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14 JUILLET
NEUVAINE à NOTRE-DAME du MONT-CARMEL (8ème jour)
David, et après lui toute l’Église, dit à Dieu : Seigneur, ouvrez mes lèvres, et ma bouche annoncera vos louanges. Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge comme la plus excellente créature qui ait jamais desserré les lèvres, ouvert la bouche et employé sa belle voix aux divines louanges. Le premier couplet de son saint cantique est un excès d’amour et une parole d’extase sacrée : Magnificat anima mea Dominum : Mon âme magnifie le Seigneur.
Notre Père saint François de Sales assure que par ces paroles, qui
furent l’unique réponse que Marie fit à sainte Élisabeth après un grand
discours de joie et de louanges, la Sainte Vierge voulait dire : Mon âme ne veut recevoir ni donner louange qu’à Notre-Seigneur... Apprenez-moi, Sainte Vierge, à briser toutes sortes de compliments actifs et passifs et toute louange humaine, pour glorifier uniquement Notre-Seigneur.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/A9j2a2g4kVzP4aYrGksMibuFz& PAROLES de ces Cantique & Prière du MAGNIFICAT)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, prodige de douceur et de mansuétude,priez pour nous.
David, et après lui toute l’Église, dit à Dieu : Seigneur, ouvrez mes lèvres, et ma bouche annoncera vos louanges. Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge comme la plus excellente créature qui ait jamais desserré les lèvres, ouvert la bouche et employé sa belle voix aux divines louanges. Le premier couplet de son saint cantique est un excès d’amour et une parole d’extase sacrée : Magnificat anima mea Dominum : Mon âme magnifie le Seigneur.
Notre Père saint François de Sales assure que par ces paroles, qui
furent l’unique réponse que Marie fit à sainte Élisabeth après un grand
discours de joie et de louanges, la Sainte Vierge voulait dire : Mon âme ne veut recevoir ni donner louange qu’à Notre-Seigneur... Apprenez-moi, Sainte Vierge, à briser toutes sortes de compliments actifs et passifs et toute louange humaine, pour glorifier uniquement Notre-Seigneur.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/A9j2a2g4kVzP4aYrGksMibuFz& PAROLES de ces Cantique & Prière du MAGNIFICAT)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, prodige de douceur et de mansuétude,priez pour nous.
David, et après lui toute l’Église, dit à Dieu : Seigneur, ouvrez mes lèvres, et ma bouche annoncera vos louanges. Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge comme la plus excellente créature qui ait jamais desserré les lèvres, ouvert la bouche et employé sa belle voix aux divines louanges. Le premier couplet de son saint cantique est un excès d’amour et une parole d’extase sacrée : Magnificat anima mea Dominum : Mon âme magnifie le Seigneur. Notre Père saint François de Sales assure que par ces paroles, qui furent l’unique réponse que Marie fit à sainte Élisabeth après un grand discours de joie et de louanges, la Sainte Vierge voulait dire : Mon âme ne veut recevoir ni donner louange qu’à Notre-Seigneur... Apprenez-moi, Sainte Vierge, à briser toutes sortes de compliments actifs et passifs et toute louange humaine, pour glorifier uniquement Notre-Seigneur.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/A9j2a2g4kVzP4aYrGksMibuFz& PAROLES de ces Cantique & Prière du MAGNIFICAT)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, prodige de douceur et de mansuétude,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le 14 juillet était précieux à notre Père saint François de Sales, saint Augustin, saint Thomas et saint Bonaventure étant les docteurs favoris, aux sentiments desquels son âme, disait-il, s’était abandonnée. Il prêchait ordinairement le jour de la fête de saint Bonaventure et allait toujours célébrer à son honneur dans quelque église de Saint-François. Il ne manquait jamais d’invoquer chaque jour ce glorieux Saint, parce qu’il était nommé sur les fonds du baptême François-Bonaventure, quoique le seul nom de François lui fut demeuré, à cause de Monsieur son père, qui le nommé son filleul, quand ce cher enfant était petit. De même, Madame sa mère, portait le nom de Françoise ; ainsi toute cette illustre et dévote famille avait une affection et une attache particulières à l’Ordre du séraphique saint François. Le Bienheureux disait que ce n’était ni le capuchon rond, ni le capuchon long, ni la manche étroite, ni la manche large, ni le petit cordon, ni la grosse corde qui l’attiraient à aimer les enfants de saint François, mais oui bien l’observance de la Règle et l’imitation des vertus. Il disait souvent qu’il se plaisait fort à lire et à citer en chaire les Écrits de saint Bonaventure, parce qu’il l’estimait un des plus judicieux docteurs de l’Église, qu’il avait toujours trouvé admirables sa savante modestie et sa très-sage humilité.
Une année, ayant officié le matin à l’église de Saint-François d’Annecy, desservie par les Cordeliers, et y ayant prêché, sur les deux heures après midi, les louanges de saint Bonaventure, il se retira dans sa chambre sur le soir, entre les quatre et cinq heures. Là, deux Pères Capucins lui rendirent visite et jetèrent deux petits mots d’aimable plainte sur ce qu’il avait été tout le jour en l’église des Cordeliers et n’avait point honoré la leur de sa présence. « Vous avez raison, dit le saint Prélat, mais il est encore assez tôt », et, reprenant promptement son camail et son rochet, qu’il avait déposés, il s’en alla aux Capucins donner la bénédiction et faire un petit quart d’heure d’exhortation au peuple qui se trouva présent. Ces révérends Pères admirèrent la douceur et la condescendance de ce bon Prélat, qui leur dit : « Mais ne savez-vous pas que je suis sans distinction à l’Ordre de Saint-François et que j’y suis attaché par ce triple cordon qui se rompt difficilement : les deux noms de mon baptême et l’affiliation que vos généraux m’ont donnée et confirmée dans l’Ordre ? »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »