mercredi 26 janvier 2022

Le 26 JANVIER avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

 « Oh ! il vaut bien mieux être dans les sécheresses et les tentations 
que de s’élever à la contemplation 
sans que Dieu le veuille. »

(Bienheureux Jean d’Avila)

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            Considérez aujourd’hui la sacrée Vierge comme votre EXEMPLAIRE dans la parfaite égalité d’âme qu’elle conserve entre les inégalités et la diversité des événements. « Nous ne lisons point dans l’Évangile, dit notre Bienheureux Père, que Notre-Dame s’abandonne à la joie quand les bergers et les rois viennent adorer son Fils ; nous ne lisons pas aussi qu’elle se trouble quand elle apprend qu’Hérode le cherche pour le faire mourir. La possession de Jésus est la source de cette profonde paix de Marie. »

            « Nous voulons toujours ceci ou cela, dit encore saint François de Sales, et, quoique nous ayons notre doux Jésus sur notre poitrine, nous ne sommes point contents. C’est néanmoins tout ce que nous pouvons désirer. – Eh ! que nous importe que nous ayons ici-bas des commodités ou incommodités, pourvu que dans l’éternité nous soyons bienheureux ! »


 
 

           

 



TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES

dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

  qui avez su joindre la force pour corriger les vices 
et la douceur pour gagner les cœurs,
priez pour nous.
 

           C’était une coutume établie dans la ville d’Annecy qu’on envoyât, au commencement de l’année, des billets écrits en lettres d’or sur du laurier ou sur du satin ; les hommes choisissaient ainsi leurs Valentines, et les femmes, leurs Valentins, qui, selon les lois de cette société mondaine, devaient les conduire aux bals, aux conversations et aux promenades pendant toute l’année. Notre Saint, connaissant que cette coutume donnait occasion à un grand nombre de péchés, fit un sermon tout de zèle et de feu contre cet abus, le 26 janvier 1603, et pria son peuple de ne recevoir ni Valentins ni Valentines que de sa main. Il fit ensuite distribuer dans toutes les familles un grand nombre de billets où étaient écrits les noms des Saints et des Saintes qu’on devait prendre pour protecteurs pendant l’année, avec une belle sentence tirée de l’Écriture ou des Pères. Cette invention lui réussit heureusement, et lorsqu’on lui dit que les libertins en faisaient des railleries, le saint Prélat répondit : « Laissez-les faire, ceux qui sont pour nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont contre nous. Ces Messieurs ont quelque sujet de se plaindre, car ils n’auront point de Valentines pendant cette année ; mais aussi il n’y aura plus pour ce sujet ni querelles, ni jalousies, ni libertinages autorisés par la coutume. »


            Le vingt-sixième jour de l’année 1615, notre saint Fondateur fit partir la première colonie de ses filles, pour établir dans Lyon le second Monastère de l’Institut. Notre vénérable Mère de Chantal alla faire cet établissement avec nos Mères Favre, de Châtel et de Blonay.


 

ÉGALEMENT au 26 JANVIER :
 
 
 
 
 
 

 


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Il donne à tous du secours,
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