31 AOÛT
Finissons ce mois de la gloire et des triomphes de la glorieuse Vierge par les propres paroles de saint François de Sales : « Mais, ô Vierge toute triomphante ! qui peut jeter les yeux sur votre Majesté sans voir à votre dextre le glorieux saint Joseph, que, pour l’amour de vous, le Fils éternel a si souvent honoré du nom de père, et qui, pour l’amour de vous, l’a élevé si haut dans son éternité. » Ainsi, finissons ce mois tout à la louange et dans la sainte complaisance intérieure des grandeurs, des gloires et des pouvoirs de Jésus, Marie, Joseph.
Finissons ce mois de la gloire et des triomphes de la glorieuse Vierge par les propres paroles de saint François de Sales : « Mais, ô Vierge toute triomphante ! qui peut jeter les yeux sur votre Majesté sans voir à votre dextre le glorieux saint Joseph, que, pour l’amour de vous, le Fils éternel a si souvent honoré du nom de père, et qui, pour l’amour de vous, l’a élevé si haut dans son éternité. » Ainsi, finissons ce mois tout à la louange et dans la sainte complaisance intérieure des grandeurs, des gloires et des pouvoirs de Jésus, Marie, Joseph.
Finissons ce mois de la gloire et des triomphes de la glorieuse Vierge par les propres paroles de saint François de Sales : « Mais, ô Vierge toute triomphante ! qui peut jeter les yeux sur votre Majesté sans voir à votre dextre le glorieux saint Joseph, que, pour l’amour de vous, le Fils éternel a si souvent honoré du nom de père, et qui, pour l’amour de vous, l’a élevé si haut dans son éternité. » Ainsi, finissons ce mois tout à la louange et dans la sainte complaisance intérieure des grandeurs, des gloires et des pouvoirs de Jésus, Marie, Joseph.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
qui aviez pour principe
À peine notre Père saint François de Sales eut-il achevé la consécration de Mgr Pierre Camus, Évêque de Belley, qu’il reçut, le 31 août 1609, ordre du Roi de se transporter promptement à Gex, afin de se consulter avec le baron de Lux. Or, comme c’était pour les affaires de la religion, le Bienheureux partit le plus tôt qu’il lui fut possible, quittant pour cela tout le plaisir qu’il s’était promis de goûter en passant quelques jours dans la conversation du jeune Prélat, qui paraissait un fleuve d’éloquence et un prodige de mémoire et de facilité dans le discours, sur toutes sortes de matières spirituelles. Dès le grand matin, le Saint se sépara de son cher fils, le jeune Évêque, auquel il dit avec sa grâce ordinaire : « Croissez et multipliez en toutes vertus, selon le don de Dieu, et sa divine Majesté vous bénira. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »