Plus pure qu’eux, en Souveraine
Aux Anges tu donnes la loi :
Ta place en qualité de Reine
Est à la droite du grand Roi.
27 DÉCEMBRE
27 DÉCEMBRE
Honorons aujourd’hui la Sainte Vierge comme la première Directrice de la sainte oraison auprès de la crèche, et, pour cela, servons-nous de la pensée de notre Père saint François de Sales : « Mon Dieu, ma fille, dit-il, tenez-vous bien proche de cette sainte Vierge-Mère. Elle est auprès du berceau de son divin Enfant ; elle se tait et admire en silence, méditant tout ce qu’on dit de son céleste Poupon ; elle conserve en les conférant toutes ces choses dans son Cœur virginal. Le Cœur de l’Enfant, plein de ferveur pour les nôtres, ne se déclare point qu’avec de petites plaintes, des larmes et de douces œillades ; la Mère pense en silence et en paix, ce qui nous apprend la vraie oraison mentale et la ferveur amoureuse d’un cœur qui est saisi des affections divines, qui nourrit ses saintes pensées
et qui craint d’en perdre la suavité s’il les prononce, tant sa
tranquillité lui est chère. La Sainte Vierge avait sans doute appris à
son fils adoptif, le glorieux saint Jean, cette excellente méthode d’oraison de sommeil et de repos sur la poitrine du Sauveur. »
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/No%C3%ABl-de-Ste-Marguerite-Marie:e?lid=8e03f5556b082d4ed87185596f9ce5286d4fff94
qui aviez pour principe de ne rien demander et de ne rien refuser,priez pour nous.
Honorons aujourd’hui la Sainte Vierge comme la première Directrice de la sainte oraison auprès de la crèche, et, pour cela, servons-nous de la pensée de notre Père saint François de Sales : « Mon Dieu, ma fille, dit-il, tenez-vous bien proche de cette sainte Vierge-Mère. Elle est auprès du berceau de son divin Enfant ; elle se tait et admire en silence, méditant tout ce qu’on dit de son céleste Poupon ; elle conserve en les conférant toutes ces choses dans son Cœur virginal. Le Cœur de l’Enfant, plein de ferveur pour les nôtres, ne se déclare point qu’avec de petites plaintes, des larmes et de douces œillades ; la Mère pense en silence et en paix, ce qui nous apprend la vraie oraison mentale et la ferveur amoureuse d’un cœur qui est saisi des affections divines, qui nourrit ses saintes pensées
et qui craint d’en perdre la suavité s’il les prononce, tant sa
tranquillité lui est chère. La Sainte Vierge avait sans doute appris à
son fils adoptif, le glorieux saint Jean, cette excellente méthode d’oraison de sommeil et de repos sur la poitrine du Sauveur. »
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qui aviez pour principe de ne rien demander et de ne rien refuser,priez pour nous.
Honorons aujourd’hui la Sainte Vierge comme la première Directrice de la sainte oraison auprès de la crèche, et, pour cela, servons-nous de la pensée de notre Père saint François de Sales : « Mon Dieu, ma fille, dit-il, tenez-vous bien proche de cette sainte Vierge-Mère. Elle est auprès du berceau de son divin Enfant ; elle se tait et admire en silence, méditant tout ce qu’on dit de son céleste Poupon ; elle conserve en les conférant toutes ces choses dans son Cœur virginal. Le Cœur de l’Enfant, plein de ferveur pour les nôtres, ne se déclare point qu’avec de petites plaintes, des larmes et de douces œillades ; la Mère pense en silence et en paix, ce qui nous apprend la vraie oraison mentale et la ferveur amoureuse d’un cœur qui est saisi des affections divines, qui nourrit ses saintes pensées et qui craint d’en perdre la suavité s’il les prononce, tant sa tranquillité lui est chère. La Sainte Vierge avait sans doute appris à son fils adoptif, le glorieux saint Jean, cette excellente méthode d’oraison de sommeil et de repos sur la poitrine du Sauveur. »
qui aviez pour principe de ne rien demander et de ne rien refuser,priez pour nous.
Ce même jour 1622, notre Père saint François de Sales dit sa dernière Messe. L’holocauste de son cœur était tellement consumé du divin Amour qu’il n’avait plus de sacrifice à faire. Les jours précédents, ce saint Prélat avait donné l’habit de la Visitation à deux de nos Sœurs en Bellecour, fait une exhortation à la Communauté sur la sainte indifférence de l’Enfant-Jésus entre les bras de sa Mère, qui ne demandait ni ne refusait sa mamelle, et conclus toutes ses instructions par ce testament spirituel : « Ne demandez rien et ne refusez rien. » Il s’était recommandé aux prières de nos Sœurs et il leur avait dit paternellement : « Adieu, mes chères filles, je vous emporte toutes dans mon cœur. » Le 27, il entra dans l’infirmerie pour consoler deux malades qui n’avaient pu être portées au parloir, confessa particulièrement notre très-honorée Mère de Blonay, alors Supérieure en Bellecour, Dieu voulant qu’elle fut sa dernière pénitente, comme elle avait été sa première fille dans le temps qu’il convertissait le Chablais, et enfin, après tant de saintes actions, sur le déclin du jour, il fut frappé d’une attaque d’apoplexie. Comme l’enfant du tonnerre et d’amour saint Jean, il s’endormit le lendemain au baiser du Seigneur, ainsi qu’on peut le voir dans le récit de sa vie écrit par plusieurs auteurs. Son apoplexie, qui dura plus de vingt-quatre heures, lui laissa de fréquents intervalles pour recevoir les derniers Sacrements, pour sentir et offrir à Dieu le martyre qu’on lui faisait souffrir afin de l’éveiller, et pour faire voir à tout le monde que notre mort étant l’écho de notre vie, il mourait de la mort des Saints comme il avait vécu de leur vie.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »