Jésus, Joseph et Marie,
Soyez avec moi pendant cette vie !
1- CANTIQUES & PRIÈRES pour le MOIS de la SAINTE FAMILLE
2- LITANIES & INVOCATIONS à la SAINTE FAMILLE
3- CANTIQUES & CONSÉCRATIONS à la SAINTE FAMILLE
21 JANVIER
Honorez aujourd’hui la sacrée Vierge comme la douce BERGÈRE de tout le troupeau du divin Pasteur, et, à l’exemple des bergers de Bethléem, demandez-lui
de présenter elle-même vos offrandes à son divin Enfant, après vous
avoir appris à conduire, gouverner et ranger le troupeau spirituel de
vos affections, selon sa très-sainte Volonté, afin qu’il soit agréable à
sa bonté. Mais que lui donnerons-nous, à ce souverain Pasteur de nos âmes, comme gage de notre servitude éternelle, sinon le plus beau et le plus gras de nos agnelets, qui est notre amour sans réserve ?
– Oh ! qu’il nous saura bon gré de ce présent, et que la très-sainte
Mère le recevra avec grande consolation par le désir qu’elle a de notre
bien ! Il ne faut pas douter que son divin Poupon ne nous regarde de ses
yeux bénins et gracieux, pour récompense de notre don et pour nous
témoigner le plaisir qu’il en a.
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/Ste-Th%C3%A9r%C3%A8se-_-Les-r%C3%A9pons-de-Ste-Agn%C3%A8s:5?lid=92979114ee79ff00c1e372afca8407507442fa02
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
enfant bien-aimé de Marie,priez pour nous.
Après son premier
voyage à Rome, saint François de Sales, accompagné de M. Déage,
repassa encore à Padoue. Il fit ses adieux au R.P. Possevin et
demanda ses lettres patentes de Congréganiste de Notre-Dame,
qui lui furent livrées le 21 janvier 1592. On y ajouta :
« Parce que la brièveté de ces lettres ne permet pas une
plus longue recommandation, et que la vie du sieur François
est si excellente, que, sans être appuyée même d’aucune
attestation, il se recommanderait assez par lui-même,
nous n’ajouterons rien à ce que nous avons dit ; et nous ne
doutons pas qu’il n’éprouve que la bonté et la
charité règnent dans toutes nos Congrégations. »
Saint François de Sales a
conservé respectueusement jusqu’à sa mort ses patentes de la
Congrégation de Notre-Dame (aujourd’hui nommée Congrégation
des Enfants de Marie).
Le vingt-et-unième jour de
l’année 1623, Messieurs les députés de l’Évêque et du
Chapitre de Saint-Pierre de Genève mirent fin à toutes les
difficultés que proposaient Messieurs de Lyon pour empêcher qu’on
ne sortît de leur ville le corps de notre saint Fondateur, et se
mirent en chemin avec ce précieux dépôt, qui fut arrêté à la
Croix-Rousse, où Monsieur le Sacristain de Saint-Nizier prononça
une harangue funèbre qui fut suivie des larmes de toute l’assemblée.
Pendant qu’il la prononçait, ce Corps saint parfumait l’air
d’une odeur très-suave, pour remercier le clergé et le peuple de
Lyon, qui avaient déjà une dévotion si particulière pour
ce grand Prélat, que, tandis qu’il fut en dépôt dans
l’église de nos Sœurs de Bellecour, il y eut tous les matins
des processions, des oraisons funèbres et des offices solennels
célébrés par les ecclésiastiques de différentes églises.
Monsieur de Saint-Nizier disait souvent que ce n’étaient pas les
hommes, mais les Anges, qui avaient obligé les Lyonnais de le
relâcher aux députés. Ils eurent pourtant cette consolation de
conserver le cœur de cet homme qui était selon le Cœur de Dieu.
ÉGALEMENT au 21 JANVIER :
« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
Alors, rendez-vous ici :
Honorez aujourd’hui la sacrée Vierge comme la douce BERGÈRE de tout le troupeau du divin Pasteur, et, à l’exemple des bergers de Bethléem, demandez-lui de présenter elle-même vos offrandes à son divin Enfant, après vous avoir appris à conduire, gouverner et ranger le troupeau spirituel de vos affections, selon sa très-sainte Volonté, afin qu’il soit agréable à sa bonté. Mais que lui donnerons-nous, à ce souverain Pasteur de nos âmes, comme gage de notre servitude éternelle, sinon le plus beau et le plus gras de nos agnelets, qui est notre amour sans réserve ? – Oh ! qu’il nous saura bon gré de ce présent, et que la très-sainte Mère le recevra avec grande consolation par le désir qu’elle a de notre bien ! Il ne faut pas douter que son divin Poupon ne nous regarde de ses yeux bénins et gracieux, pour récompense de notre don et pour nous témoigner le plaisir qu’il en a.
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TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Après son premier voyage à Rome, saint François de Sales, accompagné de M. Déage, repassa encore à Padoue. Il fit ses adieux au R.P. Possevin et demanda ses lettres patentes de Congréganiste de Notre-Dame, qui lui furent livrées le 21 janvier 1592. On y ajouta : « Parce que la brièveté de ces lettres ne permet pas une plus longue recommandation, et que la vie du sieur François est si excellente, que, sans être appuyée même d’aucune attestation, il se recommanderait assez par lui-même, nous n’ajouterons rien à ce que nous avons dit ; et nous ne doutons pas qu’il n’éprouve que la bonté et la charité règnent dans toutes nos Congrégations. »
Saint François de Sales a conservé respectueusement jusqu’à sa mort ses patentes de la Congrégation de Notre-Dame (aujourd’hui nommée Congrégation des Enfants de Marie).
Le vingt-et-unième jour de l’année 1623, Messieurs les députés de l’Évêque et du Chapitre de Saint-Pierre de Genève mirent fin à toutes les difficultés que proposaient Messieurs de Lyon pour empêcher qu’on ne sortît de leur ville le corps de notre saint Fondateur, et se mirent en chemin avec ce précieux dépôt, qui fut arrêté à la Croix-Rousse, où Monsieur le Sacristain de Saint-Nizier prononça une harangue funèbre qui fut suivie des larmes de toute l’assemblée. Pendant qu’il la prononçait, ce Corps saint parfumait l’air d’une odeur très-suave, pour remercier le clergé et le peuple de Lyon, qui avaient déjà une dévotion si particulière pour ce grand Prélat, que, tandis qu’il fut en dépôt dans l’église de nos Sœurs de Bellecour, il y eut tous les matins des processions, des oraisons funèbres et des offices solennels célébrés par les ecclésiastiques de différentes églises. Monsieur de Saint-Nizier disait souvent que ce n’étaient pas les hommes, mais les Anges, qui avaient obligé les Lyonnais de le relâcher aux députés. Ils eurent pourtant cette consolation de conserver le cœur de cet homme qui était selon le Cœur de Dieu.
« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
Alors, rendez-vous ici :
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »