C’est mon Fils véritable !
Non, je ne puis pas résister
À son Sang adorable.
Non, je ne puis pas rebuter
Une Mère admirable.
Non, je ne puis pas rejeter
Un pauvre misérable. »
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
30 NOVEMBRE
30 NOVEMBRE
Finissons ce mois du règne de la très-sainte Mère de Dieu plutôt par une élévation et silence d’esprit que par toute autre action, confessant que Marie, Mère de Dieu, est au-dessus de toutes louanges, que Dieu seul peut la glorifier, et qu’en lui disant souvent avec un profond sentiment de vénération : « Mère de Dieu », c’est la combler de tous les honneurs.
Plusieurs
de ses dévots ont essayé de la louer, les uns d’une façon, les autres
d’une autre, et enfin, dit notre saint Fondateur, le nom, le titre et la qualité de Mère de Dieu doivent finir toutes nos applications, et nous mettre à ses pieds dans un état de confiance, de silence et d’amour. Ce n’est pas qu’il ne faille essayer en toutes manières de l’honorer extrêmement et intérieurement ;
il est même très-consolant de réitérer quelquefois avec respect les
divers titres et qualifications que les Saints donnent à cette auguste
Reine, et de lire avec une dévote complaisance le
recueil qu’ils en ont fait, tiré des Écritures et des ouvrages des
saints Pères. Ouvrez donc notre cœur, ô divine Reine ! et éclairez notre
esprit de vos pures lumières, afin que, si notre bouche n’a point de termes assez grands pour vous louer, nous nous appliquions du moins à la contemplation de vos grandeurs infinis, et que nous demeurions humblement prosternées au pied de votre trône céleste pour en admirer l’éclat, plutôt que de vouloir entreprendre d’en louer la magnificence, aussi bien que vos perfections.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/oa7n8QocNyLS1Jhb2Eya6Rkh2
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
tout embrasé d’amour pour la Croix du Sauveur,priez pour nous.
Finissons ce mois du règne de la très-sainte Mère de Dieu plutôt par une élévation et silence d’esprit que par toute autre action, confessant que Marie, Mère de Dieu, est au-dessus de toutes louanges, que Dieu seul peut la glorifier, et qu’en lui disant souvent avec un profond sentiment de vénération : « Mère de Dieu », c’est la combler de tous les honneurs.
Plusieurs
de ses dévots ont essayé de la louer, les uns d’une façon, les autres
d’une autre, et enfin, dit notre saint Fondateur, le nom, le titre et la qualité de Mère de Dieu doivent finir toutes nos applications, et nous mettre à ses pieds dans un état de confiance, de silence et d’amour. Ce n’est pas qu’il ne faille essayer en toutes manières de l’honorer extrêmement et intérieurement ;
il est même très-consolant de réitérer quelquefois avec respect les
divers titres et qualifications que les Saints donnent à cette auguste
Reine, et de lire avec une dévote complaisance le
recueil qu’ils en ont fait, tiré des Écritures et des ouvrages des
saints Pères. Ouvrez donc notre cœur, ô divine Reine ! et éclairez notre
esprit de vos pures lumières, afin que, si notre bouche n’a point de termes assez grands pour vous louer, nous nous appliquions du moins à la contemplation de vos grandeurs infinis, et que nous demeurions humblement prosternées au pied de votre trône céleste pour en admirer l’éclat, plutôt que de vouloir entreprendre d’en louer la magnificence, aussi bien que vos perfections.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/oa7n8QocNyLS1Jhb2Eya6Rkh2
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
tout embrasé d’amour pour la Croix du Sauveur,priez pour nous.
Finissons ce mois du règne de la très-sainte Mère de Dieu plutôt par une élévation et silence d’esprit que par toute autre action, confessant que Marie, Mère de Dieu, est au-dessus de toutes louanges, que Dieu seul peut la glorifier, et qu’en lui disant souvent avec un profond sentiment de vénération : « Mère de Dieu », c’est la combler de tous les honneurs.
Plusieurs de ses dévots ont essayé de la louer, les uns d’une façon, les autres d’une autre, et enfin, dit notre saint Fondateur, le nom, le titre et la qualité de Mère de Dieu doivent finir toutes nos applications, et nous mettre à ses pieds dans un état de confiance, de silence et d’amour. Ce n’est pas qu’il ne faille essayer en toutes manières de l’honorer extrêmement et intérieurement ; il est même très-consolant de réitérer quelquefois avec respect les divers titres et qualifications que les Saints donnent à cette auguste Reine, et de lire avec une dévote complaisance le recueil qu’ils en ont fait, tiré des Écritures et des ouvrages des saints Pères. Ouvrez donc notre cœur, ô divine Reine ! et éclairez notre esprit de vos pures lumières, afin que, si notre bouche n’a point de termes assez grands pour vous louer, nous nous appliquions du moins à la contemplation de vos grandeurs infinis, et que nous demeurions humblement prosternées au pied de votre trône céleste pour en admirer l’éclat, plutôt que de vouloir entreprendre d’en louer la magnificence, aussi bien que vos perfections.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/oa7n8QocNyLS1Jhb2Eya6Rkh2
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
tout embrasé d’amour pour la Croix du Sauveur,priez pour nous.
Le trentième jour de novembre 1622, notre Père saint François de Sales, étant de retour d’Avignon à Lyon, M. l’intendant de la justice, Jacques Olier, s’empressa fort de le loger chez lui, lui offrant avec instance son hôtel de Bellecour. Plusieurs personnes de marque lui firent la même offre, et les RR. PP. Jésuites le supplièrent aussi d’accepter leur maison de Saint-Joseph. Ce saint Évêque les remercia tous, et, pour l’amour qu’il portait à la solitude, à l’humilité et à la pauvreté, il se logea dans la chétive maisonnette du jardinier de nos chères Sœurs de Bellecour, si sombre, si petite et si incommode, qu’on pouvait dire que c’était plutôt une chaumière qu’un logement convenable. Chacun murmurait contre lui, et ses amis se plaignaient de voir qu’il eût choisi un lieu si pauvre et si chétif. Ce grand Évêque leur répondit pour toute raison : « Je suis bien en ce petit coin pour recevoir les âmes pécheresses que Dieu m’envoie ; la petitesse de mon logement m’exempte du tracas des grandes compagnies de ce monde, et je suis toujours plus proche ici pour le service de mes chères filles. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »