Comme mon propre portrait,
Mais ta tiédeur est extrême,
Ton péché t’a tout défait. »
Ô Bon Jésus, calmez-vous
Sur tant de pauvres victimes :
Vengez-vous plutôt sur nous !
Punissez en nous leurs crimes.
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
28 NOVEMBRE
28 NOVEMBRE
Révérons aujourd’hui la plénitude de la sainteté en la divine Marie. Elle a eu, à elle seule, plus de sainteté que tous les Saints ensemble,
suivant cette parole du psalmiste : Elle a été fondé sur les montagnes
saintes, qui sont les âmes les plus élevées en l’ordre de la grâce ;
elle a donné au monde le Saint des saints ; sa demeure a été dans le
sanctuaire et le Très-Haut a sanctifié son tabernacle pour en faire le comble de toute sainteté, en l’un et en l’autre Testament. Or, comme cette plénitude de sainteté l’a tenue infiniment éloignée de toutes sortes d’imperfections, nous ne devons
point présumer d’appartenir à Marie, la Sainte des saintes et la Mère
du Saint des saints, tant que nous serons pécheresses et infidèles à la
grâce.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/AXsyzrXqUhMZ4pYxhrUcYF1cp
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
dont l’extérieur bon et affable, grave et modeste, rappelait Jésus-Christ conversant parmi les hommes,priez pour nous.
Révérons aujourd’hui la plénitude de la sainteté en la divine Marie. Elle a eu, à elle seule, plus de sainteté que tous les Saints ensemble,
suivant cette parole du psalmiste : Elle a été fondé sur les montagnes
saintes, qui sont les âmes les plus élevées en l’ordre de la grâce ;
elle a donné au monde le Saint des saints ; sa demeure a été dans le
sanctuaire et le Très-Haut a sanctifié son tabernacle pour en faire le comble de toute sainteté, en l’un et en l’autre Testament. Or, comme cette plénitude de sainteté l’a tenue infiniment éloignée de toutes sortes d’imperfections, nous ne devons
point présumer d’appartenir à Marie, la Sainte des saintes et la Mère
du Saint des saints, tant que nous serons pécheresses et infidèles à la
grâce.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/AXsyzrXqUhMZ4pYxhrUcYF1cp
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
dont l’extérieur bon et affable, grave et modeste, rappelait Jésus-Christ conversant parmi les hommes,priez pour nous.
Révérons aujourd’hui la plénitude de la sainteté en la divine Marie. Elle a eu, à elle seule, plus de sainteté que tous les Saints ensemble, suivant cette parole du psalmiste : Elle a été fondé sur les montagnes saintes, qui sont les âmes les plus élevées en l’ordre de la grâce ; elle a donné au monde le Saint des saints ; sa demeure a été dans le sanctuaire et le Très-Haut a sanctifié son tabernacle pour en faire le comble de toute sainteté, en l’un et en l’autre Testament. Or, comme cette plénitude de sainteté l’a tenue infiniment éloignée de toutes sortes d’imperfections, nous ne devons point présumer d’appartenir à Marie, la Sainte des saintes et la Mère du Saint des saints, tant que nous serons pécheresses et infidèles à la grâce.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/AXsyzrXqUhMZ4pYxhrUcYF1cp
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
dont l’extérieur bon et affable, grave et modeste, rappelait Jésus-Christ conversant parmi les hommes,priez pour nous.
Le 28 novembre 1622, notre Père saint François de Sales eut peine à sortir de Valence. C’était chose prodigieuse de voir la foule de peuple qui s’était amassée autour de lui pour recevoir sa bénédiction et baiser ou couper, s’il avait été possible, le bord de ses habits. Il était logé dans une hôtellerie nommée le Petit-Paris ; on eût dit que cette maison était assiégée de toutes parts. Le Saint mit tous ceux du logis en admiration ; car, n’y ayant qu’une petite chambre et un seul lit pour lui, pour son monde et M. Roland, son aumônier, se trouvant un peu mal, ce débonnaire Maître disputa ce lit avec lui, protestant qu’il passerait fort à son aise la nuit sur une chaise ; mais, voyant qu’il ne pouvait gagner cela sur le bon ecclésiastique, « Eh bien ! dit-il, au moins nous partagerons. » Il fit mettre le matelas et la couverture à terre et coucha tout vêtu sur la paillasse, disant que les malades doivent être préférés.
Le matin venu, il fit encore un acte de débonnaireté qu’on ne peut passer sou silence. Après avoir laissé nos Sœurs avec sa sainte et paternelle bénédiction, voulant partir de son logis, il fit appeler l’hôtesse, et, comme on lui dit qu’elle comptait de l’argent, « Bien, dit-il, ne l’incommodez pas, nous l’attendrons un peu. » Ses gens contredisant à ces paroles, parce qu’il était déjà à cheval, « Hé ! leur dit-il, soyons gracieux ; nous payons ses biens de notre argent, payons aussi son affection et bonne volonté de quelque cordiale parole. » La bonne dame vint, fort confuse de voir ce Saint l’attendre au milieu de la rue, et reçut, avec sa bénédiction, plusieurs documents pour bien vivre selon sa condition.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »