30 AOÛT
Réjouissez-vous aujourd’hui aux pieds de la Sainte Vierge, dans la pensée véritable de saint François de Sales, que la
seule Vierge donne plus de louange, de gloire et de complaisance à la
très-sainte Trinité que tous les Anges et tous les Bienheureux ensemble ; car, dit-il, la Vierge, d’un air incomparable, entonne dans la sainte Sion le cantique de magnificence et de louange. Écoutez, dit-il, cette voix sublime de la Reine des Anges, qui, élevée au-dessus de tout, rend elle seule plus de louange à la Divinité que tout le reste des créatures ; aussi, le Roi céleste la convie tout particulièrement à chanter : Ô ma Bien-Aimée ! dit-il, que ta voix sonne à mes oreilles, car elle est toute douce et ta face toute belle. (Traité de l’Amour de Dieu, l. V, ch. XI.)
(Ce Cantique des DEVOIRS de la RECONNAISSANCEest à retrouver ici : https://gloria.tv/post/VfswyjTuVUnm49Q1xfwksFUur
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
gloire de l'épiscopat,priez pour nous.
Réjouissez-vous aujourd’hui aux pieds de la Sainte Vierge, dans la pensée véritable de saint François de Sales, que la
seule Vierge donne plus de louange, de gloire et de complaisance à la
très-sainte Trinité que tous les Anges et tous les Bienheureux ensemble ; car, dit-il, la Vierge, d’un air incomparable, entonne dans la sainte Sion le cantique de magnificence et de louange. Écoutez, dit-il, cette voix sublime de la Reine des Anges, qui, élevée au-dessus de tout, rend elle seule plus de louange à la Divinité que tout le reste des créatures ; aussi, le Roi céleste la convie tout particulièrement à chanter : Ô ma Bien-Aimée ! dit-il, que ta voix sonne à mes oreilles, car elle est toute douce et ta face toute belle. (Traité de l’Amour de Dieu, l. V, ch. XI.)
(Ce Cantique des DEVOIRS de la RECONNAISSANCEest à retrouver ici : https://gloria.tv/post/VfswyjTuVUnm49Q1xfwksFUur
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
gloire de l'épiscopat,priez pour nous.
Réjouissez-vous aujourd’hui aux pieds de la Sainte Vierge, dans la pensée véritable de saint François de Sales, que la seule Vierge donne plus de louange, de gloire et de complaisance à la très-sainte Trinité que tous les Anges et tous les Bienheureux ensemble ; car, dit-il, la Vierge, d’un air incomparable, entonne dans la sainte Sion le cantique de magnificence et de louange. Écoutez, dit-il, cette voix sublime de la Reine des Anges, qui, élevée au-dessus de tout, rend elle seule plus de louange à la Divinité que tout le reste des créatures ; aussi, le Roi céleste la convie tout particulièrement à chanter : Ô ma Bien-Aimée ! dit-il, que ta voix sonne à mes oreilles, car elle est toute douce et ta face toute belle. (Traité de l’Amour de Dieu, l. V, ch. XI.)
(Ce Cantique des DEVOIRS de la RECONNAISSANCEest à retrouver ici : https://gloria.tv/post/VfswyjTuVUnm49Q1xfwksFUur
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
gloire de l'épiscopat,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
gloire de l'épiscopat,
Notre Père saint François de Sales a souvent dit que ce jour, trentième août 1609, lui était mémorable pour les incomparables consolations qu’il reçut, consacrant, dans l’église cathédrale de Saint-Jean de Belley, messire Pierre Camus pour être évêque de ce diocèse. Il se forma une amitié très-tendre entre ces deux Prélats : Mgr de Belley a aimé, honoré, consulté son saint Consécrateur comme un fils son père et un écolier son maître ; c’est ainsi qu’il l’a nommé de vive voix et dans tous ses livres ; et le Saint l’a tenu comme son enfant, comme son frère, ainsi qu’on le peut voir dans les propres termes de respect et d’amour dont notre bienheureux Père s’exprime en parlant de lui dans la préface de son livre de l’Amour de Dieu. Ce Bienheureux lui disait quelquefois : « Voyez-vous, Monseigneur, vous êtes bien obligé à me faire honneur ; car j’ai bien été appelé au sacre de quelques autres évêques, mais ce n’a été qu’en qualité d’assistant, et pour vous, j’ai été votre consécrateur, et vous êtes mon unique, mon apprentissage et mon chef-d’œuvre tout ensemble. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »