15 JUILLET
NEUVAINE à NOTRE-DAME du MONT-CARMEL (9ème jour)
Appliquez-vous aujourd’hui au second verset du sacré Cantique de Marie : Et exultavit spiritus meus in Deo salutari meo : Et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur. Ici elle découvre le mystère sacré de l’Incarnation et parle des joies ineffables de son Cœur en la conception de l’Homme-Dieu, car, en disant en Dieu, mon Sauveur, elle dit : en Dieu, mon Jésus. Ô ma sainte Mère Marie ! je le crois fermement que jamais votre âme, votre esprit, ni tout votre être, n’eurent autre joie, autres plaisirs, autre allégresse qu’en magnifiant le Seigneur notre Dieu et votre Fils, notre Sauveur Jésus. Par cette sainte joie de votre âme et de votre esprit, anéantissez en moi toutes les vaines joies et satisfactions de ce monde et des créatures.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "Le MAGNIFICAT de NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/25-le-magnificat-de-notre-dame-du-sacr%C3%A9:8?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, pasteur charitable qui avez exposé votre viepour le salut de vos ouailles,priez pour nous.
Appliquez-vous aujourd’hui au second verset du sacré Cantique de Marie : Et exultavit spiritus meus in Deo salutari meo : Et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur. Ici elle découvre le mystère sacré de l’Incarnation et parle des joies ineffables de son Cœur en la conception de l’Homme-Dieu, car, en disant en Dieu, mon Sauveur, elle dit : en Dieu, mon Jésus. Ô ma sainte Mère Marie ! je le crois fermement que jamais votre âme, votre esprit, ni tout votre être, n’eurent autre joie, autres plaisirs, autre allégresse qu’en magnifiant le Seigneur notre Dieu et votre Fils, notre Sauveur Jésus. Par cette sainte joie de votre âme et de votre esprit, anéantissez en moi toutes les vaines joies et satisfactions de ce monde et des créatures.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "Le MAGNIFICAT de NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/25-le-magnificat-de-notre-dame-du-sacr%C3%A9:8?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, pasteur charitable qui avez exposé votre viepour le salut de vos ouailles,priez pour nous.
Appliquez-vous aujourd’hui au second verset du sacré Cantique de Marie : Et exultavit spiritus meus in Deo salutari meo : Et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur. Ici elle découvre le mystère sacré de l’Incarnation et parle des joies ineffables de son Cœur en la conception de l’Homme-Dieu, car, en disant en Dieu, mon Sauveur, elle dit : en Dieu, mon Jésus. Ô ma sainte Mère Marie ! je le crois fermement que jamais votre âme, votre esprit, ni tout votre être, n’eurent autre joie, autres plaisirs, autre allégresse qu’en magnifiant le Seigneur notre Dieu et votre Fils, notre Sauveur Jésus. Par cette sainte joie de votre âme et de votre esprit, anéantissez en moi toutes les vaines joies et satisfactions de ce monde et des créatures.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "Le MAGNIFICAT de NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/25-le-magnificat-de-notre-dame-du-sacr%C3%A9:8?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, pasteur charitable qui avez exposé votre viepour le salut de vos ouailles,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le 15 juillet 1609, notre Père saint François de Sales, faisant, la matinée, une dépêche de grande importance, fut interrompu par deux Religieux de Talloires qui de mauvais voulaient devenir bons, et qui, ayant fait une insigne insolence à leur prieur nouvellement élu entre les mains du bienheureux Évêque, ne crurent point avoir de meilleur asile que les bras et les genoux de ce Prélat, qu’ils avaient grandement offensé en sa propre personne. Il les reçut avec la charité des Saints pour les pécheurs contrits et repentants, leur montra leur tort et le précipice où ils se jetaient, le droit qu’on avait de les châtier, même au corps et à la vie, vu l’attentat qu’ils avaient essayé sur la personne de leur prieur, et se chargea de faire leur paix, pourvu que, désormais, ils fussent sages et obéissants. Sur ce pourparler, le prieur arriva, et le Saint, prévenant sa plainte, lui dit : « Père Prieur, voici de bons enfants qui m’ont dit tout leur mal, il leur faut faire le bien du pardon ici entre nous autres et n’aller point au Sénat de Chambéry ; néanmoins, il se faut tenir sur nos gardes, car il n’est pas nécessaire d’aller chercher le martyre parmi nos frères et nos amis. Il faut donc être sur ses gardes et tâcher de nous sauver en bien faisant, afin qu’à jamais nous soyons amis ! »
Ce saint Prélat, afin de mieux affermir cette réforme et de donner courage aux bons et terreur aux mauvais, retourna dans Talloires avec l’autorité du Pape, de l’abbé général et du Sénat, menant avec lui M. le sénateur François de Butet, pour intimer de plus fort la réforme et séparer les Religieux qui ne voudraient pas absolument se ranger comme les autres à la régularité. Il leur donna trois mois pour y penser, après lesquels il fallait nécessairement subir la Règle ou la séparation. Il ne se peut dire le soin que cet admirable réformateur prit de cette affaire. Il écrivait très-souvent au prieur claustral pour l’instruire et l’encourager, et aux particuliers pour leur donner de la consolation et de l’aide dans cette nouveauté de vie. Il recommanda fort au prieur d’user de miel et de lait par la douceur et discrétion en sa conduite, parce que les pauvres enfants nouveau-nés n’ont par encore les dents assez fortes pour les viandes solides, et qu’il faut avoir grand’pitié des âmes qui passent d’une extrémité à l’autre.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »