27 JUILLET
Voyez aujourd’hui que c’est véritablement dans la Maison de la Visitation qu’on apprend à louer la Sainte Vierge.
La bonne sainte Élisabeth, recevant le salut et les premières approches
de la Visitation de sa cousine, s’écria à haute voix, dit l’Évangile : Ô Marie ! tu es bénie entre toutes les femmes et béni est le fruit de tes entrailles.
Considérez que cette salutation est tellement correspondante à celle de
saint Gabriel que vous diriez que cet Ange l’a révélée à sainte
Élisabeth. Ah ! que je dois aimer la Visitation ! Une partie de l’Ave Maria y a été composée, pour nous enseigner que c’est véritablement dans la Maison de la Visitation que nous devons apprendre à servir et à honorer Marie. Je ferai aujourd’hui résolution de ne recevoir ni faire jamais visite sans dire quelque chose en l’honneur de la Sainte Vierge, Mère de Dieu.
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, illustre serviteur de Marie,priez pour nous.
Voyez aujourd’hui que c’est véritablement dans la Maison de la Visitation qu’on apprend à louer la Sainte Vierge.
La bonne sainte Élisabeth, recevant le salut et les premières approches
de la Visitation de sa cousine, s’écria à haute voix, dit l’Évangile : Ô Marie ! tu es bénie entre toutes les femmes et béni est le fruit de tes entrailles.
Considérez que cette salutation est tellement correspondante à celle de
saint Gabriel que vous diriez que cet Ange l’a révélée à sainte
Élisabeth. Ah ! que je dois aimer la Visitation ! Une partie de l’Ave Maria y a été composée, pour nous enseigner que c’est véritablement dans la Maison de la Visitation que nous devons apprendre à servir et à honorer Marie. Je ferai aujourd’hui résolution de ne recevoir ni faire jamais visite sans dire quelque chose en l’honneur de la Sainte Vierge, Mère de Dieu.
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, illustre serviteur de Marie,priez pour nous.
Voyez aujourd’hui que c’est véritablement dans la Maison de la Visitation qu’on apprend à louer la Sainte Vierge. La bonne sainte Élisabeth, recevant le salut et les premières approches de la Visitation de sa cousine, s’écria à haute voix, dit l’Évangile : Ô Marie ! tu es bénie entre toutes les femmes et béni est le fruit de tes entrailles. Considérez que cette salutation est tellement correspondante à celle de saint Gabriel que vous diriez que cet Ange l’a révélée à sainte Élisabeth. Ah ! que je dois aimer la Visitation ! Une partie de l’Ave Maria y a été composée, pour nous enseigner que c’est véritablement dans la Maison de la Visitation que nous devons apprendre à servir et à honorer Marie. Je ferai aujourd’hui résolution de ne recevoir ni faire jamais visite sans dire quelque chose en l’honneur de la Sainte Vierge, Mère de Dieu.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le 27 juillet 1597, notre Père saint François de Sales employa toute la journée, avec un zèle brûlant de l’honneur et gloire de Dieu, à tenir le conseil de la sainte guerre spirituelle et à dresser de sa main de grands et amples Mémoires pour les présenter au prince. Il lui représenta que, entre toutes les choses qu’il jugerait utiles pour l’avancement des affaires de la foi dans le Chablais, la meilleure serait d’ériger un collège des Pères jésuites à Thonon ; que ce collège pourrait servir comme d’un séminaire, d’où les jeunes hommes et les prêtres sortiraient bien instruits pour la doctrine et la piété, et se répandraient en divers endroits du diocèse. Il estimait que ce séminaire serait entre Genève et Lausanne comme une forteresse, pour repousser les attaques journalières des ministres. Il dressa des suppliques au prince pour faire décharger de tailles ceux qui embrasseraient la foi catholique, et mit ordre qu’on préparât les choses nécessaires pour les Quarante-Heures dans la paroisse d’Annemasse, aux portes de Genève.
Ce même jour 1606, notre bienheureux Père, comme bon Pasteur, visita la paroisse de Saint-André de Domancy, et, sur le soir, celle de Saint-Gervais, disant : « Béni soit Dieu, qui nous donne de si bons curés, que je n’ai pas ici grand’chose à faire. » Entendant dire à une personne qui se piquait de raillerie, que le lendemain il visiterait Mme N., qu’on estimait grande parleuse, parce qu’il devait visiter Notre-Dame de la Gorge et Notre-Dame de Cervoz, le saint Prélat, quittant sa douceur ordinaire, prit un sérieux plein de zèle et de respect pour la Mère de Dieu et corrigea publiquement et âprement le railleur, lui ordonnant d’offrir un flambeau de cire blanche à chacune de ces églises, en l’honneur et en amende honorable à la Sainte Vierge : « Car, disait-il, elle est Notre-Dame de la gorge et du cerveau, et du cœur et des yeux, et de tout ce que nous sommes, selon le corps et selon l’âme. » Le même qui a reçu la correction a déposé ce fait dans le procès du Saint.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »