par le R.P. Pedini (1854) :
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(Téléchargement, Retranscription partielle ou totale)10 MARS
Entrez aujourd’hui dans la considération des douleurs qu’endura la sacrée Vierge par CONDOLÉANCE et COMPASSION à celles de son divin Fils. « Considérez comme l’amour
tira toutes les peines, les tourments, les blessures et les passions de
notre Rédempteur dans le Cœur de sa très-sainte Mère. Hélas ! les mêmes clous qui crucifièrent le corps de ce divin Enfant crucifièrent aussi le Cœur de la Mère ; les épines qui percèrent son chef outrepercèrent l’âme de cette Mère toute douce, si qu’elle put véritablement dire : Mon Bien-Aimé m’est un bouquet de myrrhe qui demeure en ma poitrine et au milieu de mon Cœur. » (Retraite de notre sainte Mère)
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>>> PAROLES de ce Cantique "PAROLES de MARIE DÉSOLÉE sur le CALVAIRE -2-"
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
qui avez su joindre la force pour corriger les vices et la douceur pour gagner les cœurs,priez pour nous.
Entrez aujourd’hui dans la considération des douleurs qu’endura la sacrée Vierge par CONDOLÉANCE et COMPASSION à celles de son divin Fils. « Considérez comme l’amour tira toutes les peines, les tourments, les blessures et les passions de notre Rédempteur dans le Cœur de sa très-sainte Mère. Hélas ! les mêmes clous qui crucifièrent le corps de ce divin Enfant crucifièrent aussi le Cœur de la Mère ; les épines qui percèrent son chef outrepercèrent l’âme de cette Mère toute douce, si qu’elle put véritablement dire : Mon Bien-Aimé m’est un bouquet de myrrhe qui demeure en ma poitrine et au milieu de mon Cœur. » (Retraite de notre sainte Mère)
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
qui avez su joindre la force pour corriger les vices et la douceur pour gagner les cœurs,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le dixième jour de mars de l’année 1615, notre Père saint François de Sales fit paraître la tendresse de son cœur et en même temps la force de son zèle paternel, au sujet de quelques emportements de plusieurs personnes de son diocèse ; voici comme il en écrivit à un magistrat qu’il appelait son frère :
« Monsieur mon cher frère tant aimé, depuis que je suis en cette charge d’Évêque, rien ne m’a tant affligé que les mouvements indiscrets des syndics et habitants de...... contre mon Chapitre, avec lequel ils plaident ; tâchez de les accommoder amiablement. Ils ne veulent subir ni sentence ni expédient ; ils méprisent tous mes avis et témoignent une passion furieuse contre les curés et les ecclésiastiques. Je suis donc affligé si cette violence n’est réprimée, car elle croîtrait tous les jours. D’ailleurs, je suis affligé qu’on châtie ces mutineries, parce que les mutins sont mes diocésains et mes enfants spirituels ; mais, toutes choses bien considérées, il faut un peu d’affliction aux enfants, afin qu’ils se corrigent, quand on voit que les remontrances n’ont servi de rien. Il vaut mieux que je pleure leur tribulation temporelle que s’ils se précipitaient dans l’éternelle. Je ne désire, sinon que mon Église demeure dans ses droits et que ces gens demeurent dans leur devoir. »
Ainsi, la grande douceur de ce saint Prélat n’empêchait pas qu’il ne soutînt vigoureusement les intérêts de son Église.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »