Où l’on courait de toutes parts,
Et cette tour sûre et tranquille
Qu’environnaient mille remparts.
18 DÉCEMBRE
18 DÉCEMBRE
Unissez votre cœur et vos intentions à tous les enfants de Marie pour célébrer bien dévotement l’attente de la naissance du Messie.
La Sainte Vierge elle-même, cette sainte Fille de Sion, était en
attente du moment auquel il plairait au Soleil de Justice, qu’elle
cachait dans son sein, de se montrer au monde. Dites dévotement avec
l’Église : Ô sainte Mère du ciel, pleuvez-nous le Juste, ce divin Sauveur regarde de son Tabernacle ; préparez, comme dit David, tous les habitants de la terre. C’est le sein de Marie qui est ce tabernacle d’or et de cristal ; nous nous réjouissons en l’espérance de sa venue ; car il rachètera nos âmes, et ceux qui espèreront en lui ne périront point. Le grand saint Joseph eut aussi une très-grande part en cette fête de l’Expectation de sa divine Épouse, puisqu’il savait que c’était par l’opération du Saint-Esprit qu’elle devait donner le Fils de Dieu au monde.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/051-venez%2C-divin-messie-%28avent%29-chant:4
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
astre de l’Église de France,priez pour nous.
Unissez votre cœur et vos intentions à tous les enfants de Marie pour célébrer bien dévotement l’attente de la naissance du Messie.
La Sainte Vierge elle-même, cette sainte Fille de Sion, était en
attente du moment auquel il plairait au Soleil de Justice, qu’elle
cachait dans son sein, de se montrer au monde. Dites dévotement avec
l’Église : Ô sainte Mère du ciel, pleuvez-nous le Juste, ce divin Sauveur regarde de son Tabernacle ; préparez, comme dit David, tous les habitants de la terre. C’est le sein de Marie qui est ce tabernacle d’or et de cristal ; nous nous réjouissons en l’espérance de sa venue ; car il rachètera nos âmes, et ceux qui espèreront en lui ne périront point. Le grand saint Joseph eut aussi une très-grande part en cette fête de l’Expectation de sa divine Épouse, puisqu’il savait que c’était par l’opération du Saint-Esprit qu’elle devait donner le Fils de Dieu au monde.
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
astre de l’Église de France,priez pour nous.
Unissez votre cœur et vos intentions à tous les enfants de Marie pour célébrer bien dévotement l’attente de la naissance du Messie. La Sainte Vierge elle-même, cette sainte Fille de Sion, était en attente du moment auquel il plairait au Soleil de Justice, qu’elle cachait dans son sein, de se montrer au monde. Dites dévotement avec l’Église : Ô sainte Mère du ciel, pleuvez-nous le Juste, ce divin Sauveur regarde de son Tabernacle ; préparez, comme dit David, tous les habitants de la terre. C’est le sein de Marie qui est ce tabernacle d’or et de cristal ; nous nous réjouissons en l’espérance de sa venue ; car il rachètera nos âmes, et ceux qui espèreront en lui ne périront point. Le grand saint Joseph eut aussi une très-grande part en cette fête de l’Expectation de sa divine Épouse, puisqu’il savait que c’était par l’opération du Saint-Esprit qu’elle devait donner le Fils de Dieu au monde.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
astre de l’Église de France,priez pour nous.
Ce même jour, 1593, notre Père saint François de Sales fut ordonné prêtre par le bon Évêque Claude de Granier, qui avait pour lui tant de paternelles tendresses, et qui reçut une si grande joie de lier ce sacrificateur à l’autel du Dieu vivant qu’il pleura de suavité, comme Jacob saluant Rachel, en lui imposant les mains ; et, quand on lui demanda la cause de ses larmes, « Ah ! dit-il, l’aurore donne de la rosée le matin au lever du soleil ; mon fils, le Prévôt François de Sales, sera le soleil de ce diocèse ; mon âme reçoit un plaisir inexplicable de le voir lié à notre ministère ! » Il lui commanda de faire une exhortation à tous les ordinants. François de Sales s’en acquitta avec une piété et une éloquence qui ravirent toute l’assemblée, et derechef le bon Évêque Claude de Granier pleura de joie, et par une humilité admirable dit : « Dieu ne m’a pas donné le don de la parole, car je ne prêche point ; mais il m’a donné mon fils de Sales, qui sera ma parole et ma voix. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »