mardi 4 octobre 2022

Le 4 OCTOBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

837

« Demandons et espérons, 
et certainement nous nous sauverons. »
 
(Saint Alphonse de Liguori)


LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS

 

(pour tourner les pages, maintenir un clic tout en glissant dans le sens souhaité)

(à télécharger ici : https://gloria.tv/text/o6LQcocMafPH1SxhUE2XCaiF7/request/download
où là :
 



 




 
              
             Honorez aujourd’hui la modestie, le silence et la douleur de la Sainte Vierge, voyant le soupçon qu’avait le glorieux saint Joseph sur sa maternité et sa résolution de la quitter plutôt que de la diffamer. Comme elle n’avait pas ordre du ciel de découvrir à ce cher époux l’honneur incomparable que Dieu lui faisait de la choisir pour sa Mère, elle se tut et remit tous les intérêts de son honneur à la divine Providence. Honorez la douleur et la douceur de ce Cœur Sacré de Marie dans cet état souffrant à l’égard de son cher époux, et apprenez que, quand la divine Providence veut sanctifier une âme, elle la fait souffrir par les personnes mêmes qui lui sont les plus chères et les plus intimes, comme l’était ce saint époux Joseph à cette incomparable Épouse Marie !



dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622) 

  Saint François de Sales,

qui aviez pris pour devise ou mourir ou aimer, 
parce que la vie sans amour de Dieu vous semblait pire que la mort,
priez pour nous.


         Nous aurions aujourd’hui beaucoup à dire de la piété avec laquelle notre Père saint François de Sales célébrait la fête de saint François d’Assise, son parrain ; mais, nous bornant à citer son Traité de l’Amour de Dieu, nous ne parlerons avec lui que de la mort de ce glorieux Saint : « Le grand saint François, qui, au sujet de l’amour céleste, me revient toujours devant les yeux, ne pouvait pas échapper qu’il ne mourût pour l’amour, à cause de la multitude et grandeur des langueurs, extases et défaillances que sa dilection envers Dieu lui donnait ; mais, outre cela, Dieu, qui l’avait exposé à la vue de tout le monde comme un miracle d’amour, voulut que non-seulement il mourût pour l’amour, ains il mourût encore d’amour. Car voyez, je vous supplie, son trépas : se voyant sur le point de son départ, il se fit mettre nu sur la terre ; puis, ayant reçu un habit en aumône, duquel on le vêtit, il harangua ses frères, les animant à l’amour et crainte de Dieu et de l’Église, fit lire la Passion du Sauveur, puis commença avec une ardeur extrême à réciter le Psaume CXLI : J’ai crié de ma voix au Seigneur, j’ai supplié de ma voix le Seigneur. Et, ayant prononcé ces dernières paroles : Ô Seigneur, tirez mon âme de sa prison, afin que je bénisse votre saint Nom ; les justes m’attendent jusqu’à ce que vous me récompensiez ! il expira l’an quarante-cinquième de son âge. Qui ne voit que cet homme séraphique, qui avait tant désiré d’être martyrisé et de mourir pour l’amour, mourut enfin d’amour ! »

 

 
 


ÉGALEMENT au 4 OCTOBRE :
 
 
 
 
 

 


« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
Alors, rendez-vous ici :