Et quelle erreur de croire
Que d’aller c’est bien peu
Brûler en Purgatoire !
Point de péché petit,
Point de faute légère,
Puisque Dieu les punit
Avec tant de colère.
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge comme la Reine de tous les saints Innocents, puisque, étant la Mère de Jésus, le seul de tous les hommes qui ait pu dire avec vérité : Qui est-ce qui pourra me reprendre de quelque péché ou me noter de quelque imperfection ? elle a pu dire, par grâce et privilège, ce que Jésus a dit par le droit de sa nature impeccable : « Qui est-ce qui me reprendra d’un péché ou seulement d’un défaut ? » Ô Vierge, Mère de Dieu, Reine de l’innocence et de tous les saints Innocents, obtenez-nous de votre Fils adorable l’innocence réparée par la véritable pénitence, puisque je suis si continuellement pécheresse que si vous n’étiez Mère des âmes pécheresses et pénitentes je n’oserais espérer mon salut.
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/27-Heureux-qui-d%C3%A8s-son-enfance:9?lid=cd52187de9df741206b82007013d9482a83f2cb9 >>> PAROLES & PARTITION en PDF de ce Cantique sur le BONHEUR de l'ÉTAT de GRÂCE "Heureux qui dès son enfance"
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge comme la Reine de tous les saints Innocents, puisque, étant la Mère de Jésus, le seul de tous les hommes qui ait pu dire avec vérité : Qui est-ce qui pourra me reprendre de quelque péché ou me noter de quelque imperfection ? elle a pu dire, par grâce et privilège, ce que Jésus a dit par le droit de sa nature impeccable : « Qui est-ce qui me reprendra d’un péché ou seulement d’un défaut ? » Ô Vierge, Mère de Dieu, Reine de l’innocence et de tous les saints Innocents, obtenez-nous de votre Fils adorable l’innocence réparée par la véritable pénitence, puisque je suis si continuellement pécheresse que si vous n’étiez Mère des âmes pécheresses et pénitentes je n’oserais espérer mon salut.
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Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge comme la Reine de tous les saints Innocents, puisque, étant la Mère de Jésus, le seul de tous les hommes qui ait pu dire avec vérité : Qui est-ce qui pourra me reprendre de quelque péché ou me noter de quelque imperfection ? elle a pu dire, par grâce et privilège, ce que Jésus a dit par le droit de sa nature impeccable : « Qui est-ce qui me reprendra d’un péché ou seulement d’un défaut ? » Ô Vierge, Mère de Dieu, Reine de l’innocence et de tous les saints Innocents, obtenez-nous de votre Fils adorable l’innocence réparée par la véritable pénitence, puisque je suis si continuellement pécheresse que si vous n’étiez Mère des âmes pécheresses et pénitentes je n’oserais espérer mon salut.
fondateur d’une congrégation de viergesdestinées à répandre en tous lieux la bonne odeur de Jésus-Christ, priez pour nous.
Le quatorzième jour de novembre 1622, notre Père saint François de Sales arriva à Valence et alla d’abord chez ses filles de la Visitation, où il reçut une très-grande consolation, voyant que son Institut naissant prenait partout les mêmes racines de piété et d’exactitude. Il fut particulièrement consolé de la conversation qu’il eut avec Mme de la Gamelle, mère de la fondatrice de nos Sœurs de Valence, qui s’était retirée au Monastère en qualité de bienfaitrice séculière, et qui avait grand désir d’être Religieuse ; mais nos Sœurs ne voulaient pas lui donner l’habit à cause de son grand âge de quatre-vingt-quatre ans. Ce saint Fondateur les instruisit qu’il n’y avait point d’âge indigne d’être sacrifié au service de l’Éternel. Il consola cette bonne dame, lui dit de se préparer et qu’à son retour il lui donnerait l’habit, comme il fit. Il ne voulut point partir de cette ville, quoiqu’il fût pressé, qu’il n’eût vu la bonne Sœur Marie de Valence, qui vivait en grande odeur de sainteté. Il eut une fort longue conférence avec elle, et comme la nuit approchait, son monde le sollicita de se retirer, et l’un de la troupe lui ayant dit par le chemin, avec son aigreur naturelle : « Ah ! Monseigneur, c’est une honte de nous faire trotter par les rues à ces heures. Pourvu que vous trouviez une diseuse de patenôtres, vous ne pensez à autre chose », le Saint répondit en souriant : « Monsieur, avez-vous tout dit ? Apprenez qu’il fait grand bien à un homme pécheur comme moi de parler un peu cœur à cœur à une sainte épouse de Jésus-Christ telle que j’estime la Sœur Marie de Valence ; elle dira un Ave Maria pour vous, et, après que vous aurez bien dormi cette nuit, vous ne vous souviendrez pas demain du chagrin d’aujourd’hui. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »