Âmes, dites-le nous !
Paraissez pour le dire,
Et nous prierons pour vous.
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
Le nom particulier de Filles de sainte Marie,
que nous avons l’honneur de porter, et que le peuple semble nous avoir
donné par une Providence divine pour nous distinguer glorieusement du
commun des fidèles, nous confère le droit spécial de regarder cette divine Mère comme principe de la nouvelle filiation où nous entrons d’une façon particulière par notre profession, et nous oblige à lui rapporter tellement tous nos exercices, nos pratiques de vertu et les démarches que nous faisons dans les voies de la perfection, que nous puissions dire avec vérité que Marie, Mère de Jésus, est notre Mère, parce que nous la représentons, que nous l’honorons et que nous l’imitons autant que nous en sommes capables.
C’est ce que notre saint Fondateur nous a voulu persuader quand il nous
a fait prendre cette aimable qualité dans l’acte public de notre
profession. Repassons-en aujourd’hui les paroles dans notre cœur et dans
notre bouche, et prenons fortement la résolution de vivre en vraies filles de sainte Marie, Mère de Dieu.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/6roguG2zS3qc4zn1Rcy6Pkjic
qui, par votre zèle et votre douceur,avez gagné à l’Église plus de soixante-dix mille hérétiques,priez pour nous.
Le nom particulier de Filles de sainte Marie,
que nous avons l’honneur de porter, et que le peuple semble nous avoir
donné par une Providence divine pour nous distinguer glorieusement du
commun des fidèles, nous confère le droit spécial de regarder cette divine Mère comme principe de la nouvelle filiation où nous entrons d’une façon particulière par notre profession, et nous oblige à lui rapporter tellement tous nos exercices, nos pratiques de vertu et les démarches que nous faisons dans les voies de la perfection, que nous puissions dire avec vérité que Marie, Mère de Jésus, est notre Mère, parce que nous la représentons, que nous l’honorons et que nous l’imitons autant que nous en sommes capables.
C’est ce que notre saint Fondateur nous a voulu persuader quand il nous
a fait prendre cette aimable qualité dans l’acte public de notre
profession. Repassons-en aujourd’hui les paroles dans notre cœur et dans
notre bouche, et prenons fortement la résolution de vivre en vraies filles de sainte Marie, Mère de Dieu.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/6roguG2zS3qc4zn1Rcy6Pkjic
qui, par votre zèle et votre douceur,avez gagné à l’Église plus de soixante-dix mille hérétiques,priez pour nous.
Le nom particulier de Filles de sainte Marie, que nous avons l’honneur de porter, et que le peuple semble nous avoir donné par une Providence divine pour nous distinguer glorieusement du commun des fidèles, nous confère le droit spécial de regarder cette divine Mère comme principe de la nouvelle filiation où nous entrons d’une façon particulière par notre profession, et nous oblige à lui rapporter tellement tous nos exercices, nos pratiques de vertu et les démarches que nous faisons dans les voies de la perfection, que nous puissions dire avec vérité que Marie, Mère de Jésus, est notre Mère, parce que nous la représentons, que nous l’honorons et que nous l’imitons autant que nous en sommes capables. C’est ce que notre saint Fondateur nous a voulu persuader quand il nous a fait prendre cette aimable qualité dans l’acte public de notre profession. Repassons-en aujourd’hui les paroles dans notre cœur et dans notre bouche, et prenons fortement la résolution de vivre en vraies filles de sainte Marie, Mère de Dieu.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/6roguG2zS3qc4zn1Rcy6Pkjic
qui, par votre zèle et votre douceur,avez gagné à l’Église plus de soixante-dix mille hérétiques,priez pour nous.
Le vingt-cinquième jour de novembre 1622, notre Père saint François de Sales partit d’Avignon pour s’en retourner à Lyon à la suite du prince-cardinal, qui allait rejoindre les deux cours de France et de Savoie. Un gentilhomme de la cour, ayant appris que ce Prélat était Évêque de Genève, l’accosta et lui dit franchement qu’il était calviniste. Le Saint l’accueillit avec sa douceur et sa civilité ordinaires, et, se détachant de toute autre conversation, demeura toujours auprès de lui à éclairer ses doutes et à lui proposer les saintes vérités. Le soir étant venu, il se fallut séparer, et ce gentilhomme dit à ses compagnons, la larme à l’œil : « Oh ! si tous les Évêques étaient comme celui-ci, notre religion calviniste ne durerait guère : nous serions bientôt tous d’accord dans l’Église du Pape. » Il n’est pas possible d’exprimer quelle odeur de sainteté cet homme de Dieu répandait partout et en tous ceux qui avaient la grâce de l’aborder.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »