C’est cet Astre dont la lumière
Nous guide au milieu de la nuit ;
Il fait rentrer dans la carrière
Celui que l’ombre aurait séduit.
25 DÉCEMBRE
(les 76 vidéos des différents Noëls se suivent)
3- "DOUCE NUIT"
7- Le Fils du Roi de gloire
8- NOËL de Sainte Marguerite-Marie
9- À JÉSUS ENFANT dans la CRÈCHE (cantique de St Alphonse de Liguori)
10- "VIVE LE SAINT ENFANT-JÉSUS !" (cantique montfortain)
11- Poèmes de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus
12- NOËL AFRICAIN
13- ORATORIO de NOËLS (8 versions)
(cette 1ère Version est à retrouver ici : https://gloria.tv/audio/fwq2sAsyYJdG46amn987aQfQv )
14- DIAPORAMAS ANIMÉS
(les 10 vidéos se suivent)
Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de cette première vidéo :
25 DÉCEMBRE
(les 76 vidéos des différents Noëls se suivent)
8- NOËL de Sainte Marguerite-Marie
9- À JÉSUS ENFANT dans la CRÈCHE (cantique de St Alphonse de Liguori)
10- "VIVE LE SAINT ENFANT-JÉSUS !" (cantique montfortain)
11- Poèmes de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus
12- NOËL AFRICAIN
13- ORATORIO de NOËLS (8 versions)
(les 10 vidéos se suivent)
Ce jour sacré doit être employé à faire spirituellement la bienvenue à l’Enfant-Dieu, à la Mère Vierge et au père putatif du Verbe incarné. « Pour moi, dit saint François de Sales, je ne veux point d’autre assignation spirituelle que Bethléem ; c’est la sainte première Église ou la mère de toutes nos églises. Il me semble, en ce saint jour, voir une crèche sur l’autel, et le divin Poupon nous regardant avec ses deux yeux pleins de larmes plus précieuses que des perles. Je l’offre à son Père avec le congé de sa Mère, afin qu’il soit à jamais le cœur de notre cœur et le souverain Époux de mon âme. »
C’était la coutume, entre nos premières Mères, de faire, dès la veille
de Noël, une petite étable et une crèche dévotement parées, et d’y
poser, jusqu’au jour de la Purification, l’image en cire du saint
Enfant-Jésus. Notre digne Mère de Chantal avait coutume de
l’emmailloter, notre vénérable Mère Favre de faire la crèche, et notre
vénérable Mère de Bréchard de composer le cantique qui était chanté par
notre précieuse Mère de Châtel, laquelle, étant Supérieure, ne passa
jamais fête de Noël sans habiller un petit pauvre en l’honneur de la
nudité du saint Enfant-Jésus, qui a dit : « Ce que vous ferez au plus
petit des miens, je le réputerai fait à moi-même. »
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/no%C3%ABls-8-no%C3%ABl-des-%C3%A2mes-spirituelles:d?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
extirpateur de l'hérésie et restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
Ce jour sacré doit être employé à faire spirituellement la bienvenue à l’Enfant-Dieu, à la Mère Vierge et au père putatif du Verbe incarné. « Pour moi, dit saint François de Sales, je ne veux point d’autre assignation spirituelle que Bethléem ; c’est la sainte première Église ou la mère de toutes nos églises. Il me semble, en ce saint jour, voir une crèche sur l’autel, et le divin Poupon nous regardant avec ses deux yeux pleins de larmes plus précieuses que des perles. Je l’offre à son Père avec le congé de sa Mère, afin qu’il soit à jamais le cœur de notre cœur et le souverain Époux de mon âme. »
C’était la coutume, entre nos premières Mères, de faire, dès la veille
de Noël, une petite étable et une crèche dévotement parées, et d’y
poser, jusqu’au jour de la Purification, l’image en cire du saint
Enfant-Jésus. Notre digne Mère de Chantal avait coutume de
l’emmailloter, notre vénérable Mère Favre de faire la crèche, et notre
vénérable Mère de Bréchard de composer le cantique qui était chanté par
notre précieuse Mère de Châtel, laquelle, étant Supérieure, ne passa
jamais fête de Noël sans habiller un petit pauvre en l’honneur de la
nudité du saint Enfant-Jésus, qui a dit : « Ce que vous ferez au plus
petit des miens, je le réputerai fait à moi-même. »
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/no%C3%ABls-8-no%C3%ABl-des-%C3%A2mes-spirituelles:d?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
extirpateur de l'hérésie et restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
Ce jour sacré doit être employé à faire spirituellement la bienvenue à l’Enfant-Dieu, à la Mère Vierge et au père putatif du Verbe incarné. « Pour moi, dit saint François de Sales, je ne veux point d’autre assignation spirituelle que Bethléem ; c’est la sainte première Église ou la mère de toutes nos églises. Il me semble, en ce saint jour, voir une crèche sur l’autel, et le divin Poupon nous regardant avec ses deux yeux pleins de larmes plus précieuses que des perles. Je l’offre à son Père avec le congé de sa Mère, afin qu’il soit à jamais le cœur de notre cœur et le souverain Époux de mon âme. »
C’était la coutume, entre nos premières Mères, de faire, dès la veille de Noël, une petite étable et une crèche dévotement parées, et d’y poser, jusqu’au jour de la Purification, l’image en cire du saint Enfant-Jésus. Notre digne Mère de Chantal avait coutume de l’emmailloter, notre vénérable Mère Favre de faire la crèche, et notre vénérable Mère de Bréchard de composer le cantique qui était chanté par notre précieuse Mère de Châtel, laquelle, étant Supérieure, ne passa jamais fête de Noël sans habiller un petit pauvre en l’honneur de la nudité du saint Enfant-Jésus, qui a dit : « Ce que vous ferez au plus petit des miens, je le réputerai fait à moi-même. »
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
extirpateur de l'hérésie et restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
Ce même jour, 25 décembre 1596, notre Père saint François de Sales passa la nuit et le jour de Noël dans l’église de Saint-Hippolyte de Thonon qu’il avait arrachée d’entre les mains de l’hérésie. Il fit le premier sacrifice dans ce temple purifié, et nous pouvons dire que ce fidèle et vrai Israélite l’avait rétabli, comme il est dit des Machabées, ces anciens zélateurs de la loi de Dieu et du saint temple, l’épée en l’une des mains et la truelle en l’autre, cet homme apostolique ayant eu à combattre les malices spirituelles de l’hérésie et les avarices temporelles des ministres de Genève et de Berne, qui tenaient les biens et les appartenances de cette église comme de tous les autres bénéfices du Chablais. Il y avait soixante-dix ans que l’hérésie possédait et avait profané ce temple ; ce bienheureux Apôtre y confessa et communia près de huit cents de ses enfants convertis ; il dit lui-même les trois Messes, à minuit, à l’aube et sur les dix heures ; il fit un sermon évangélique par la simple narration du mystère avec quelques dévotes moralités, si utiles et tellement bénies de Dieu, qu’il acquit plusieurs néophytes. C’était sa coutume, depuis qu’il était prêtre, de ne jamais passer la fête de Noël sans prêcher ; quelquefois il faisait deux sermons, l’un la nuit, l’autre le jour, ayant une admirable suavité et adresse pour ce sacré mystère de la sainte naissance du Sauveur. Les vies de ce Saint et les livres de ses Épîtres sont une preuve incontestable de cette vérité.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »