8 AOÛT
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge par la propre pensée de saint François de Sales. Il assure que, même dès cette vie et surtout
à la fin de sa vie, cette Sainte Vierge eut plus de perfection et de
sainteté que tous les Anges et tous les Bienheureux ensemble. « Ah ! Sainte Vierge, dit ce dévot Père, si
les Anges sont comparés aux étoiles, vous êtes aisée à discerner parmi
eux comme une belle lune, aisée à être choisie entre les Saints comme le
soleil entre les astres ; vous avez possédé un amour divin qui s’est nommé amour d’épouse, amour maternel ; amour le plus puissant, le plus actif, le plus ardent de tous ; amour infatigable et insatiable. »
Ô Sainte Vierge ! par votre bonté, mettez ordre à mes misères ! Hélas !
je ne puis être discernée dans la troupe de vos fidèles que par mes
tiédeurs, mes péchés et mes ténèbres !
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/AM9.-Ave-Maria-de-Lourdes--Au-ciel-et-sur-terre:6?lid=47b912a960724cf1402cca4ff8b901f6ca5e4e7d
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, qui vous reposiez dans le sein de la divine Providence, comme un enfant dans les bras de sa mère,priez pour nous.
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge par la propre pensée de saint François de Sales. Il assure que, même dès cette vie et surtout
à la fin de sa vie, cette Sainte Vierge eut plus de perfection et de
sainteté que tous les Anges et tous les Bienheureux ensemble. « Ah ! Sainte Vierge, dit ce dévot Père, si
les Anges sont comparés aux étoiles, vous êtes aisée à discerner parmi
eux comme une belle lune, aisée à être choisie entre les Saints comme le
soleil entre les astres ; vous avez possédé un amour divin qui s’est nommé amour d’épouse, amour maternel ; amour le plus puissant, le plus actif, le plus ardent de tous ; amour infatigable et insatiable. »
Ô Sainte Vierge ! par votre bonté, mettez ordre à mes misères ! Hélas !
je ne puis être discernée dans la troupe de vos fidèles que par mes
tiédeurs, mes péchés et mes ténèbres !
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/AM9.-Ave-Maria-de-Lourdes--Au-ciel-et-sur-terre:6?lid=47b912a960724cf1402cca4ff8b901f6ca5e4e7d
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, qui vous reposiez dans le sein de la divine Providence, comme un enfant dans les bras de sa mère,priez pour nous.
Honorez aujourd’hui la Sainte Vierge par la propre pensée de saint François de Sales. Il assure que, même dès cette vie et surtout à la fin de sa vie, cette Sainte Vierge eut plus de perfection et de sainteté que tous les Anges et tous les Bienheureux ensemble. « Ah ! Sainte Vierge, dit ce dévot Père, si les Anges sont comparés aux étoiles, vous êtes aisée à discerner parmi eux comme une belle lune, aisée à être choisie entre les Saints comme le soleil entre les astres ; vous avez possédé un amour divin qui s’est nommé amour d’épouse, amour maternel ; amour le plus puissant, le plus actif, le plus ardent de tous ; amour infatigable et insatiable. » Ô Sainte Vierge ! par votre bonté, mettez ordre à mes misères ! Hélas ! je ne puis être discernée dans la troupe de vos fidèles que par mes tiédeurs, mes péchés et mes ténèbres !
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales,Ce jour, 1607, notre Père saint François de Sales étant allé exprès au château de Sales pour recevoir la confession annuelle de Madame sa mère, qui avait fait une retraite, il arriva des tonnerres et des éclairs si furieux que toute la famille, avec le Saint, se retira dans la chapelle. Le tintamarre était si grand dans l’air qu’on croyait que la grande montagne allait s’ébouler et que le jour du Jugement arrivait. Il écrivit à notre digne Mère qu’il avait pris un plaisir non pareil à voir tout le monde, en crainte sous la main de Dieu, redoubler les signes de Croix et les invocations du saint nom de Jésus. « Ah ! leur dit-il, sans ces terreurs, possible n’auriez-vous pas invoqué le saint nom de Dieu ! Que nous sommes heureux d’avoir un Dieu qui se sait faire aimer et craindre !... » Madame sa mère lui demanda s’il n’avait pas peur : « Oui, lui répondit-il, ma bonne mère, j’ai toujours peur de faire quelque chose qui déplaise à Dieu ; ce n’est pas que, durant les grands tonnerres et tintamarres qui se font quelquefois dans l’air, les sens intérieurs ne frémissent, et cela n’est point mal ; il faut seulement affermir notre foi en la Providence, et nous servir tranquillement des remèdes et des prières que la sainte Église nous enseigne sur ces sujets-là. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »