avait l’honneur d’être particulièrement connu, afin de montrer, dans un humble respect, le grand profit que feraient en France les Révérendes Mères Carmélites pour l’augmentation de la piété parmi les femmes. Écrivant à son cher et spéciale ami, le Cardinal Baronius, il fit un éloge admirable de Mme Acarie, et dit que le seul désir de cette servante de Dieu était une manifestation de la Volonté divine, qui prenait ses délices en cette âme sainte.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »