mercredi 12 octobre 2022

Le 12 OCTOBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Les prières des Saints nous sont très utiles, 
à condition que nous nous purgions de nos vices. »
 
(Saint Jean Chrysostome)


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             Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge et saint Joseph durant les trois jours de leur douleur et de leurs recherches. Que les dévots de la Sainte Vierge ont bien raison de compter la perte de l’Enfant-Jésus au Temple pour l’une des plus grandes douleurs de Marie et de Joseph ! Honorez ces cœurs angoissés pour un si digne sujet ; humiliez-vous profondément dans la connaissance que vous avez de vos défauts : la perte d’un bien terrestre, d’une chétive consolation, vous fait plus de déplaisir et d’angoisses sensibles que l’absence du bon Jésus ! La Sainte Vierge l’avait perdu, non par sa faute, mais par un mystère caché dans le secret de la divine Providence. Nous le perdons par notre malice et perfidie. Ô trois jours de douleur et d’angoisse de Marie, que vous me donnez d’instruction, de confusion et de lumière pour ma conduite !



dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622) 

 Saint François de Sales,

Apôtre du Chablais et extirpateur de l'hérésie,
priez pour nous.


           Le 12 octobre 1598, notre Père saint François de Sales obtint des lettres-patentes de S. A. Charles-Emmanuel en faveur des convertis du Chablais, par lesquelles ce grand prince ordonna et établit que désormais il ne serait plus permis aux personnes en charge, à cause des revenus ecclésiastiques tenus par les chevaliers de Saint-Maurice et Lazare, de donner, directement ou indirectement, fermes, louages, exactions ou recettes, à d’autres personnes qu’à celles qui faisaient profession de la foi catholique, apostolique et romaine. Défense était faite aussi à toutes personnes, de quelque qualité ou condition qu’elles fussent, de menacer les catholiques ou désireux de la religion romaine, de paroles ou d’action, ou de les maltraiter en quelque façon que ce fût, sous peine de mille livres d’amende ; tous ceux de la religion prétendue réformée étaient déclarés totalement inhabiles aux offices et dignités ; en sorte qu’ils ne pouvaient être, non-seulement ni présidents ni sénateurs, mais non pas même reçus avocats, ni juges, ni châtelains, ni procureurs, ni notaires, ni commissaires, et toutes lettres-patentes qui pouvaient avoir été données au temps passé étaient, par ces dernières, cassées et annulées. Cet arrêt, si équitable et religieux de ce prince, fut mis en exécution par les poursuites vigoureuses de François de Sales et lui acquirent une nouvelle haine incroyable des hérétiques ; mais l’homme de Dieu ne se souciait que de servir la divine Majesté et la très-sainte Église. Il partit donc incontinent avec le primicier d’Angeville et le procureur-fiscal Claude Marin pour aller à la recherche des droits des curés et des catholiques, afin que les volontés du prince fussent mises à exécution avant que Son Altesse repassât les monts. Cette vigilance fut d’une admirable utilité à l’avancement de la foi et à la destruction de l’hérésie.

 

 
 


ÉGALEMENT au 12 OCTOBRE :
 
 
https://montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-recite-avec-vous.html


« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
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