dimanche 11 décembre 2022

Le 11 DÉCEMBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Celui qui est vaincu ne peut s’excuser
en disant qu’il n’a pas eu la force de résister,
car il l’aurait eue s’il l’avait demandée à Dieu. »
 
(Saint Alphonse de Liguori)


LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS


 Arche auguste de l’Alliance,
Trône éclatant de Salomon,
Arc-en-ciel, gage d’espérance,
Ardent et mystique buisson,
Baguette d’Aaron florissante,
Pure toison, rayon de miel,
Porte sainte, qu’on représente
Ouverte au seul Dieu d’Israël.
 

 


11 DÉCEMBRE

 


 

 

              
           Adorez aujourd’hui avec saint François de Sales la main toute-puissante de Dieu qui, voyant le péché originel inonder la terre, fit arrêter tout court ses eaux au moment de la Conception de Marie dans les entrailles de sainte Anne, comme cette main toute-puissante arrêta autrefois le cours du fleuve Jourdain en révérence du passage de l’Arche d’alliance ; le péché originel, par la même révérence, retira ses eaux malheureuses comme redoutant la présence du vrai Tabernacle de l’éternelle alliance, la Sainte Vierge Marie.
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 du Petit Office de la Sainte Vierge
 

 
 

dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

fondateur d’une congrégation de vierges
destinées à répandre en tous lieux la bonne odeur de Jésus-Christ,
priez pour nous.


            Ce même jour, 11 décembre 1622, notre Père saint François de Sales et notre vénérable Mère de Chantal se trouvèrent ensemble à Lyon. Cette digne Fondatrice revenait des fondations de Bourges, Paris et Dijon. Ils se dirent adieu pour la dernière fois de leur vie mortelle, le saint Prélat étant obligé de demeurer proche du prince-cardinal de Savoie, et notre digne Mère de se rendre à la charge de sa supériorité d’Annecy, dont elle était absente depuis fort longtemps. Hélas ! que cette séparation fut tendre ; mais qu’elle fut solide, et dans le pur regard de la divine Volonté et Providence, qui employait à son gré le père d’un côté et la mère de l’autre ! Le saint Prélat, avec une suave autorité, laissa partir notre digne Mère dans une saison des plus froides et pénibles de l’année, et lui ordonna d’aller passer à Saint-Étienne, à Grenoble et à Belley pour voir et affermir ces nouvelles plantes. Notre Mère Marie-Aimée de Blonay, alors Supérieure à Bellecour, paraissant fort en peine et attendrie de savoir notre digne Mère en voyage dans une saison si rude, le saint Prélat lui dit prophétiquement : « Ah ! ma fille ! qui aime mieux notre Mère que moi, qui la chéris comme moi-même ! Mais il faut que la volonté de Dieu s’accomplisse et qu’elle aille me préparer le lieu de ma demeure. » Cette chère Mère de Blonay nous a raconté plusieurs fois qu’elle n’avait compris cette parole de l’homme de Dieu qu’après sa mort, lorsqu’elle sut avec quelle piété et soin cette digne Mère faisait préparer le tombeau de son bienheureux Père au premier Monastère d’Annecy, où elle arriva vivante pour y recevoir le corps mort du saint Fondateur de son Ordre et du cher Directeur de son âme.

 

 
 


ÉGALEMENT au 11 DÉCEMBRE :



 
 
 



  « Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
  Il donne à tous du secours,
  Il guérit l’âme incurable :
  DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
  Alors, rendez-vous ici :