(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")
30 JUILLET
Considérez aujourd’hui que la Maison de la Visitation a été la Maison de la sainte conversation, du parfait et cordiale voisinage.
L’évangéliste saint Luc dit que la Sainte Vierge demeura trois mois
avec sa cousine sainte Élisabeth et que tous les parents et voisins,
ayant su la naissance de saint Jean, et que Notre-Seigneur avait
amplement déclaré sa miséricorde envers cette Maison de la Visitation,
vinrent s’en réjouir avec elle. Ô Sainte Vierge ! quelle miséricorde de
vous garder trois mois ! quelle divine grâce à l’Enfant de grâce de
naître entre vos bras ! N’est-ce point pour Lui que votre Prophète a
dit : Vous m’avez reçu au sortir des entrailles maternelles ! Apprenons ici à bénir Dieu des prospérités de notre prochain, à nous en réjouir sincèrement, à accroître sa joie par nos modestes et véritables congratulations de ses bonnes fortunes.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales,qui voyiez en toutes choses le bon plaisir de Dieu,et qui mettiez votre bonheur à vous y conformer avec amour,priez pour nous.
Considérez aujourd’hui que la Maison de la Visitation a été la Maison de la sainte conversation, du parfait et cordiale voisinage.
L’évangéliste saint Luc dit que la Sainte Vierge demeura trois mois
avec sa cousine sainte Élisabeth et que tous les parents et voisins,
ayant su la naissance de saint Jean, et que Notre-Seigneur avait
amplement déclaré sa miséricorde envers cette Maison de la Visitation,
vinrent s’en réjouir avec elle. Ô Sainte Vierge ! quelle miséricorde de
vous garder trois mois ! quelle divine grâce à l’Enfant de grâce de
naître entre vos bras ! N’est-ce point pour Lui que votre Prophète a
dit : Vous m’avez reçu au sortir des entrailles maternelles ! Apprenons ici à bénir Dieu des prospérités de notre prochain, à nous en réjouir sincèrement, à accroître sa joie par nos modestes et véritables congratulations de ses bonnes fortunes.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales,qui voyiez en toutes choses le bon plaisir de Dieu,et qui mettiez votre bonheur à vous y conformer avec amour,priez pour nous.
Considérez aujourd’hui que la Maison de la Visitation a été la Maison de la sainte conversation, du parfait et cordiale voisinage. L’évangéliste saint Luc dit que la Sainte Vierge demeura trois mois avec sa cousine sainte Élisabeth et que tous les parents et voisins, ayant su la naissance de saint Jean, et que Notre-Seigneur avait amplement déclaré sa miséricorde envers cette Maison de la Visitation, vinrent s’en réjouir avec elle. Ô Sainte Vierge ! quelle miséricorde de vous garder trois mois ! quelle divine grâce à l’Enfant de grâce de naître entre vos bras ! N’est-ce point pour Lui que votre Prophète a dit : Vous m’avez reçu au sortir des entrailles maternelles ! Apprenons ici à bénir Dieu des prospérités de notre prochain, à nous en réjouir sincèrement, à accroître sa joie par nos modestes et véritables congratulations de ses bonnes fortunes.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales,qui voyiez en toutes choses le bon plaisir de Dieu,et qui mettiez votre bonheur à vous y conformer avec amour,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
L’indifférence du cœur angélique de notre Saint a été tout à fait admirable. Il aimait également le doux et l’amer, le repos et la peine, la vie et la mort ; de telle sorte qu’il n’eût pas plutôt choisi l’une de ces choses-là que l’autre, sinon que l’éternelle Majesté lui eût donné à connaître son divin plaisir, car alors il se fût déterminé sur-le-champ. Et tout cela se passait en lui paisiblement, sans réplique, sans répugnance, sans contradiction de la partie inférieure, sans si, sans non, sans peut-être, sans oh mais ! Les eaux de Siloé, au rapport de la sainte Écriture, coulaient en silence, c’est-à-dire qu’elles fluaient si imperceptiblement qu’à peine y eût-on su apercevoir le flot et reflot ; de même la conformité qu’il avait au bon plaisir de Dieu, par la voie d’indifférence, se faisait en lui si bellement et plaisamment qu’on n’y eût pas pu discerner le moindre bruit ni le moindre ondoiement de cœur. Voire ! et comment y aurait-il eu en son intérieur quelque entrechoquement de vagues, vu que son appétit raisonnable était comme anéanti, perdu, absorbé, abîmé et converti au pur vouloir de Dieu ? Oh non ! tout vivait en une paix profonde chez lui, car il ne voulait plus, ains laissait vouloir Dieu en lui et pour lui.(1)
(1) Le trait indiqué par la Mère de Chaugy étant fautif, nous l’avons remplacé par ce passage du P. de la Rivière sur les vertus du Saint.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »