Dans ce lieu de torture ;
Les vôtres, les plus vifs,
N’en sont que la peinture.
C’est un feu dévorant
Qui pénètre notre âme,
La dévore et la rend
Un charbon tout de flamme.
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge dans son entière souveraineté sur les Anges, dont les Séraphins composent le neuvième chœur. Ces esprits célestes excellent en l’amour de Dieu par-dessus tous les autres. Mais, dit saint François de Sales, ils sont aussi inférieurs à la sacrée Vierge, comme le titre d’Amante, de Mère et d’Épouse de Dieu est supérieur à celui d’esprit servant le Seigneur, qui est celui que l’Écriture sainte donne aux Anges. Saluez donc cette Reine des Séraphins
et dites-lui : « Ô sainte et plus que séraphique Marie ! qui de ces
esprits célestes, quoique tout ardents de flammes divines, a jamais approché de votre sainteté, de votre ardeur, de votre dignité ? Lequel des Séraphins osera dire à l’Homme-Dieu : Vous êtes mon Fils, je suis votre Mère !
Ah ! que vos prérogatives et vos droits sont éminents au-dessus
d’eux ! » Ils voilent leur face, comme dit le Prophète, devant la
Majesté divine ; mais vous seule, ô Marie, par un privilège d’amour et de maternité, avez voilé la Face de Dieu ;
non seulement quand le Verbe se fit chair dans votre sein virginal,
mais lorsque, dans l’enfance de cet Homme-Dieu, vous la lui couvrîtes
souvent de ses langes dans son berceau.
(à retrouver ici : https://www.gloria.tv/post/4RZMiiCSuF213w8F6NXzGkY6C 
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Apôtre du Chablais, priez pour nous.
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge dans son entière souveraineté sur les Anges, dont les Séraphins composent le neuvième chœur. Ces esprits célestes excellent en l’amour de Dieu par-dessus tous les autres. Mais, dit saint François de Sales, ils sont aussi inférieurs à la sacrée Vierge, comme le titre d’Amante, de Mère et d’Épouse de Dieu est supérieur à celui d’esprit servant le Seigneur, qui est celui que l’Écriture sainte donne aux Anges. Saluez donc cette Reine des Séraphins
et dites-lui : « Ô sainte et plus que séraphique Marie ! qui de ces
esprits célestes, quoique tout ardents de flammes divines, a jamais approché de votre sainteté, de votre ardeur, de votre dignité ? Lequel des Séraphins osera dire à l’Homme-Dieu : Vous êtes mon Fils, je suis votre Mère !
Ah ! que vos prérogatives et vos droits sont éminents au-dessus
d’eux ! » Ils voilent leur face, comme dit le Prophète, devant la
Majesté divine ; mais vous seule, ô Marie, par un privilège d’amour et de maternité, avez voilé la Face de Dieu ;
non seulement quand le Verbe se fit chair dans votre sein virginal,
mais lorsque, dans l’enfance de cet Homme-Dieu, vous la lui couvrîtes
souvent de ses langes dans son berceau.
(à retrouver ici : https://www.gloria.tv/post/4RZMiiCSuF213w8F6NXzGkY6C
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Apôtre du Chablais, priez pour nous.
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge dans son entière souveraineté sur les Anges, dont les Séraphins composent le neuvième chœur. Ces esprits célestes excellent en l’amour de Dieu par-dessus tous les autres. Mais, dit saint François de Sales, ils sont aussi inférieurs à la sacrée Vierge, comme le titre d’Amante, de Mère et d’Épouse de Dieu est supérieur à celui d’esprit servant le Seigneur, qui est celui que l’Écriture sainte donne aux Anges. Saluez donc cette Reine des Séraphins et dites-lui : « Ô sainte et plus que séraphique Marie ! qui de ces esprits célestes, quoique tout ardents de flammes divines, a jamais approché de votre sainteté, de votre ardeur, de votre dignité ? Lequel des Séraphins osera dire à l’Homme-Dieu : Vous êtes mon Fils, je suis votre Mère ! Ah ! que vos prérogatives et vos droits sont éminents au-dessus d’eux ! » Ils voilent leur face, comme dit le Prophète, devant la Majesté divine ; mais vous seule, ô Marie, par un privilège d’amour et de maternité, avez voilé la Face de Dieu ; non seulement quand le Verbe se fit chair dans votre sein virginal, mais lorsque, dans l’enfance de cet Homme-Dieu, vous la lui couvrîtes souvent de ses langes dans son berceau.
(à retrouver ici : https://www.gloria.tv/post/4RZMiiCSuF213w8F6NXzGkY6C
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Apôtre du Chablais, priez pour nous.
Le douzième de novembre 1598, notre Père saint François de Sales ayant pris beaucoup de peine à aller en divers lieux de la province pour découvrir les biens des cures où il avait rétabli la foi et l’exercice catholiques, et à recouvrer leurs titres et papiers, se prévalut sagement du séjour que le prince fit en Chablais et lui présenta quinze articles écrits de sa main, tous pour le bon ordre des paroisses nouvellement établies, pour la subsistance des curés et des vicaires, pour la liberté de la juridiction spirituelle, pour les catéchismes publics, pour le soulagement des néophytes et nouveaux convertis, pour le bon ordre de la sainte Maison de Thonon dont il faisait le projet, et enfin pour tout ce dont ce soigneux Apôtre put s’aviser. Ce prince lut, considéra et approuva en marge ces quinze articles, les signa et les fit enregistrer. Il ordonna, par acte authentique du 12 novembre 1598, au gouverneur, jugemage, et procureur fiscal, que l’on y tînt soigneusement la main, afin qu’ils fussent observés au pied de la lettre, selon le désir du serviteur de Dieu, et redit plusieurs fois : « Ah ! si Dieu notre Créateur se voulait faire plusieurs soldats aussi vaillants, zélés et dévots que le prévôt François de Sales, que son Église serait forte ! Mais nous ne le méritons pas. » Ce prince, remettant ce papier si bien décrété à notre Bienheureux, lui dit : « Voilà ce que vous avez désiré pour les autres ; mais demandez-moi quelque chose pour vous et vous verrez de quelle bonne volonté je suis porté en votre endroit. » François fit une profonde révérence et dit au prince : « Je supplie très-humblement Votre Altesse Royale de m’écouter toujours favorablement quand je lui représenterai les intérêts de l’Église et de vos vrais sujets, les bons catholiques romains. » Ce prince et toute la cour admirèrent le zèle et le désintéressement de cet Apôtre.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »