Un verre d’eau qu’on donne,
Ont devant Dieu leur prix,
Leur gloire et leur couronne,
Quel grand prix, ô mon Dieu,
Recevra votre aumône,
Si, pour un lit de feu,
Vous nous donnez un trône !
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge dans le Temple parmi ses compagnes. Les unes étaient de jeunes filles offertes et dédiées à Dieu par la piété de leurs parents, en attendant qu’elles fussent en âge d’être mariées ; et les autres étaient des femmes auxquelles il inspirait la résolution de lui consacrer leur viduité et de passer
leur vie, comme des hosties saintes, dans une retraite conforme à leur
état, au milieu des sacrifices et des occupations pieuses et au lieu où la majesté de Dieu était plus présente qu’en aucun endroit de la terre. C’est là que Marie croissait comme une aurore resplendissante qui devait nous amener la perfection du jour du salut, et nous faire voir l’Époux au midi de la grâce. Elle était comme le lis entre les épines ; sa vie était inconnue aux créatures et cachée à elle-même sous les voiles de son humilité. Elle attendait là, par un abandonnement total de ses vues et de ses désirs,
que les desseins éternels de Dieu eussent leur effet, suivant les
promesses qu’il avait faites à son peuple. Vierge très-sainte,Vierge séparée et cachée dans le secret de la Face du Dieu vivant, je vous supplie aujourd’hui, par votre séjour au Temple, de m’accorder l’esprit de communauté, c’est-à-dire d’union, d’obéissance et d’exactitude à tous les devoirs de mon état.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR, MODÈLE de l'ENFANCE, ou PRÉSENTATION de MARIE au TEMPLE", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/50-notre-dame-du-sacr%C3%A9-c%C5%93ur,-mod%C3%A8le:a?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge dans le Temple parmi ses compagnes. Les unes étaient de jeunes filles offertes et dédiées à Dieu par la piété de leurs parents, en attendant qu’elles fussent en âge d’être mariées ; et les autres étaient des femmes auxquelles il inspirait la résolution de lui consacrer leur viduité et de passer
leur vie, comme des hosties saintes, dans une retraite conforme à leur
état, au milieu des sacrifices et des occupations pieuses et au lieu où la majesté de Dieu était plus présente qu’en aucun endroit de la terre. C’est là que Marie croissait comme une aurore resplendissante qui devait nous amener la perfection du jour du salut, et nous faire voir l’Époux au midi de la grâce. Elle était comme le lis entre les épines ; sa vie était inconnue aux créatures et cachée à elle-même sous les voiles de son humilité. Elle attendait là, par un abandonnement total de ses vues et de ses désirs,
que les desseins éternels de Dieu eussent leur effet, suivant les
promesses qu’il avait faites à son peuple. Vierge très-sainte,Vierge séparée et cachée dans le secret de la Face du Dieu vivant, je vous supplie aujourd’hui, par votre séjour au Temple, de m’accorder l’esprit de communauté, c’est-à-dire d’union, d’obéissance et d’exactitude à tous les devoirs de mon état.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR, MODÈLE de l'ENFANCE, ou PRÉSENTATION de MARIE au TEMPLE", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/50-notre-dame-du-sacr%C3%A9-c%C5%93ur,-mod%C3%A8le:a?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge dans le Temple parmi ses compagnes. Les unes étaient de jeunes filles offertes et dédiées à Dieu par la piété de leurs parents, en attendant qu’elles fussent en âge d’être mariées ; et les autres étaient des femmes auxquelles il inspirait la résolution de lui consacrer leur viduité et de passer leur vie, comme des hosties saintes, dans une retraite conforme à leur état, au milieu des sacrifices et des occupations pieuses et au lieu où la majesté de Dieu était plus présente qu’en aucun endroit de la terre. C’est là que Marie croissait comme une aurore resplendissante qui devait nous amener la perfection du jour du salut, et nous faire voir l’Époux au midi de la grâce. Elle était comme le lis entre les épines ; sa vie était inconnue aux créatures et cachée à elle-même sous les voiles de son humilité. Elle attendait là, par un abandonnement total de ses vues et de ses désirs, que les desseins éternels de Dieu eussent leur effet, suivant les promesses qu’il avait faites à son peuple. Vierge très-sainte,Vierge séparée et cachée dans le secret de la Face du Dieu vivant, je vous supplie aujourd’hui, par votre séjour au Temple, de m’accorder l’esprit de communauté, c’est-à-dire d’union, d’obéissance et d’exactitude à tous les devoirs de mon état.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fondateur d’une congrégation de viergesdestinées à répandre en tous lieux la bonne odeur de Jésus-Christ, priez pour nous.
Le vingt-deuxième jour de novembre 1622, notre Père saint François de Sales étant à Avignon, alla célébrer la sainte Messe au Monastère de Sainte-Praxède, afin, dit-il à ses gens, d’avoir la consolation d’ouïr chanter par des vierges les louanges d’une des plus célèbres vierges de l’Église, la glorieuse sainte Cécile, pour laquelle il avait une si grande inclination, qu’il ne manquait jamais de se trouver ce jour-là à tous les Offices de sa cathédrale, lorsqu’il était de résidence, pour concourir à l’honneur que les musiciens faisaient à leur sainte patronne.
Après l’Office fait au couvent de Sainte-Praxède, ce saint Prélat vit à la grille du chœur la Supérieure et les Religieuses, et leur fit une petite exhortation sur les vertus de sainte Cécile. Une des Sœurs, qu’on prenait pour une sainte, s’approchant ensuite, lui dit : « Monseigneur, vous êtes Fondateur d’un Ordre de Religieuses, il nous faut bien faire la grâce d’en avoir un Monastère dans cette ville. » Le saint Prélat répondit en ces termes : « Ma Mère, l’Institut est petit et encore faible ; mais on peut, en l’observant bien, arriver à une grande vertu. Dieu exaucera votre souhait, et nous aurons dans quelque temps deux de nos petites ruches dans cette pieuse ville. » La prophétie de ce grand Évêque s’accomplit, comme on le peut voir dans l’histoire de l’Ordre.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »