466
rien qui lui soit plus agréable
que notre volonté. »
(Saint Alphonse de Liguori)
* * * * * * *
CANTIQUES & PRIÈRES pour SEPTEMBRE 2018 :
MÉDITATION MUSICALE pour la NATIVITÉ de la SAINTE VIERGE
(8 septembre)
(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")
>>> Autres CANTIQUES pour la NATIVITÉ de MARIE
>>> CANTIQUES en l'honneur de NOTRE-DAME de BÉHUARD & NOTRE-DAME l'ANGEVINE (ou du MARILLAIS) (8 septembre)
Doux Cœur de Marie, soyez mon salut !
Fichier PDF de cette Prière de Saint Louis de Gonzague :
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/dusxi-Prends_mon_coeur_le_voila_cantique_a_la_Vierge_Marie_.pdf
Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :
https://youtu.be/a5lql88vSsM
Chant : Jean-Myriam Chevalier
Mélodie & Accompagnement : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 22 août 2018
1- Heureux qui du Cœur de Marie,
Connaît, honore les grandeurs,
Et qui sans crainte se confie
À ses maternelles faveurs !
Après le Cœur du divin Maître
À qui seul est dû tout encens,
Fut-il jamais, et peut-il être
Un cœur plus digne de nos chants ?
2- Les cieux se trouvent sans parure
Auprès des traits de sa beauté ;
Des Anges l’innocence pure
Voit s’éclipser sa pureté ;
Et de respect baissant leurs ailes,
Les légions des Séraphins,
Du haut des voûtes éternelles,
Lui cèdent en transports divins.
3- Parais, ô Fille bien-aimée !
Console, charme l’univers,
Et, plus terrible qu’une armée,
Confonds, écrase les enfers :
Cours au Temple où le Ciel t’appelle,
Va présenter à l’Immortel
Ton Cœur, l’offrande la plus belle
Qui fût portée à son autel.
4- À l’ombre de ses tabernacles,
C’est là que le Dieu des élus
Fait en elle autant de miracles
Qu’elle y voit croître de vertus :
Là son Cœur pur, humble et docile
Aux grands, aux éternels desseins,
Se forme à devenir l’asile
Et le séjour du Saint des Saints.
5- Au moment où la Vierge est Mère,
Sans ternir son intégrité,
Son Cœur se change en sanctuaire
De l’adorable Trinité.
Oh ! de quels charmes fut suivie,
De quels sacrés transports d’ardeur,
L’union du Cœur de Marie
Avec celui d’un Dieu sauveur !
6- Quand Jésus, né dans l’indigence,
Baigne pour nous ses yeux de pleurs,
Marie, avide de souffrance,
Aime à s’unir à ses douleurs.
Quand, chargé de nos injustices,
Il veut de son Sang innocent
Pour nous répandre les prémices,
Le Cœur de Marie y consent.
7- Si pour nous l’Enfant magnanime
Au Temple se voue à souffrir,
La Mère, comme lui victime,
Fait ses délices de l’offrir :
Si le Pontife lui découvre
Du Ciel les ordres rigoureux,
Son âme d’elle-même s’ouvre
Au glaive le plus douloureux.
8- De quelle profonde tristesse
Son Cœur, hélas ! est-il frappé,
Quand l’objet cher à sa tendresse
De ses regards s’est échappé !
Mais combien sa joie est extrême
Quand on le découvre au Saint Lieu,
Développant la loi suprême
Et de son Père et de son Dieu !
9- Quelle force aida son courage,
Lorsqu’elle put suivre les pas
De ce Fils, qu’une affreuse rage
Traînait au plus honteux trépas !
Auprès de cette Croix sanglante
Où mourait un Dieu Rédempteur,
Qui retint son âme expirante ?
Ce fut l’amour, ce fut son Cœur !
10- Vous que son agonie attire
Pour partager ses sentiments,
Voyez si le plus dur martyre
Peut rassembler tant de tourments :
Voyez-le ce Cœur intrépide
Par les mêmes mains déchiré
Qui percent d’un fer déicide
Le Cœur de son Fils expiré...
11- Mais il en est temps !... enlevée
Sur les ailes du pur amour,
L’humble Marie est élevée
Au haut du sublime séjour.
Hâtez-vous d’offrir à son trône,
Saints Anges, vos tributs d’honneur :
Chantez du Dieu qui la couronne
Les dons, la gloire et la splendeur !
12- Et nous, fils d’un père coupable,
Par le Ciel condamnés aux pleurs,
Cherchons dans ce Cœur secourable
Un abri contre nos malheurs :
Pécheurs, à cet aimable asile
Ne craignez pas de recourir ;
L’entrée en est sûre et facile
À la douleur, au repentir.
13- Ô Cœur de la plus tendre Mère,
Cœur plein de grâce et de bonté,
Vous sur qui, dans notre misère,
Notre espoir a toujours compté !
Soyez, soyez notre refuge
Et notre appui dans tous les temps ;
Surtout auprès de notre Juge,
Dans le dernier de nos instants.
Connaît, honore les grandeurs,
Et qui sans crainte se confie
À ses maternelles faveurs !
Après le Cœur du divin Maître
À qui seul est dû tout encens,
Fut-il jamais, et peut-il être
Un cœur plus digne de nos chants ?
2- Les cieux se trouvent sans parure
Auprès des traits de sa beauté ;
Des Anges l’innocence pure
Voit s’éclipser sa pureté ;
Et de respect baissant leurs ailes,
Les légions des Séraphins,
Du haut des voûtes éternelles,
Lui cèdent en transports divins.
3- Parais, ô Fille bien-aimée !
Console, charme l’univers,
Et, plus terrible qu’une armée,
Confonds, écrase les enfers :
Cours au Temple où le Ciel t’appelle,
Va présenter à l’Immortel
Ton Cœur, l’offrande la plus belle
Qui fût portée à son autel.
4- À l’ombre de ses tabernacles,
C’est là que le Dieu des élus
Fait en elle autant de miracles
Qu’elle y voit croître de vertus :
Là son Cœur pur, humble et docile
Aux grands, aux éternels desseins,
Se forme à devenir l’asile
Et le séjour du Saint des Saints.
5- Au moment où la Vierge est Mère,
Sans ternir son intégrité,
Son Cœur se change en sanctuaire
De l’adorable Trinité.
Oh ! de quels charmes fut suivie,
De quels sacrés transports d’ardeur,
L’union du Cœur de Marie
Avec celui d’un Dieu sauveur !
6- Quand Jésus, né dans l’indigence,
Baigne pour nous ses yeux de pleurs,
Marie, avide de souffrance,
Aime à s’unir à ses douleurs.
Quand, chargé de nos injustices,
Il veut de son Sang innocent
Pour nous répandre les prémices,
Le Cœur de Marie y consent.
7- Si pour nous l’Enfant magnanime
Au Temple se voue à souffrir,
La Mère, comme lui victime,
Fait ses délices de l’offrir :
Si le Pontife lui découvre
Du Ciel les ordres rigoureux,
Son âme d’elle-même s’ouvre
Au glaive le plus douloureux.
8- De quelle profonde tristesse
Son Cœur, hélas ! est-il frappé,
Quand l’objet cher à sa tendresse
De ses regards s’est échappé !
Mais combien sa joie est extrême
Quand on le découvre au Saint Lieu,
Développant la loi suprême
Et de son Père et de son Dieu !
9- Quelle force aida son courage,
Lorsqu’elle put suivre les pas
De ce Fils, qu’une affreuse rage
Traînait au plus honteux trépas !
Auprès de cette Croix sanglante
Où mourait un Dieu Rédempteur,
Qui retint son âme expirante ?
Ce fut l’amour, ce fut son Cœur !
10- Vous que son agonie attire
Pour partager ses sentiments,
Voyez si le plus dur martyre
Peut rassembler tant de tourments :
Voyez-le ce Cœur intrépide
Par les mêmes mains déchiré
Qui percent d’un fer déicide
Le Cœur de son Fils expiré...
11- Mais il en est temps !... enlevée
Sur les ailes du pur amour,
L’humble Marie est élevée
Au haut du sublime séjour.
Hâtez-vous d’offrir à son trône,
Saints Anges, vos tributs d’honneur :
Chantez du Dieu qui la couronne
Les dons, la gloire et la splendeur !
12- Et nous, fils d’un père coupable,
Par le Ciel condamnés aux pleurs,
Cherchons dans ce Cœur secourable
Un abri contre nos malheurs :
Pécheurs, à cet aimable asile
Ne craignez pas de recourir ;
L’entrée en est sûre et facile
À la douleur, au repentir.
13- Ô Cœur de la plus tendre Mère,
Cœur plein de grâce et de bonté,
Vous sur qui, dans notre misère,
Notre espoir a toujours compté !
Soyez, soyez notre refuge
Et notre appui dans tous les temps ;
Surtout auprès de notre Juge,
Dans le dernier de nos instants.
Fichier PDF des Paroles de ce cantique :
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/dwfe1-Grandeurs_du_Coeur_de_Marie_cantique_.pdf(tiré du "Recueil de Cantiques à l'usage des élèves du Sacré-Cœur de Jésus", 1883)
CANTIQUE précédent : Le CŒUR de NOTRE AIMABLE MÈRE
>>> VIE de la SAINTE VIERGE (cantique sur les Ave Maria de Lourdes & Fatima)
À toi, Marie, à toi notre amour !
Marie, à toi nos cœurs sans retour !
1- PRIÈRE pour CONSACRER au SAINT CŒUR de MARIE les ACTIONS de la JOURNÉE
2- LITANIES chantées du SAINT CŒUR de MARIE (composées par St Jean Eudes)
3- AMENDE HONORABLE au CŒUR-IMMACULÉ de MARIE pour le Premier Samedi du Mois
4- CONSÉCRATIONS chantées au CŒUR-IMMACULÉ de MARIE
5- Le TRÈS SAINT CŒUR de MARIE (cantique de St Jean Eudes)
6- HYMNE sur le TRÈS SAINT CŒUR de la MÈRE de DIEU (St Jean Eudes)
7- 4 HYMNES du TRÈS SAINT CŒUR de la BIENHEUREUSE VIERGE (St Jean Eudes)
8- Le CŒUR de NOTRE AIMABLE MÈRE (cantique)
« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :