par le R.P. Pedini (1854) :
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(Téléchargement, Retranscription partielle ou totale)19 MARS
Après avoir, dès hier, honoré et médité les excellentes vertus de saint Joseph, « que nous reste-t-il de plus à dire aujourd’hui, sinon, que nous ne devons
nullement douter que ce glorieux Saint n’ait beaucoup de crédit dans le
ciel après de Celui qui l’a tant favorisé que de l’y élever en corps et
en âme ; ce qui est d’autant plus probable, que nous
n’en avons nulle relique ici-bas en terre. Car, comment lui eût pu
refuser cette grâce Celui qui lui avait été obéissant tout le temps de
sa vie ? Celui que ce glorieux Saint avait eu l’honneur et la grâce de
porter si souvent entre ses bénits bras, bras auxquels Notre-Seigneur se
plaisait tant ? Oh ! combien de baisers lui donnait-il fort tendrement
de sa bénite bouche pour récompenser en quelque façon son travail !
Saint Joseph donc est au ciel en corps et en âme ; c’est sans doute !
Oh ! combien serons-nous heureux si nous pouvons mériter d’avoir part en ses saintes intercessions ! Car rien ne lui sera refusé ni de Notre-Dame ni de son Fils glorieux : il nous obtiendra, si nous avons confiance en lui, un saint accroissement en toutes sortes de vertus. » (Entretien XIX : Des vertus de saint Joseph)
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
Après avoir, dès hier, honoré et médité les excellentes vertus de saint Joseph, « que nous reste-t-il de plus à dire aujourd’hui, sinon, que nous ne devons nullement douter que ce glorieux Saint n’ait beaucoup de crédit dans le ciel après de Celui qui l’a tant favorisé que de l’y élever en corps et en âme ; ce qui est d’autant plus probable, que nous n’en avons nulle relique ici-bas en terre. Car, comment lui eût pu refuser cette grâce Celui qui lui avait été obéissant tout le temps de sa vie ? Celui que ce glorieux Saint avait eu l’honneur et la grâce de porter si souvent entre ses bénits bras, bras auxquels Notre-Seigneur se plaisait tant ? Oh ! combien de baisers lui donnait-il fort tendrement de sa bénite bouche pour récompenser en quelque façon son travail ! Saint Joseph donc est au ciel en corps et en âme ; c’est sans doute ! Oh ! combien serons-nous heureux si nous pouvons mériter d’avoir part en ses saintes intercessions ! Car rien ne lui sera refusé ni de Notre-Dame ni de son Fils glorieux : il nous obtiendra, si nous avons confiance en lui, un saint accroissement en toutes sortes de vertus. » (Entretien XIX : Des vertus de saint Joseph)
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
En quelque endroit que fût notre Père saint François de Sales le jour de la fête de saint Joseph, il ne manquait point de prêcher. Il ne faut que voir l’Épître dédicatoire du livre de l’Amour de Dieu, le chap. III du livre III de ce même Traité et l’entretien XIX, pour être persuadé que son esprit et son cœur n’étaient jamais stériles sur ce sujet. « Rien, disait-il, ne me charme tant que le titre de Nourricier de Jésus-Christ. »
Le jour de Saint-Joseph de l’année 1614, notre bienheureux Prélat envoya dès le matin ce billet à notre vénérable Mère de Chantal : « Ma très-chère fille, voilà les litanies du glorieux Père de notre vie et de notre amour ; je croyais vous les envoyer écrites de ma main, mais, comme vous savez, je ne suis pas à moi ; j’ai néanmoins pris le loisir de les revoir, de les corriger et d’y mettre les accents, afin que notre fille de Châtel ait plus de facilité à les chanter sans y faire de fautes ; mais vous, ma fille, qui ne pourrez pas chanter les louanges de ce Saint de notre cœur, vous les ruminerez, comme l’Épouse, entre vos dents ; c’est-à-dire que, votre bouche étant close, votre cœur sera ouvert à la méditation des grandeurs de cet Époux de la Reine de tout le monde, nommé Père de Jésus, et son premier adorateur après sa divine Mère. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »