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« Si la prière d’un pécheur
qui désire rompre ses chaînes est constante,
elle sera exaucée ;
mais Dieu n’exauce pas la prière téméraire et abominable
du pécheur qui veut rester dans son péché et n’en point sortir. »
Le SOUVENEZ-VOUS à SAINT JOSEPH
Cantique de l'Abbé Giély
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(dans la Liste de lecture "CANTIQUES à SAINT JOSEPH")
Chant : Jean-Myriam Chevalier
Mélodie et accompagnement : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 13 mars 2024
Note : de très longs interludes séparent chaque couplet.
R./ Souvenez-vous, ô tendre Père,
Qu’à votre Cœur sur cette terre
On n’eut jamais en vain recours ;
Sur l’humble enfant qui vous implore
Saint Protecteur, jetez encore
Vos regards paternels toujours.
1- Que peut le doux Sauveur refuser à son Père ?
Si vous priez pour nous, que ne fera-t-il pas ?
Aux jours de son départ pour la terre étrangère,
Vous l’avez porté dans vos bras.
2- Jésus vous fut soumis, Jésus rempli de charmes
Aux ordres d’un mortel, spectacle ravissant !
Vous avez vu trente ans de vos yeux pleins de larmes
Le Dieu du ciel obéissant !
3- Jésus fut près de vous, à vos suprêmes heures,
De vos derniers combats, embaumant la douleur,
Jésus vous dresse un trône aux célestes demeures
Ne régnez-vous pas sur son Cœur ?
4- Exilés pour un jour dans la vallée amère,
Nous élevons vers vous nos regards confiants ;
Frères du Dieu sauveur, fils de la Vierge Mère,
Ne sommes-nous pas vos enfants ?
5- Votre Cœur n’est-il pas ouvert à la faiblesse ?
N’avez-vous pas connu l’épreuve et le labeur
Du fardeau qui meurtrit, de l’épine qui blesse ?
Allégez pour nous la douleur.
6- Père aimé de Jésus, parlez-lui de ses frères ;
Sur la terre d’exil, ils gémissent encor,
Des divines faveurs que vos mains tutélaires,
Épanchent sur eux le trésor !
7- Offrez-lui nos désirs de l’aimer sans partage,
D’obéir à ses lois, d’accomplir ses desseins,
Après les jours comptés de ce pèlerinage,
Ouvrez-nous le séjour des Saints !
Qu’à votre Cœur sur cette terre
On n’eut jamais en vain recours ;
Sur l’humble enfant qui vous implore
Saint Protecteur, jetez encore
Vos regards paternels toujours.
1- Que peut le doux Sauveur refuser à son Père ?
Si vous priez pour nous, que ne fera-t-il pas ?
Aux jours de son départ pour la terre étrangère,
Vous l’avez porté dans vos bras.
2- Jésus vous fut soumis, Jésus rempli de charmes
Aux ordres d’un mortel, spectacle ravissant !
Vous avez vu trente ans de vos yeux pleins de larmes
Le Dieu du ciel obéissant !
3- Jésus fut près de vous, à vos suprêmes heures,
De vos derniers combats, embaumant la douleur,
Jésus vous dresse un trône aux célestes demeures
Ne régnez-vous pas sur son Cœur ?
4- Exilés pour un jour dans la vallée amère,
Nous élevons vers vous nos regards confiants ;
Frères du Dieu sauveur, fils de la Vierge Mère,
Ne sommes-nous pas vos enfants ?
5- Votre Cœur n’est-il pas ouvert à la faiblesse ?
N’avez-vous pas connu l’épreuve et le labeur
Du fardeau qui meurtrit, de l’épine qui blesse ?
Allégez pour nous la douleur.
6- Père aimé de Jésus, parlez-lui de ses frères ;
Sur la terre d’exil, ils gémissent encor,
Des divines faveurs que vos mains tutélaires,
Épanchent sur eux le trésor !
7- Offrez-lui nos désirs de l’aimer sans partage,
D’obéir à ses lois, d’accomplir ses desseins,
Après les jours comptés de ce pèlerinage,
Ouvrez-nous le séjour des Saints !
Fichier PDF des Paroles de ce cantique :
http://
+ Téléchargement : http://(tiré du "Recueil de Cantiques et de Motets extraits des meilleurs Auteurs, à l'usage des pensionnats", 1913)
Souvenez-vous, ô glorieux saint Joseph,
modèle et patron des amis du Sacré-Cœur,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
sollicité votre secours et imploré vos suffrages,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
ô chaste Époux de Marie,
ô mon tendre Père,
je viens à vous,
et gémissant sous le poids de mes péchés,
je me prosterne à vos pieds ;
ô juste Joseph,
Père nourricier du Verbe fait homme pour moi,
ne méprisez pas ma prière,
mais écoutez-la favorablement
et daignez l’exaucer.
Ainsi soit-il.
« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
Alors, rendez-vous ici :