par le R.P. Pedini (1854) :
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(Téléchargement, Retranscription partielle ou totale)15 MARS
Honorez aujourd’hui la sacrée Vierge dans l’affliction que lui fit éprouver la FUITE des APÔTRES et le triste abandon où ils laissèrent Notre-Seigneur.
Considérez
avec cette Mère des douleurs que le doux Jésus, Père de nos âmes, a
bien voulu souffrir de ses disciples tout ce qu’un bon père peut jamais
endurer de ses enfants ingrats et perfides. Adorez la patience et la douleur amoureuse du Fils et de la Mère, causée par la perfidie de ces enfants prodigues.
Ô Vierge fidèle, Mère très-aimante de mon cher Sauveur ! apprenez-moi, aujourd’hui, que le seul éloignement de sa divine Présence me peut perdre ; et, si ce malheur m’arrivait jamais, dites-lui qu’Il me rappelle bien vite, ou, comme l’enfant prodigue, par ma propre misère, ou, comme saint Pierre, par un de ses regards qui soit l’effet de son amour et la cause de ma fidélité à ses saintes inspirations.
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Honorez aujourd’hui la sacrée Vierge dans l’affliction que lui fit éprouver la FUITE des APÔTRES et le triste abandon où ils laissèrent Notre-Seigneur.
Considérez avec cette Mère des douleurs que le doux Jésus, Père de nos âmes, a bien voulu souffrir de ses disciples tout ce qu’un bon père peut jamais endurer de ses enfants ingrats et perfides. Adorez la patience et la douleur amoureuse du Fils et de la Mère, causée par la perfidie de ces enfants prodigues.
Ô Vierge fidèle, Mère très-aimante de mon cher Sauveur ! apprenez-moi, aujourd’hui, que le seul éloignement de sa divine Présence me peut perdre ; et, si ce malheur m’arrivait jamais, dites-lui qu’Il me rappelle bien vite, ou, comme l’enfant prodigue, par ma propre misère, ou, comme saint Pierre, par un de ses regards qui soit l’effet de son amour et la cause de ma fidélité à ses saintes inspirations.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Monsieur de Chissé, étant à Rome avec notre bienheureux Père, eut une audience particulière de Sa Sainteté, le quinzième de mars de l’année 1599. Il y présenta les requêtes de son oncle, Mgr de Granier, évêque de Genève, qui demandait, sous le bon plaisir de S.A.R. de Savoie, notre saint Fondateur, François de Sales, pour son Coadjuteur. L’oncle et le neveu donnèrent en cette occasion une preuve admirable de leur vertu, aussi bien que de l’estime qu’ils avaient pour notre Bienheureux, en le préférant ainsi à leurs propres intérêts ; car il faut remarquer que M. de Chissé avait toutes les qualités nécessaires pour bien remplir cette charge, étant homme de naissance, vertueux, savant, habile prédicateur, Vicaire général de l’Évêché et plus ancien dans la cathédrale que ne l’était notre Saint. Mais toutes ces considérations n’empêchèrent pas que l’oncle et le neveu ne travaillassent à procurer cette dignité au grand François de Sales, par un effet de l’estime qu’ils avaient pour lui, et dans la vue des grands biens qu’il ferait dans ce diocèse quand il en serait le Pasteur.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »