par le R.P. Pedini (1854) :
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(Téléchargement, Retranscription partielle ou totale)11 MARS (vendredi après le 1er Dimanche de Carême)
Continuez aujourd’hui vos considérations générales sur la COMPASSION de la SACRÉE VIERGE aux souffrances de son divin Fils, et dites-lui, ainsi que vous l’enseignent nos bienheureux Père et Mère : « Comme
vous étiez, ô très-sainte Vierge ! le vaisseau le plus grand, le plus
capable, le plus digne du monde, vous fûtes plus que nul autre remplie de l’amertume et du breuvage d’angoisse que votre Bien-Aimé avala durant le cours de sa douloureuse Passion. Ah ! que m’apprend cela, sinon à recevoir les tribulations comme une chose partagée avec l’Époux ? Ô Mère très-pure ! vous nous appelez disant : Hé ! venez, mes filles ; que vos cœurs soient des vaisseaux tout vides, et mon Fils y versera la rosée dont son chef est couvert, et les gouttes de la nuit de sa Passion dont sa perruque est emperlée se convertiront en perles de consolation. Ma très-douce Mère, hé ! faites-moi donc la grâce que
désormais je reçoive toutes les petites occasions d’humiliation, de
souffrance et d’abjection comme de petites gouttelettes distillées de
cette perruque précieuse. » (Retraite de notre sainte Mère)
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fondateur d’une congrégation de vierges destinées à répandre en tous lieux la bonne odeur de Jésus-Christ,priez pour nous.
Continuez aujourd’hui vos considérations générales sur la COMPASSION de la SACRÉE VIERGE aux souffrances de son divin Fils, et dites-lui, ainsi que vous l’enseignent nos bienheureux Père et Mère : « Comme vous étiez, ô très-sainte Vierge ! le vaisseau le plus grand, le plus capable, le plus digne du monde, vous fûtes plus que nul autre remplie de l’amertume et du breuvage d’angoisse que votre Bien-Aimé avala durant le cours de sa douloureuse Passion. Ah ! que m’apprend cela, sinon à recevoir les tribulations comme une chose partagée avec l’Époux ? Ô Mère très-pure ! vous nous appelez disant : Hé ! venez, mes filles ; que vos cœurs soient des vaisseaux tout vides, et mon Fils y versera la rosée dont son chef est couvert, et les gouttes de la nuit de sa Passion dont sa perruque est emperlée se convertiront en perles de consolation. Ma très-douce Mère, hé ! faites-moi donc la grâce que désormais je reçoive toutes les petites occasions d’humiliation, de souffrance et d’abjection comme de petites gouttelettes distillées de cette perruque précieuse. » (Retraite de notre sainte Mère)
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fondateur d’une congrégation de vierges destinées à répandre en tous lieux la bonne odeur de Jésus-Christ,priez pour nous.
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TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le onzième de mars de l’année 1618, notre Père saint François de Sales, prêchant le carême à Grenoble, prit les dernières conclusions pour faire une fondation de notre Institut dans cette ville. Plusieurs demoiselles, dont le Saint avait bien examiné la vocation, étaient venues au commencement de cette année en ce Monastère d’Annecy pour y rendre le saint habit, faire leur noviciat et se disposer à aider les professes qui seraient destinées à l’établissement, dont ce grand Saint prit seulement la dernière résolution en mars ; il en écrivit en ces termes à notre vénérable Mère de Chantal : « Enfin, ma chère fille, nous venons de conclure avec nos bonnes dames l’établissement de notre Monastère. Tout le monde applaudit à ce dessein ; notre bonne dame la présidente Le Blanc a une sainte ardeur pour cela, et moi j’ai une espérance très-douce que Dieu bénira ses intentions, si nous sommes si heureux que de nous humilier comme il faut devant lui, qui veut bien se glorifier en notre petitesse. Je vous prie, ma très-chère Mère, de préparer doucement nos petites avettes pour faire une sortie au premier beau temps et venir travailler à la nouvelle ruche pour laquelle le ciel prépare bien de la rosée. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »