samedi 22 octobre 2022

Le 22 OCTOBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Il est souvent arrivé 
que le Seigneur dans sa bonté 
s’est plu à ramener dans la voie du salut 
les pécheurs les plus aveuglés et les plus endurcis 
en leur accordant des grâces extraordinaires, 
en considération des prières de ses serviteurs. »
 
(Saint Alphonse de Liguori)


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22 OCTOBRE

              
            Consacrez votre attention intérieure aujourd’hui à honorer le travail manuel de la Sainte Vierge : elle était la lingère et la robière de Jésus et de Joseph ; et ceux qui ont peint Jésus, déjà grandelet, qui tient sur ses bras un écheveau de laine ou de fil que la Sainte Vierge dévide, ont une douce pensée ; car cette Femme forte travaillait de ses mains au lin et à la laine, sans que ce travail manuel interrompît quelquefois sa divine contemplation.

            Ah ! Sainte Vierge, si le cher Jésus vous aida à dévider la laine dont vous lui fîtes sa robe sans couture, vous en cacha-t-il le mystère, et ne disposa-t-il point votre Cœur maternel à le voir dépouillé de ce précieux vêtement qui devait être joué et tiré au sort sur le Calvaire, le jour de sa mort douloureuse ? Ah ! que je veux aujourd’hui apprendre à aimer les petits offices en la maison de Dieu !

 
 


dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

qui aviez pris pour devise ou mourir ou aimer,
parce que la vie sans amour de Dieu vous semblait pire que la mort, 
priez pour nous.

 

           Le 22 octobre 1622, notre Père saint François de Sales fut surpris par Mgr de Chalcédoine, son frère et coadjuteur, et par M. Louis de Sales, son cher frère, tout seul dans sa chambre, si abstrait, si attaché intérieurement et ravi en Dieu qu’à peine purent-ils en tirer une parole. Enfin, comme ils le pressaient grandement pour savoir s’il avait reçu quelque nouvelle dont il leur fit secret, ou s’il lui était survenu quelque maladie, il leur dit : « Mes frères, laissez-moi un peu tout seul avec mon Dieu. Sa divine Majesté m’a averti de penser plus sérieusement que jamais à une affaire de la dernière importance ; je vous la communiquerai dans quelque temps. » Ils pensèrent que c’était la composition de quelque livre : « Rien moins que cela, dit l’homme de Dieu, mais vous le saurez une autre fois. » Ces bons frères se retirèrent et laissèrent le saint Prélat jouir de son Dieu.


            Il fallut aller l’avertir de l’heure de la sainte Messe, où il fut si long, conte son ordinaire, qu’il ne pouvait sortir de l’autel, et tous ses gens, imitant la retenue des Apôtres envers le Sauveur, n’osèrent jamais l’interroger sur son état, mais il fut visible à tous que ce Saint avait reçu ce jour-là un avertissement céleste de sa mort prochaine. Dès lors il ne parla plus que de la mort, que de faire son testament et ses adieux, couvrant discrètement et gracieusement ses préparatifs du prétexte d’un voyage qu’il devait aller faire en France à la suite du prince-cardinal de Savoie.

 

 
 


ÉGALEMENT au 22 OCTOBRE :
 
 
 
 

 


« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
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