S’élance à Dieu sans cesse,
Et sans cesse ce Dieu
La repousse et rabaisse.
Jamais homme mortel
N’a conçu cette peine ;
Mon martyre est cruel,
Ma gêne est souveraine.
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
Honorez aujourd’hui la Bienheureuse Vierge, selon la pensée de saint François de Sales, comme la Reine et le modèle de tous les états. Voyez, dit ce Saint, comme cette Mère universelle de tous les enfants de Dieu s’est faite toute à tous, pour attirer et conduire toutes les âmes à son Fils. Mais surtout, regardez combien doucement cette jeune princesse a passé du couvent des vierges dans la congrégation des mariées par son mariage virginal avec saint Joseph, auquel, selon la coutume du temps et la divine destinée, elle fut remise par ses parents. De là, elle passa très-humblement dans le Monastère des veuves
après la mort de saint Joseph, et c’est l’opinion de plusieurs Pères,
que cette sainte Mère de Dieu, après l’Ascension de son divin Fils au
ciel, vécut en terre plusieurs années, comme les autres veuves et les
fidèles de la primitive Église, des aumônes, et dans l’unité de biens avec les premiers chrétiens.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/JJDJcamTTSwr1ZPRFUzcZ1e6L
le plus dévot et le plus aimable des Saints, priez pour nous.
Honorez aujourd’hui la Bienheureuse Vierge, selon la pensée de saint François de Sales, comme la Reine et le modèle de tous les états. Voyez, dit ce Saint, comme cette Mère universelle de tous les enfants de Dieu s’est faite toute à tous, pour attirer et conduire toutes les âmes à son Fils. Mais surtout, regardez combien doucement cette jeune princesse a passé du couvent des vierges dans la congrégation des mariées par son mariage virginal avec saint Joseph, auquel, selon la coutume du temps et la divine destinée, elle fut remise par ses parents. De là, elle passa très-humblement dans le Monastère des veuves
après la mort de saint Joseph, et c’est l’opinion de plusieurs Pères,
que cette sainte Mère de Dieu, après l’Ascension de son divin Fils au
ciel, vécut en terre plusieurs années, comme les autres veuves et les
fidèles de la primitive Église, des aumônes, et dans l’unité de biens avec les premiers chrétiens.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/JJDJcamTTSwr1ZPRFUzcZ1e6L
le plus dévot et le plus aimable des Saints, priez pour nous.
Honorez aujourd’hui la Bienheureuse Vierge, selon la pensée de saint François de Sales, comme la Reine et le modèle de tous les états. Voyez, dit ce Saint, comme cette Mère universelle de tous les enfants de Dieu s’est faite toute à tous, pour attirer et conduire toutes les âmes à son Fils. Mais surtout, regardez combien doucement cette jeune princesse a passé du couvent des vierges dans la congrégation des mariées par son mariage virginal avec saint Joseph, auquel, selon la coutume du temps et la divine destinée, elle fut remise par ses parents. De là, elle passa très-humblement dans le Monastère des veuves après la mort de saint Joseph, et c’est l’opinion de plusieurs Pères, que cette sainte Mère de Dieu, après l’Ascension de son divin Fils au ciel, vécut en terre plusieurs années, comme les autres veuves et les fidèles de la primitive Église, des aumônes, et dans l’unité de biens avec les premiers chrétiens.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/JJDJcamTTSwr1ZPRFUzcZ1e6L
le plus dévot et le plus aimable des Saints, priez pour nous.
Le vingt-quatrième jour de novembre 1622, notre Père saint François de Sales employa une partie de la journée à visiter toutes les églises et lieux de dévotion qui sont autour et dans la ville d’Avignon ; il ne pouvait surtout quitter l’église des RR. PP. Célestins, où reposent les reliques du bienheureux cardinal Pierre de Luxembourg, à l’honneur duquel il fit un excellent éloge sans autre préparation que l’oraison qu’il avait faite au pied du tombeau de cet admirable Saint : « Hélas ! disait-il, laissez-moi auprès de cet illustre Maître ; de tout temps, ma famille a été dévouée au service de l’auguste maison de Luxembourg, et je n’ai jamais rien lu qui m’ait tant donné de confusion dans ma vocation ecclésiastique, que la vie de ce jeune cardinal, qui a consommé en peu de temps la perfection de plusieurs siècles. »
En l’année 1654, mourut au château de Sales le bon comte Louis de Sales, véritable image de son saint frère, tant par les traits du visage que par de rares, aimables et vraies vertus. Dès leur enfance, on appelait ces deux frères les inséparables, et, de fait, Louis passa sa vie auprès du saint Prélat, du moins autant que ses occupations le lui permirent. Il refusa de devenir son coadjuteur, la divine Bonté l’appelant à être un modèle de perfection dans l’état de mariage, comme saint François en était un dans l’état ecclésiastique. Dieu lui donna pour fils aîné Charles-Auguste de Sales, qui fut un grand et pieux Évêque de Genève. De son second mariage, il eut plusieurs enfants, dont l’aîné, François, premier marquis de Sales, perpétua ce nom béni.
Le comte Louis de Sales avait eu l’honneur, le 6 juin 1610, de conduire la très-honorée Mère J.-C. de Bréchard à la Galerie ; il conserva chèrement le souvenir de cette faveur, et réclama l’assistance de cette sainte âme à sa dernière heure pour être introduit par elle dans le paradis de la gloire éternelle, comme il l’avait introduite dans le paradis terrestre de la Visitation.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »