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2 JUILLET 
« Je promets d’assister à l’heure de la mort
avec les grâces nécessaires au
salut,
tous ceux qui,
le premier samedi de cinq mois consécutifs
se confesseront,
recevront la sainte Communion,
réciteront le Chapelet,
et me tiendront compagnie
pendant un quart d’heure
en méditant sur les quinze mystères du Rosaire,
dans le but de me faire réparation. »
(Notre-Dame de Fatima)
Le saint jour de la Visitation doit être tout employé à demander à la Sainte Vierge son esprit visitant, unissant, bénissant, humiliant, persévérant et sanctifiant. Ce sont les six feuilles de ce lis incomparable
que nous devons aujourd’hui cueillir dans cette maison de la
Visitation, cachée entre les montagnes de Juda. Ah ! que c’est un grand
point d’y être conduite, comme Marie, par le mouvement du Verbe, d’y chercher la solitude des montagnes, l’humilité du service et de la peine, la solitude, les divines louanges et la pure gloire de Dieu !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales,instituteur de l'Ordre de la Visitation,priez pour nous.
« Je promets d’assister à l’heure de la mort
avec les grâces nécessaires au
salut,
tous ceux qui,
le premier samedi de cinq mois consécutifs
se confesseront,
recevront la sainte Communion,
réciteront le Chapelet,
et me tiendront compagnie
pendant un quart d’heure
en méditant sur les quinze mystères du Rosaire,
dans le but de me faire réparation. »
(Notre-Dame de Fatima)
« Je promets d’assister à l’heure de la mort
avec les grâces nécessaires au salut,
tous ceux qui,
le premier samedi de cinq mois consécutifs
se confesseront,
recevront la sainte Communion,
réciteront le Chapelet,
et me tiendront compagnie
pendant un quart d’heure
en méditant sur les quinze mystères du Rosaire,
dans le but de me faire réparation. »
(Notre-Dame de Fatima)
Le saint jour de la Visitation doit être tout employé à demander à la Sainte Vierge son esprit visitant, unissant, bénissant, humiliant, persévérant et sanctifiant. Ce sont les six feuilles de ce lis incomparable
que nous devons aujourd’hui cueillir dans cette maison de la
Visitation, cachée entre les montagnes de Juda. Ah ! que c’est un grand
point d’y être conduite, comme Marie, par le mouvement du Verbe, d’y chercher la solitude des montagnes, l’humilité du service et de la peine, la solitude, les divines louanges et la pure gloire de Dieu !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales,instituteur de l'Ordre de la Visitation,priez pour nous.
Le saint jour de la Visitation doit être tout employé à demander à la Sainte Vierge son esprit visitant, unissant, bénissant, humiliant, persévérant et sanctifiant. Ce sont les six feuilles de ce lis incomparable que nous devons aujourd’hui cueillir dans cette maison de la Visitation, cachée entre les montagnes de Juda. Ah ! que c’est un grand point d’y être conduite, comme Marie, par le mouvement du Verbe, d’y chercher la solitude des montagnes, l’humilité du service et de la peine, la solitude, les divines louanges et la pure gloire de Dieu !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales,instituteur de l'Ordre de la Visitation,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Il n’est pas besoin de dire beaucoup de particularités pour faire comprendre combien notre Père saint François de Sales a été dévot au mystère de la très-sainte Visitation de Notre-Dame : notre Institut en est une preuve publique et permanente. Ce Bienheureux dit une fois, qu’entre autres raisons, il avait choisi ce mystère pour être notre vocable, parce que, n’étant pas fêté si solennellement que les autres, au moins il le serait dans les églises de notre Ordre. Ce vrai dévot de la Mère de Dieu prêchait ordinairement en cette fête ; il la passa avec grande consolation l’année 1615, étant à Lyon, où il était allé rendre visite à Mgr l’Archevêque Denis de Marquemont. Il n’y avait que cinq mois que notre digne Mère et Fondatrice avait établi dans cette grande ville le second Monastère de l’Ordre ; il y avait plusieurs filles prêtes à prendre l’habit de novice ; Mgr de Marquemont pria notre bienheureux Père d’être le prédicateur de la cérémonie, ce qu’il accepta volontiers, et le bon Archevêque fut le sacrificateur de ces chères brebis. Ce fut lui qui insista et pressa notre saint Fondateur de donner la clôture absolue à son Institut, et de se dépouiller de l’inclination qu’il avait à la sortie de nos premières Mères pour le service des pauvres.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »