lundi 13 juin 2022

Le 13 JUIN avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« C’est un excellent acte de charité 
de recommander à Dieu 
 
(Saint Alphonse de Liguori)


LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS

« Si tu désire[s] aimer Marie
Et d’un amour comme infini,
Aime par mon Cœur, je te prie,
Car mon Cœur au sien est uni. »
 


 

13 JUIN
 

« Mon Cœur-Immaculé sera ton refuge
  et la voie qui te conduira à Dieu. »
(Notre-Dame de Fatima à Lucie, le 13 juin 1917)





 
              
              Honorez aujourd’hui la perfection intérieure de la Mère de Dieu d’après cette pensée de saint François de Sales : « Cette Reine céleste, dit-il, n’eut jamais un moment de retardement ni de vicissitude dans le progrès du divin Amour ; mais elle allait montant d’amour en amour par un perpétuel avancement. Elle ne sentit jamais aucune contradiction de l’appétit sensuel et, partant, le saint Amour de Marie, comme un vrai Salomon, régna paisiblement dans son âme et fit tous ses exercices à souhait dans l’intérieur de cette véritable Fille de Sion. »

Ô sacrée Vierge ! je confesse que je suis une véritable et malheureuse fille de Babylone, de péchés, de troubles et de confusion intérieure, non-seulement troublée à l’extérieur par le bruit des chariots d’Aminadab, qui sont les contradictions du dehors, mais encore plus par les révoltes du dedans, par les ennemis domestiques, par mes propres misères et par cette malheureuse source de corruption et de péchés que je porte en mon fonds criminel.

Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 du Cantique de St Alphonse "AMOUR à MARIE", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/Amour-%C3%A0-Marie:f?lid=e97cde6748ce2ca36c0cb193d29b1f4f2153b752
 
 

 
 
 


dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622) 

dont la patience et la sérénité n’ont jamais été altérées
par les injures, les calomnies et les contradictions,
priez pour nous.
 

              La fête de Saint-Antoine de Padoue était des plus signalées à la dévotion de notre Père saint François de Sales. Il l’avait conçue dans la propre église de ce Saint et proche de ses reliques, au temps de ses études dans la ville de Padoue. Il ne passait jamais un jour sans le visiter et dit une fois en confiance à notre digne Mère de Chantal qu’il en avait reçu des secours miraculeux pour la conversion du Chablais ; qu’une fois, entre autres, faisant l’oraison dans l’église des Cordeliers d’Évian, ce Saint lui avait été représenté intellectuellement dans sa prière et lui avait dit : « Tu désireras comme moi le martyre et ne l’obtiendras pas ; il faut que tu sois l’instrument de ton propre martyre. » « Dès ce jour-là, ajoutait ce bienheureux Prélat, je pris la résolution de me fortifier et de faire valoir toutes les petites et grandes occasions de pratiquer les vertus chrétiennes. » De cette affection et de cette application venait la grande perfection avec laquelle il faisait toutes choses petites et grandes ; et il disait souvent que tout ce qui nous contrarie, nous assujettit et nous afflige, doit être regardé comme notre capture et notre martyre chrétien et non sanglant, mais non pas moins plaisant à Celui dont la Providence ne nous met pas dans de plus grandes occasions de souffrir d’autres martyres. « Enfin, ajoutait-il souvent, assez est martyr qui bien se mortifie ; mais ceux qui ne se mortifient pas eux-mêmes ou qui reçoivent vicieusement les tribulations qui leur viennent de la part d’autrui, je ne sais quel rang ils prétendent dans le royaume de Dieu, puisqu’ils ne seront ni martyrs, ni confesseurs, et saint Antoine a été l’un et l’autre. »

            Ce bienheureux Prélat ne passait point la fête de ce saint Religieux sans aller dire la Messe en quelque autel qui lui fût dédié. Une personne, qui critiquait ordinairement ses pieuses et innocentes actions, lui ayant dit une fois par raillerie qu’il était de la dévotion des femmes qui courent offrir une chandelle à saint Antoine, afin qu’il leur aille chercher une quenouille et un fuseau qu’elles ont égarés, le saint Prélat souffrit cette moquerie, mais il instruisit fort sérieusement le railleur, le priant de séparer toujours les sottises de François de Sales d’avec la piété et l’honneur dû aux Saints. « Oui, dit-il, j’approuve de tout mon cœur que l’on ait recours à saint Antoine de Padoue, quand on souffre des pertes et des afflictions. Dieu a signalé sa Volonté en cela dans les grands miracles qu’il a faits par l’intercession de ce Saint. » Or, parce que le railleur ne lui était pas absolument inférieur, il ajouta avec une bénignité et une douceur admirables : « J’ai l’envie, je vous assure, que nous fassions ensemble un vœu à saint Antoine de Padoue pour recouvrer ce que nous perdons tous les jours : vous la simplicité chrétienne et moi l’humilité, dont je laisse fort négligemment égarer les pratiques, quoiqu’elles soient fréquemment entre mes mains. »

 

 

ÉGALEMENT au 13 JUIN :
 
 
 
 
 
 
 

 


« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
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