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3- La SALUTAIRE DÉVOTION au Saint ROSAIRE
4- LA DÉLIVRANCE du POSSÉDÉ ALBIGEOIS par le SAINT ROSAIRE
5- ENCYCLIQUES de Léon XIII sur le ROSAIRE
6- PIE XII RÉCITE le CHAPELET en LATIN AVEC VOUS
9- PRIÈRE à MARIE, SECOURS des CHRÉTIENS
10- EXPLICATION du ROSAIRE en CANTIQUE (St Louis-Marie Grignion de Montfort)
18 OCTOBRE
18 OCTOBRE
Appliquez-vous aujourd’hui à ruminer les dernières paroles du second
chapitre de saint Luc : que la Sainte Vierge, ayant ramené Jésus de
Jérusalem à Nazareth et voyant sa soumission, gardait toutes ses paroles en son Cœur, et que Jésus profitait en âge, en grâce et en sagesse, devant Dieu et les hommes. Ô Jésus ! votre accroissement était à notre profit et à notre égard ; car vous êtes, dès l’éternité, la Sapience éternelle, l’Abîme et le Centre des grâces ; mais l’amour, qui vous a fait paraître petit, vous veut encore faire paraître croissant. Ah ! Marie ! Ah ! Joseph ! je prétends à l’honneur d’être votre fille, mais je ne vous donne pas le plaisir de me voir croître en vertus ; au contraire, mon infidélité vous ôte la gloire et la joie que vous auriez de me voir profiter en la perfection, et même mon infidélité est cause que je ne garde point en mon cœur ce que j’apprends de vous.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/075-enfance-de-n-s-j%C3%A9sus-christ:d?lid=cd52187de9df741206b82007013d9482a83f2cb9
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
Appliquez-vous aujourd’hui à ruminer les dernières paroles du second
chapitre de saint Luc : que la Sainte Vierge, ayant ramené Jésus de
Jérusalem à Nazareth et voyant sa soumission, gardait toutes ses paroles en son Cœur, et que Jésus profitait en âge, en grâce et en sagesse, devant Dieu et les hommes. Ô Jésus ! votre accroissement était à notre profit et à notre égard ; car vous êtes, dès l’éternité, la Sapience éternelle, l’Abîme et le Centre des grâces ; mais l’amour, qui vous a fait paraître petit, vous veut encore faire paraître croissant. Ah ! Marie ! Ah ! Joseph ! je prétends à l’honneur d’être votre fille, mais je ne vous donne pas le plaisir de me voir croître en vertus ; au contraire, mon infidélité vous ôte la gloire et la joie que vous auriez de me voir profiter en la perfection, et même mon infidélité est cause que je ne garde point en mon cœur ce que j’apprends de vous.
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
Appliquez-vous aujourd’hui à ruminer les dernières paroles du second chapitre de saint Luc : que la Sainte Vierge, ayant ramené Jésus de Jérusalem à Nazareth et voyant sa soumission, gardait toutes ses paroles en son Cœur, et que Jésus profitait en âge, en grâce et en sagesse, devant Dieu et les hommes. Ô Jésus ! votre accroissement était à notre profit et à notre égard ; car vous êtes, dès l’éternité, la Sapience éternelle, l’Abîme et le Centre des grâces ; mais l’amour, qui vous a fait paraître petit, vous veut encore faire paraître croissant. Ah ! Marie ! Ah ! Joseph ! je prétends à l’honneur d’être votre fille, mais je ne vous donne pas le plaisir de me voir croître en vertus ; au contraire, mon infidélité vous ôte la gloire et la joie que vous auriez de me voir profiter en la perfection, et même mon infidélité est cause que je ne garde point en mon cœur ce que j’apprends de vous.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
qui, par votre zèle et votre douceur,avez gagné à l’Église plus de soixante-dix mille hérétiques,priez pour nous.
Le dix-huitième jour d’octobre 1598, notre Père saint François de Sales ayant obtenu du duc Charles-Emmanuel la grâce d’un sauf-conduit pour les sieurs de Brotty, Joly et Desprez, trois des plus opiniâtres hérétiques du Chablais, qui s’étaient retirés à Berne, à cause de l’indignation du prince, et qui avaient le plus contrarié et méprisé leur apôtre, ils furent si surpris de cette héroïque charité et débonnaireté qu’ils allèrent trouver le Saint pour l’en remercier. Par rencontre, lui ayant montré le méchant traité que l’hérésiarque Bèze avait composé sur le livre de Josué, notre Bienheureux trouva, à l’ouverture du livre, l’insigne impiété de l’auteur, qui ose dire que Calvin mérite, après Dieu, la gloire d’avoir trouvé la première invention de la cène. Cette impudence mit tellement notre apôtre dans une sainte ardeur qu’il fit un excellent discours sur la vérité catholique, et ces trois gentilshommes, fort étonnés, montèrent à cheval et allèrent montrer ce passage à La Faye, grand ami de Bèze. Ce ministre en eut honte, confessa qu’en cet endroit l’auteur avait erré, que M. de Sales avait raison de le désapprouver, et que, à la vérité, on se pouvait sauver en l’Église romaine. Cette déclaration entra fort avant dans l’âme de ces trois cavaliers, qui, remontant à cheval, revinrent trouver François de Sales, lequel leur soutint fortement que, hors de l’Église de Dieu, il n’y a point de salut. La grâce de Notre-Seigneur, agissant intérieurement dans ces gentilshommes, ils se laissèrent vaincre à la vérité, et, après plusieurs questions et réponses, tous trois se convertirent et abjurèrent leur hérésie entre les mains du bienheureux François, qui les présenta au prince. Ils en reçurent un accueil paternel, et, depuis, ils ont toujours été, et toute leur famille, des exemplaires de piété et de religion.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »