lundi 24 octobre 2022

Le 24 OCTOBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Quiconque, après s’être détaché de l’Église véritable 
en embrasse une autre, 
se sépare aussi des promesses de l’Église : 
il n’a plus le droit aux récompenses de Jésus-Christ. »
 
(Saint Cyprien)


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            Honorez aujourd’hui en la Sainte Vierge cette parole de l’Épouse : Je dors, mais mon Cœur veille. Notre Père saint François de Sales dit que la Sainte Vierge ne dormait que d’amour et par cette douce nécessité que Dieu imposa dans le Paradis terrestre à l’innocent Adam. Ce dévot Père veut que les songes de cette Vierge Sainte n’aient été que de son cher Jésus, parce qu’elle n’avait que Jésus au Cœur, dans l’imagination et dans la pensée.

Cette Sainte Vierge est souvent nommée l’Aurore dans la sainte Écriture, pour nous apprendre qu’elle était matinière ; que, si elle ne passait pas toutes les nuits en contemplation, au moins elle retournait dès le grand matin à l’actuelle méditation des merveilles de son Jésus ! Ah ! Vierge Sainte, veillante et vigilante, chassez de moi la paresse ; unissez l’emploi de mes matinées aux vôtres !

Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 du Cantique "L’ÉPOUSE AIMANTE dans le CŒUR de JÉSUS", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/L'%C3%A9pouse-aimante-dans-le-Coeur-de-J%C3%A9sus:9?lid=e97cde6748ce2ca36c0cb193d29b1f4f2153b752
 
 

 

dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

dont la patience et la sérénité n’ont jamais été altérées 
par les injures, les calomnies et les contradictions, 
priez pour nous.


           Dans l’automne de 1619, notre Père saint François de Sales apprit qu’on le calomniait furieusement dans Paris à l’occasion d’un mariage. Ce saint homme reçut tout cela avec sa constance, paix et tranquillité ordinaires, et il disait à son cher frère Louis, seigneur de Sales : « On m’écrit de toutes parts que ces MM. N. N. me rasent la barbe de bien près dans Paris et que leur rasoir est fort tranchant. Oh ! vive Dieu ! si ma réputation est utile à son service, il la fera reconnaître ; je n’en veux qu’autant il sera requis pour sa gloire. » Néanmoins, pour l’édification du prochain et pour la révérence due à la vérité, il éclaira ses amis en toute sincérité sur la manière dont la chose s’était passée, et l’on peut voir dans ses épîtres l’admirable modération et paix de cette sainte âme au milieu d’une si grande bourrasque. « Je suis tout marri, dit-il, du soulèvement de tant de passions dans une affaire où j’en ai si peu. Ceux qui me connaissent savent bien que je ne veux rien ou presque rien avec passion ou violence, et que, quand je fais des fautes, c’est par ignorance ; je voudrais pourtant bien regagner les bonnes grâces de ces Messieurs en faveur de mon ministère ; mais, si je ne puis, je ne laisserai pas de marcher en icelui, par l’infamie et bonne renommée, comme séducteur et véritable. – J’ai remis tous ces vents contraires à la Providence du Très-Haut, écrivait-il à notre Mère de Chantal, qui était à Paris pour l’établissement de notre Maison ; qu’ils soufflent ou qu’ils s’accoisent, selon qu’il lui plaira ; la tempête et la bonace me sont indifférentes ; ne soyez point, je vous prie, si tendre sur moi. Il faut bien vouloir que l’on me censure ; si je ne le mérite d’une façon, je le mérite de l’autre. »

 

 
 


ÉGALEMENT au 24 OCTOBRE :
 
 
 
 

 


« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
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