vendredi 16 décembre 2022

Le 16 DÉCEMBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Il n’est point d’homme plus puissant
que celui qui prie,
parce que la prière le rend participant de la puissance divine. »
 
(Saint Jean Chrysostome)


LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS

 


 



              
           Honorez aujourd’hui Marie conçue sans péché comme le chef-d’œuvre du Rédempteur et la première de toutes les rédemptions par laquelle, dit saint François de Sales, le Verbe divin, d’un Cœur vraiment filial, prévenant sa Mère ès bénédictions de douceur, il la préserva, non-seulement du péché comme les Anges, mais aussi de tous périls de péché et de tous les divertissements et retardements de l’exercice du saint Amour ; aussi proteste-t-il qu’entre toutes les créatures raisonnables qu’il a choisies, Marie, sa Mère, est son unique Colombe, sa toute parfaite, sa toute chère Bien-Aimée, hors de tout parangon et de toute comparaison. C’est elle seule qui peut dire : « Mon Dieu, dans l’abondance de vos grâces, je ne serai pas seulement ébranlée pour tomber dans l’imperfection, et, dans toute ma vie, mes pieds ne feront jamais un détour ni un faux pas dans vos saintes lois et dans le droit sentier de votre divin Amour. »

            Notre bienheureuse Mère de Chantal a établi la coutume à Annecy qu’on ressouvînt les Sœurs à l’obéissance de commencer la neuvaine préparatoire pour la sainte Nativité par neuf Ave Maria chaque jour, en l’honneur des neuf mois que le Verbe incarné demeura dans le sein virginal de Marie.

Pour TÉLÉCHARGER ce "JE VOUS SALUE, MARIE" INSTRUMENTAL,
voici l'URL de la vidéo : https://youtu.be/fe3hZespjdQ



 
 

dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

qui voyiez en toutes choses le bon plaisir de Dieu,
et qui mettiez votre bonheur à vous y conformer avec amour,
priez pour nous.


               Le même jour, 16 décembre 1602, notre Père saint François de Sales commença de régler sa maison épiscopale selon les règles qu’il s’était lui-même prescrites, dans la solitude de vingt jours qui précéda son sacre, comme nous avons dit. Voici comment il s’en explique, écrivant à Mgr l’Archevêque de Bourges, André Frémyot, qui lui en avait demandé la copie :


            « Monseigneur, c’est pour vous obéir que je vous envoie ce pauvre écrit, lequel, pour la plus grande partie de ses points, vous sera inutile. Ce n’est pas, certes, qu’il ne fût désirable que nos maisons épiscopales fussent dans ce règlement, nous savons ce que saint Paul en dit ; mais je sais, par mon expérience, qu’il faut s’accommoder à la nécessité du temps, du lieu, de l’occasion et de nos occupations. Je vous confesse que je n’ai point de scrupule de me dérégler de mon règlement quand c’est le service de mes brebis qui m’occupe ; car il faut alors que la charité soit plus forte que nos propres inclinations, pour bonnes que notre propre amour nous les fasse voir. Et, en faisant cet écrit que je vous envoie, mon dessein a été, non de me gêner, mais oui bien de me régler, sans m’obliger à aucun scrupule de conscience ; car Dieu me fait la grâce d’aimer autant la très-sainte liberté d’esprit que je hais la dissolution et le libertinage. En somme, nous devons dire, Monseigneur, avec le grand Évêque d’Hippone : Amor meus pondus meum. »

 

 
 


ÉGALEMENT au 16 DÉCEMBRE :


 
 
 

 


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  Alors, rendez-vous ici :