mercredi 9 novembre 2022

Le 9 NOVEMBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Un bon chrétien est un saint, dit l’Apôtre,
Et ce n’est pas un homme comme un autre.
Chrétien mondain, vous n’êtes pas des nôtres.
Vous aimez Dieu ? Vous mentez, dit l’Apôtre.
Un chrétien, vous ?... À d’autres, à d’autres, à d’autres ! »
 
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)


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Pouvez-vous bien nous voir
Ô notre bonne Mère,
Sans que vous émouvoir,
Puisse notre misère ?
Nous soupirons vers vous
Dans nos douleurs cruelles.
Venez, secourez-nous,
Ô douceur maternelle !
Ô notre douce Mère
Calmez votre Fils irrité,
Par votre sein qui l’a porté,
Oh ! calmez sa colère.
 

 
5- ALBUM "Le PURGATOIRE" 


 


9 NOVEMBRE

 

TOUS les SAINTS de l'ORDRE de Saint DOMINIQUE :
 
 





              
            Honorez en ce jour la Sainte Vierge comme Reine des Dominations, qui forment le sixième chœur des Anges. Ô Vierge très-sainte ! n’êtes-vous pas la Mère de l’Agneau dominateur, la Mère du Seigneur, à qui le Seigneur a dit d’être assis à sa dextre, pour dominer même au milieu de ses ennemis ? À qui mieux qu’à Marie convient le titre de Dame des Dominations et des dominateurs ? Ô Vierge dominante, Reine de toutes les dominations, ah ! que mon âme désire d’être sous votre domaine ! Les Dominations ont de l’intendance sur les Anges inférieurs ; mais, pour vous, tout ce qui n’est pas Dieu vous est inférieur. Vierge sacrée, je vous supplie de dominer souverainement sur toutes mes passions, humeurs et inclinations.

 
 


dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

 qui aviez pour principe de ne rien demander et de ne rien refuser,
priez pour nous.


             Le neuvième de novembre 1622, notre Père saint François de Sales devant partir d’Annecy, fit porter en notre premier Monastère de cette ville une fort belle chasuble qu’il avait reçue des sérénissimes Infantes de Savoie. Il en fit présent à la Communauté, et, ayant célébré la Messe, il dit adieu à toutes les Sœurs avec des paroles toutes saintes et paternelles, recommandant grandement l’humilité, la dévotion, la simplicité, et surtout la sainte obéissance et l’indifférence, répétant plusieurs fois : « Mes chères filles, ne demandez rien et ne refusez rien, mais soyez toujours prêtes et disposées à tout ce que Dieu et l’obéissance désireront de vous. Que votre seul désir soit Dieu ; votre crainte, de la perdre ; votre ambition, de le posséder à jamais. » – La Sœur Assistante, qui était la bonne Mère Françoise-Marguerite Favrot, le remercia de la belle chasuble de brocard d’or qu’il venait de leur donner ; le Saint lui répondit : « Ma fille, ne savez-vous pas que, quand les amis se quittent, ils ont coutume de se faire quelques présents ? » Voyant les Sœurs fort attendries, il passa la porte du parloir assez promptement et leur dit : « Adieu, mes filles, adieu jusqu’à l’éternité ; à Dieu soyons-nous à jamais. » Disant le dernier adieu à Mgr de Chalcédoine, son frère, il lui dit ingénument qu’il fortifiât son courage et qu’il consolât son cœur ; qu’assurément, s’il tombait malade en ce voyage, il mourrait. Tous les principaux ecclésiastiques et laïques d’Annecy l’accompagnèrent jusqu’à Seyssel, avec tant de larmes, de cris et de sanglots, qu’on put nomme ce jour un jour de deuil et d’affliction, un jour de prévention et de prédiction de la mort de ce Saint.

 

 
 


ÉGALEMENT au 9 NOVEMBRE :
 
  

 
 
 

 


  « Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
  Il donne à tous du secours,
  Il guérit l’âme incurable :
  DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
  Alors, rendez-vous ici :