Femme dont la force est décrite,
Dont Judith nous peint les combats,
Nouvelle et chaste Sulamite,
Tu portas Jésus dans tes bras.
Demandez aujourd’hui la permission à la Sainte Vierge d’entrer dans sa petite chambre de Nazareth, de la saluer avec les même paroles dont l’Ange se servit, et de méditer l’une après l’autre toutes celles de l’Ave Maria. Congratulez surtout cette Vierge de ce qu’elle est pleine de grâce, possédant l’Auteur de la grâce. Priez cette Mère de bonté qu’avant que ce divin Sauveur sorte de son sein, elle lui fasse signer votre grâce et la rémission de vos péchés.
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 "JE VOUS SALUE MARIE (en plusieurs versions)" en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/Je-vous-salue-Marie-(en-plusieurs-versions):0?lid=0ac5bb30e143a3de7a340e216df6f49f060f0a75dont la patience et la sérénité n’ont jamais été altéréespar les injures, les calomnies et les contradictions,priez pour nous.
Demandez aujourd’hui la permission à la Sainte Vierge d’entrer dans sa petite chambre de Nazareth, de la saluer avec les même paroles dont l’Ange se servit, et de méditer l’une après l’autre toutes celles de l’Ave Maria. Congratulez surtout cette Vierge de ce qu’elle est pleine de grâce, possédant l’Auteur de la grâce. Priez cette Mère de bonté qu’avant que ce divin Sauveur sorte de son sein, elle lui fasse signer votre grâce et la rémission de vos péchés.
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Demandez aujourd’hui la permission à la Sainte Vierge d’entrer dans sa petite chambre de Nazareth, de la saluer avec les même paroles dont l’Ange se servit, et de méditer l’une après l’autre toutes celles de l’Ave Maria. Congratulez surtout cette Vierge de ce qu’elle est pleine de grâce, possédant l’Auteur de la grâce. Priez cette Mère de bonté qu’avant que ce divin Sauveur sorte de son sein, elle lui fasse signer votre grâce et la rémission de vos péchés.
dont la patience et la sérénité n’ont jamais été altéréespar les injures, les calomnies et les contradictions,priez pour nous.
Le même jour, en l’année 1616, notre Père saint François de Sales se rendit au Monastère de Sixt pour y établir des règlements. Il eut beaucoup à souffrir des injures de la rude saison, et des personnes qui devaient bénir sa venue, lesquelles le rebutèrent et le chargèrent tellement de reproches qu’il se retira, attendant l’heure de Dieu, s’étant contenté, comme l’Ange, de troubler l’eau de la piscine et d’avoir donné ouverture à ce bon dessein qu’il acheva dans la suite heureusement. Il avait coutume de dire qu’il faut travailler à l’œuvre de Dieu à la manière de Dieu et non selon l’humeur de l’homme. « Dieu, disait-il, est patient et miséricordieux, et nous attend à pénitence ; l’homme est colère, prompt et n’a souvent de la miséricorde que pour lui-même. » Comme on le raillait de l’inutilité de son voyage à Sixt, où il était allé contre l’avis de quelques personnes qui contrariaient souvent ses sentiments et ses desseins, et qui, dans cette rencontre, lui demandaient s’il était allé quérir des glaçons, de la neige, du rhume et du froid dans ces montagnes, de peur de n’en pas trouver à Annecy, il répondit sans se fâcher : « Il y a de bonnes semences en terre sous cette neige ; le temps de la récolte viendra ; il faut vivre comme nos laboureurs : tous leurs champs sont couverts de neige et cachent leur travail ; avec un peu de patience, la neige fondra et l’on fera moisson. » Il est bon de dire que saint François de Sales a eu proche de lui, presque toute sa vie, deux personnes de grande vertu et capacité, mais d’une humeur si opposée à la sienne, si aigres, si contrariantes, qu’elles censuraient perpétuellement ses plus saintes actions, soit par forme de raillerie, soit par chagrin et emportement. Le Saint pratiquait à leur égard des vertus journalières vraiment admirables, et disaient que c’étaient ses bons anges. Une fois, prévoyant la contradiction qu’on lui ferait sur une entreprise de piété, il dit joyeusement à notre vénérable Mère de Chantal : « Jacob et Ésaü se battront aujourd’hui dans le ventre de leur mère, et enfin le Père céleste les bénira tous deux. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »