jeudi 13 octobre 2022

Le 13 OCTOBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Efforçons-nous de faire tout ce que nous devons. »
 
(Saint Alphonse de Liguori)


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13 OCTOBRE

 
 




annoncé par Notre-Dame de Fatima le 13 juillet 1917

dévoilé en partie dans l'entretien au Père Fuentes en 1957


 




 
              
             Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge et saint Joseph et les suivez dans la soigneuse recherche qu’ils faisaient de leur trésor caché au Temple ; ils s’en enquéraient vers tous leurs parents et amis. Ô Marie ! Ô sainte Épouse ! vous cherchiez votre Bien-Aimé jour et nuit ! Vierge si sainte et si retirée, vous voilà parmi les places publiques et les carrefours ; toute votre angoisse est de savoir si l’on n’a point vu Celui que votre âme aime ! Saint Joseph pouvait dire comme son grand-père David : Je ne donnerai point de repos à mon cœur, point de sommeil à mes yeux, point de fin à ma recherche que je n’aie trouvé mon Jésus ! Ô Marie ! Ô Joseph ! innocents affligés de l’absence du Sauveur, faites-moi part de votre vigilance à le chercher, lorsque je reconnaîtrai d’avoir perdu sa grâce ou sa présence !



dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622) 

 Saint François de Sales,

qui voyiez en toutes choses le bon plaisir de Dieu,
et qui mettiez votre bonheur à vous y conformer avec amour,
priez pour nous.



           Ce jour, 13 octobre 1609, était très-mémorable à notre Père saint François de Sales et à notre très-digne Mère de Chantal, parce que c’était celui où ce saint Prélat, s’étant transporté exprès en Bourgogne dans le château de Monthelon, bénit le mariage de son frère cadet, Bernard de Sales, baron de Thorens, avec Mlle de Chantal, fille aînée de notre digne Mère Jeanne-Françoise Frémyot, notre sainte Fondatrice. Cette alliance avait été ménagée par la divine Providence pour faciliter la retraite de cette digne Mère en Savoie, retraite dont la conclusion fut prise en ces jours avec les parents assemblés, pour faire, disait notre Saint, une union et une division, unissant les deux mariés et résolvant la séparation de notre digne Mère d’avec ses parents, ses biens, son pays, ses amis, enfin jurant le divorce avec le monde. Tout cela se peut voir avec une grande consolation dans la vie de cette digne Mère, qui avait coutume de nous dire gracieusement qu’à ce jour elle ne s’était pas moins logée en Savoie que sa chère fille de Thorens.

 

 
 


ÉGALEMENT au 13 OCTOBRE :
 
 

 
 
 

 


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